Post de LINEAIRES

🇨🇦 Nouveau Symbole Nutritionnel au Canada 🇨🇦 Vous avez entendu parler du FOP ? Il s'agit du Front-of-Pack. À partir du 1er janvier 2026, ce nouveau symbole nutritionnel deviendra obligatoire sur les emballages alimentaires canadiens pour signaler les produits riches en gras saturés, en sodium et en sucre. Ce changement majeur aura un impact considérable sur le marché des produits transformés, les stratégies des marques et surtout, les habitudes de consommation. Êtes-vous prêts pour cette transition ? Il faut adapter dès que possible le visuel de vos emballages pour être conforme. Nous pouvons vous accompagner dans cette adaptation. Découvrez tous les détails de cette transition dans l’article ci-dessous ! 👇 Croyez-vous que vos habitudes de consommation au supermarché changeront avec l’arrivée de ce symbole?

𝗨𝗻𝗲 𝗳𝗶𝗻 𝟮𝟬𝟮𝟰 𝗱𝘆𝗻𝗮𝗺𝗶𝗾𝘂𝗲 - 𝗽𝗮𝘀 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝘁𝗼𝘂𝘀. Pour certaines enseignes du réseau Bio, ce mois de novembre fut même “historique“. Les indicateurs sont sans conteste au vert. >Des 𝘃𝗲𝗻𝘁𝗲𝘀 qui topent les 4 Md € et devraient même les dépasser en 2024 >... malgré un parc de 𝗺𝗮𝗴𝗮𝘀𝗶𝗻𝘀 au solde encore négatif (env. – 100 magasins sur la Fr.) >Une 𝗶𝗻𝗳𝗹𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 faible à 12 mois (+ 2 %) et remise au plancher depuis 3 mois (+0,3 % sur 12 mois glissants) >Toutes les 𝗳𝗮𝗺𝗶𝗹𝗹𝗲𝘀 sont en hausse : les Fruits & Légumes (en vrac, un record à + 14 %). Toutes vraiment ? Non, sauf le non-al. dont une en particulier : l’Hygiène Soin qui poursuit sa chute à -6,7 %, sans perspective tangible. 𝗟𝗮 𝗚𝗠𝗦 𝗕𝗶𝗼, 𝘂𝗻𝗲 𝗲́𝗾𝘂𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗮̀ 𝟯 𝘃𝗮𝗿𝗶𝗮𝗯𝗹𝗲𝘀 Là aussi, la tendance se poursuit en novembre, mais dans l’autre sens. La GMS patine et toutes les familles sont en négatif, particulièrement en Hygiène Soin, Frais non laitier et les Surgelés – Glaces. 3 variables pèsent objectivement sur son futur proche. 1.      Le 𝗽𝗿𝗶𝘅 AB resté haut alors que l’inflation a atterri 2.      Les contractions d’𝗮𝘀𝘀𝗼𝗿𝘁𝗶𝗺𝗲𝗻𝘁𝘀 qui se confirment 3.     ... et une vague de “𝗱𝗲́𝗰𝗼𝗻𝘃𝗲𝗿𝘀𝗶𝗼𝗻𝘀 de la marque Bio“ : une contagion d'arrêts par les fabricants – parmi les derniers La Provençale Bio>Naturelle ou Lactalis. Le climat des affaires en GMS s’oriente vers un portefeuille multi-labels « Bio-like » : AB, HVE et les “sans“ quelque chose. Cette hémiplégie — dépression d’un côté, en GMS, et tonus de l’autre, en réseau Bio –- provoque avec une certaine logique des transferts de consommateurs et peut expliquer des gains/pertes symétriques. L’époque favorise les analyses fines pour repérer les forces ou les carences du camp adverse.   Un exemple, la GMS Bio affiche comme une de ses (très rares) hausses : les produits pour fosses septiques + 14 % CAM M11, cf. Circana : Bio en GMS.  C’est une preuve de demande écologique non satisfaite ailleurs et une opportunité que le réseau Bio devrait vérifier. 𝗢𝗻 𝘆 𝘃𝗶𝗲𝗻𝘁 𝗷𝗲𝘂𝗻𝗲 𝗲𝘁 𝗼𝗻 𝘆 𝗿𝗲𝘀𝘁𝗲 𝗽𝗹𝘂𝘀 𝗮̂𝗴𝗲́.𝗲 L’essai de Bio se fait entre 15 et 25 ans. Il est en croissance depuis 3 ans. Les motivations sont croisées et multiples : extra-utilitaires comme la planète mais aussi la santé. Ce qui est remarquable, c’est que les plus âgés sont les plus fidèles et tenaces. On le voit sur l'infographie, ce sont eux (les 𝟰𝟱 + 𝗲𝘁 ++) qui pendant la crise (2022 2023) avaient le moins l’intention de restreindre leur consommation Bio.  Entrent en compte : le pouvoir d’achat relatif ; l’habitude de Bio acquise plus jeunes ; la préférence au commerce de proximité … et le besoin général de santé qui va perfuser la société fr., rappel : 21 M de seniors en 2030. Sources #Circana n°116 #BioLinéaires #AgenceBio #Obsoco Fabien Foulon Noël ZIERSKI Sauveur Fernandez ANTOINE LEMAIRE Laura Duponchel Clement Lepeule Marine Bré-Garnier Emily Mayer

La Vie Claire SA confirme sa dynamique positive avec une hausse de 7,6% de son chiffre d’affaires à octobre 2024. 🔎 Points marquants : 👉 Fréquentation en hausse notamment grâce à des opérations commerciales attractives (promos, communication ciblée) 👉 Rayons en plein essor : fruits et légumes, pain 👉 Accessibilité renforcée : la gamme "Petits prix bio" doublera d'ici fin 2025 (200 références prévues) 👉 Axes innovation et qualité : révision de la marque propre (2000 références) avec focus Nutri-score et Planet-score 👉 Développement du réseau avec 3 ouvertures de magasins d'ici fin 2024 👉 Logistique optimisée : nouvelle plateforme logistique à Grigny (69) pour optimiser l'efficacité. 💬 Christelle LE HIR, présidente du Directoire : « En 2024, nous renforçons notre engagement à rendre le bio accessible grâce à des prix attractifs, des produits de qualité, et des valeurs alliant accessibilité et développement durable. » 👉 Lire notre article (en libre accès) : https://lnkd.in/dJzDwVvU #bio #croissance #distribution #LaVieClaire

pertinent et utile !

La revue de presse du retail : Pourquoi un magasin bio a intérêt à réaliser un Audit Prix ?: Fabien Hennebo d’Opti-Mix a présenté lors du salon Natexpo sur le Forum des Bio Tendances l’intérêt pour les magasins bio de réaliser un « Audit Prix ».Les consommateurs sont de plus en plus attentifs au prix. Ce phénomène s’est amplifié avec l’inflation. Rappel : pour 65 % des consommateurs bio, le premier critère de choix est le prix pour choisir un produit alimentaire*. Opti-Mix nous explique comment faire pour passer des 20/80 à la gestion des ABC pour affiner votre politique prix magasin ! Aujourd’hui, la plupart des enseignes nationales et régionales des magasins spécialisés bio réalisent des audits prix une à trois fois par an. En revanche, il y a peu de demande de la part des indépendants et groupements d’indépendants. Les principales raisons invoquées sont multiples : « ils n’en voient pas l’intérêt », « ilsne savent pas comment exploiter la donnée », « ils pensent que cela coûte […] Pour accéder à cette publication, vous devez être abonné. https://lnkd.in/e6Wmuy7H. ==> Abonnez vous à la revue de presse du retail #bio #commerce #retail

Alors que les magasins bios ont retrouvé le chemin de la croissance, il est naturel de se demander quelles marques en ont le plus profité. 🧐 Et pour ce faire quoi de mieux que de regarder les évolutions par pénétration, cet indicateur qui mesure le pourcentage de clients des magasins bio achetant les produits, et donne ainsi un aperçu de la taille de la clientèle 👥 de chaque marque ? Sur ce critère, c’est Saveurs et Nature qui ressort gagnant, en ayant fait évoluer l’entièreté de son offre, innové et baissé ses prix. Une prise de risque gagnante 💯 Le bio pour tous, la marque crée par Relais Vert et Satoriz, talonne Saveurs et Nature. Elisa et ses huiles d’olive accessibles complètent le trio de tête. 🥉 En 4ème position, Bio Organica Italia fait une entrée tonitruante dans les magasins bio notamment avec ses différentes sauces. Morice confirme par ailleurs son ascension, principalement en crèmerie et son rapprochement avec Biochamps/Les prés d’Ariège (MORICE I BIOCHAMPS) porte déjà ses fruits. Leader incontesté sur les conserves de poisson, Phare d’Eckmühl(maison CHANCERELLE) ne se contente pas de défendre ses positions, comme en atteste sa 7ème place dans ce classement. Les performances de Maison Pro Sain, TerraSana positive eating, et Cook (Arcadie SA) sont aussi à souligner et leur permettent d’entrer dans le Top 10.

La revue de presse du retail : Les dernières tendances de consommation du vrac et du réemploi: À l’occasion du Salon du vrac et du réemploi, Bio Linéaires a suivi la conférence de Nicolas Riant de NielsenIQ, le 13 mai, sur les tendances de consommation du vrac et du réemploi. Si elles concernent les comportements observés en GMS, elles donnent une photographie plus générale de l’attitude vis-à-vis du vrac.    L’analyse de […] ==> Abonnez vous à la revue de presse du retail #bio #commerce #retail

📈 Face à l'#inflation, les Français cherchent à réduire le poids de l’alimentaire dans leurs dépenses quotidiennes. Les produits bio sont les premières victimes de ce choix : entre 2023 et 2022, le nombre d’articles bio vendus a baissé de 11 % en #bio, contre seulement 0,8 % en conventionnel. La baisse est également observée sur d'autres signes de qualité tels que le #label rouge fermier pour lesquels une baisse de 15 % est observée sur certaines charcuteries, , 🏷 La première raison : le prix ! Les consommateurs leur préfèrent des produits moins chers. Mais cela s'explique aussi par la difficulté qu'ils éprouvent parfois à comprendre la diversité des mentions ou signes de qualité, (auxquels s'ajoute désormais le nutri-score ainsi que potentiellement le planet-score, l'éco-score, l'étiquette bien-être animal.... ). 💡 L'équipe #Economie - #Emploi de la #chambre d'#agriculture de Bretagne décrypte ces tendances dans un article paru sur son blog agreco ! Maëlie Tredan Maud Marguet

Dans #vendredibio aujourd’hui, nous parlons prix 💶. Et plus précisément, de l’écart de prix entre le bio et le conventionnel 🥦🍅. D’après vous, l’écart de prix entre conventionnel et bio : ⬆️ S’accroît ? ➡️ Se stabilise ? ⬇️ Diminue ? Et pourquoi ? (Vous avez 4 heures 🕓) #épreuvedephilo NB : on parle bien ici du prix de l’étiquette et pas du coût environnemental ou humain. D'après le panel consommateurs Kantar, l'écart de prix moyen d'un article (unitaire) payé par les clients pour un produit bio par rapport au conventionnel se réduit depuis trois ans. Il est passé de 22 % en 2021, à 11 % en 2024*. Cette approche ne prend cependant pas en compte tous les aspects, comme le poids de l'article (le bio privilégiant les plus petits conditionnement), son positionnement (le bio étant comparé ici une offre concurrente qui comporte des premiers prix) et surtout les assortiments (le bio étant présent sur des catégories plutôt valorisées). Cependant, il est je pense révélateur de la tendance. Les chiffres semblent juste minimisés. LINEAIRES dans ses différentes études (qui commencent à dater 😉 Agathe Lejeune) trouvait un écart de prix entre 50 et 70 % (en GMS) sur des codes strictement comparables. *données sur 12 mois arrêtés en juin 2024, tous circuits de distribution et sur les PGC-FLS uniquement.

[Les francais, les labels & l'i flation] 💡 Comme en bio, les labels bien connus tels que les Labels Rouges, AOP-AOC ou IGP, sont de plus en plus concurrencés. ↗️ Nous sommes passés d’en moyenne neuf labels et huit mentions connus des consommateurs en 2017 à treize labels et treize mentions en 2022. De quoi accentuer la concurrence dans une conjoncture plus propice à la descente en gamme qu’à la montée. 😍 Les labels doivent aujourd’hui réaffirmer leurs valeurs et leurs atouts auprès des consommateurs qui doutent plus facilement. ⚠️ Problème : Les budgets 💰 de communication des organismes défenseurs des signes de qualité sont souvent restreints, Et les évolutions des cahiers 📚 des charges, permettant aux signes de se prévaloir de nouvelles allégations (notamment environnementales), sont très longues à voir le jour. Ce décalage entre attentes des consommateurs et adaptation de l’offre devra inévitablement se réduire si ces signes de qualité historiques veulent conserver leur place dans les paniers. 📢 Et vous c'est quoi votre label ou mention de qualité préféré ? #CRABequipecircuitscourts #SIOQ