Post de INNOVACOM

🟦 Découvrez notre sélection des 100 startups à suivre dans le secteur de l’IA Générative. 🔎 Ce panorama est extrait de notre étude sur le même sujet et aborde les thématiques suivantes :  - Les chiffres clés du secteur  - Les acteurs principaux  - Des zooms sur des cas concrets Pour découvrir l’étude complète, n’hésitez pas à cliquer sur le lien en commentaire pour la télécharger. 👇 A très vite,  L’équipe 🟦Klein Blue.

Une démonstration de l’intérêt de structurer un board rapidement 👌 Bravo à Soufiane Ajana, PhD et Jean Le Pavec de l’avoir mis en place ainsi qu’à la communauté Tango - Les Deeptech pour son efficacité 🚀

Merci Alliancy - le mag numérique et business pour nous intégrer dans cet article

Wavestone a publié ces derniers jours le Radar des startups françaises de l'IA générative. Ils ont identifiés 141 #startups, toutes très jeunes (bien évidemment). Quelles sont les tendances de ce radar: 👉Des cas usage ciblés avec un ROI rapide 👉2 profils se dessinent: l'usage du potentiel offert par le LLM ou investir sur une technologie souveraine 👉Elles attentes toutes une évolution réglementaire afin de pouvoir opéré sereinement Parmi ses startups, je citerais Humanlinker Modjo Mirakl iAdvize Botminds AI Je suis certain que cette liste va encore s'élargir dans les prochains mois mais surtout que de belles licornes vont sortir de cette liste A suivre

I'm back 💛 De retour à Paris après quelques mois off, d’introspection, de formation, de voyages... Le temps de prendre du recul sur la fin d’Opuscope, sur l’industrie AR/VR et sur moi-même. Cette pause est essentielle entre deux projets entrepreneuriaux et j’ai eu de la chance de pouvoir la prendre après avoir souscrit à une GSC en 2017. Moins de 1% des entrepreneurs souscrivent à une assurance privée… un comble lorsque l’on sait que presque 9 startups sur 10 échouent ! C’est pour cela que l’anticipation et l’accompagnement sont essentiels tout au long de la vie d’une startup. Car il n’y a pas de succès sans échecs, pas d’apprentissage sans tentative. Demain, je serai à #BIG10 Bpifrance 2024 pour intervenir lors d'une table ronde sur ce sujet aux côtés de Charline Goutal-Guérin, Céline Gauthier (Association GSC) et Philippe Fourquet (60 000 rebonds) animé par Fabrice Lundy. On parlera de la fin d’une entreprise et de comment rebondir avec succès 🚀. La session est complète mais vous pourrez la suivre en live (lien en commentaire). Qui sera présent ? Hâte de vous retrouver et d’échanger avec vous sur place 😊

😰 Si vous n’accompagnez pas vos start-ups deep tech à démontrer leurs impacts, elles vont vite enchaîner opportunités manquées et retards stratégiques. Dans l'écosystème de l'innovation et de l'entrepreneuriat universitaire, les start-ups deep-tech représentent une force motrice de progrès technologique et de transformation sociale. Cependant, elles se retrouvent de plus en plus souvent confrontées à un obstacle inattendu lors de leur candidature à des concours d’innovation tels que l'i-Lab. Le hic ? La partie Impact de leur dossier est jugée insuffisante. Normal : c'est nouveau, et l’exercice encore méconnu. L'impact n'est pas seulement un critère parmi d'autres. C’est un pilier central de l'évaluation. Trop souvent, cet aspect est perçu à tort comme une simple obligation de RSE. C’est bien plus que ça ! Prenons l’exemple d’une entreprise développant un nouveau diagnostic précoce d’une maladie dentaire. ➡ La mise en place de la mobilité douce pour ses employés relève de la RSE. Il y a un impact, mais il est limité. ➡ L’anticipation des coûts évités pour la sécurité sociale, l’augmentation de la qualité de vie des patients et le CO2 évité en ne recourant pas à des implants est beaucoup plus qualitatif et parle en faveur du dossier ! Une mauvaise compréhension de l'impact peut : ⛔ entraîner le rejet de candidatures prometteuses ⛔ mener à des projets moins pertinents pour la société et l'environnement ⛔ se traduire par des pertes en termes de financements, de visibilité et de soutien institutionnel pour vos start-ups deep-tech. L'enjeu est colossal. La bonne nouvelle ? Des accompagnements à l'impact spécifiquement conçus pour les start-ups deep-tech existent, ainsi que des formations dédiées aux professionnels qui les encadrent. Ces ressources sont essentielles pour articuler clairement l'impact sociétal et environnemental des SU DT sortant de vos laboratoires, garantissant ainsi leur succès auprès des jurys et des financeurs. Professionnaliser vos équipes autour de la question de l'impact n'est pas un luxe, mais une nécessité stratégique pour assurer la pérennité et la reconnaissance de vos projets d'innovation. Explorez dès maintenant les options d'accompagnement disponibles et intégrez l'impact au cœur de votre stratégie d'innovation. SoScience fait partie de ces options. Ensemble, faisons de l'université un tremplin pour des start-ups deep-tech porteuses de changements significatifs pour notre société et notre planète.

🌟 Pourquoi j’ai choisi d’investir dans Phacet ? 🌟 L’IA est au centre des discussions en ce moment, mais pour beaucoup d’entreprises, la grande question reste : par où commencer et comment en tirer un véritable bénéfice ? Avoir un partenaire de confiance qui aide à naviguer dans ce monde technologique tout en garantissant un ROI concret, c’est devenu indispensable. C’est exactement pour ça que j’ai investi dans Phacet. En tant qu'investisseur, je crois fermement en leur capacité à accompagner les entreprises dans leur transition vers l’IA de manière claire et mesurable. Depuis leur levée de fonds en mai, William Pambrun, Nicolas Marchais et Christophe Lanternier ont recruté une équipe solide et déjà lancé des applications IA pour des clients majeurs. 🚀 Je suis fier de soutenir cette aventure et j’ai vraiment hâte de voir ce que l’avenir nous réserve ! #AI #Innovation #Phacet #Investissement #FutureOfWork

Ce matin, une intervention très galvanisante de la Secrétaire d’Etat en charge de l’IA et du numérique, Clara Chappaz, en clôture de cette matinée « la Deeptech voit Big » de Bpifrance lancée par Nicolas Dufourcq puis Paul-François Fournier Une matinée durant laquelle les intervenants qui se sont succédés sont venus parler du « progrès », mais surtout nous partager leurs expériences et leurs « déclics » personnels pour se lancer dans l’entrepreuriat. Ce que nous avons entendu de ces exemples, en quelques mots : - il ne faut pas avoir peur du progrès, ni d’oser se lancer. - tout le monde peut se lancer dans l’entrepreneuriat dans la Deeptech, même sans être scientifique. Il s’agit d’avoir la bonne équipe (et un cofondateur scientifique si on n’en est pas un), et partager la même vision. - il ne faut pas s’accrocher obstinément à son idée ni à la technologie, il faut être à l’écoute et capable de pivoter le cas échéant. - il existe plein d’initiatives, d’aides, et un réseau pour ne pas se retrouver esseulé quand on démarre sa startup. Côté Bpifrance, cela devrait être 500 startups accompagnées. Maintenant, au delà de cet enthousiasme contagieux à l’Accor Arena Paris Bercy, peut-être faudrait-il relativiser un peu en rappelant quand même que 76 startups matures ont fait faillite en 2023, et 53 supplémentaires ont suivi sur le seul premier semestre de 2024, même si le pic de défaillances semble être passé, d’après la Banque de France (cf La Tribune). Comme quoi, le travail des 150 conseillers de Bpifrance dans l’innovation reste primordial pour accompagner les startups, et leur conférer une certaine pérennité dans leurs premières années.

🎡 [Spin The Wheel!] 🎡 Depuis sa création, Future4Care accueille et accompagne de nombreuses startups afin d'accélérer leur croissance et leur développement au sein de son campus. Notre conviction ? Créer et alimenter un écosystème européen fort en santé digitale et aussi révéler nos talents, notamment à travers nos contenus. C'est pourquoi nous avons créé "The Wheel":🎡 🎥 Notre nouvelle série face caméra, permettant à chaque entrepreneur de se révéler sous un angle inattendu. 💡 L'idée ? La roue tourne, et le hasard définira la question. 💥 Résultat? 💥 Des réponses spontanées et prises sur le vif. Découvrez aujourd'hui Jordan Chelli, de EasyMedStat, qui a bien voulu être le premier à se prêter au jeu!

Zoom sur les startups issues du dernier programme Entrepreneur First à Paris, et récemment dévoilées lors de notre Demo Day - aujourd'hui : Agōra AI. Soline K. (CEO) est une repeat founder et operator (notamment chez blisce et Early Metrics), ancienne Sustainability Director chez Atomico. Passionnée par le sujet de la gestion de l'eau comme problème majeur lié au changement climatique, elle rejoint EF pour trouver le bon cofondateur technique pour un projet ambitieux. Nicolas Birac (CTO) avait déjà monté une première startup en IA, en parallèle de la fin de ses études aux Ponts et au Collège des Ingénieurs. Ingénieur en ML, data scientist et expert en séries temporelles, il a créé des modèle prédictifs ayant permis des économies de plusieurs millions d'euros auprès de corporates, avant d'être rattrapé par le virus de l'entrepreneuriat et de rejoindre EF. Leur constat ? Les acteurs opérant dans des industries très consommatrices en eau (food & bev, pharma, cosmétique, construction, etc) perdent des sommes colossales chaque année parce qu'ils n'ont pas les moyens d'anticiper et de s'adapter aux pénuries d'eau. Avec Agora, Soline et Nicolas ambitionnent de construire la première plateforme de coordination utilisant l'IA pour anticiper les besoins et optimiser l'utilisation de l'eau. En 3 mois, ils ont déjà construit le modèle existant le plus avancé permettant une vue compréhensive, en temps réel, des évolutions impactant les eaux souterraines et nappes phréatiques. Ils finalisent également les discussions autour de leurs premiers contrats pour déployer leur solution sur plusieurs sites industriels.