Moment incroyable hier soir : le maire de Lyon, le vrai, Gregory Doucet, est passé à la répétition de "Lazare fait bien les choses"! Il s'est ainsi retrouvé face à face avec son double théâtral, le maire de Lyon de la pièce, Gabriel de Couëssin ! 😂 3 représentations, ce jeudi, ce vendredi et ce samedi. Il reste encore quelques places ! https://lnkd.in/eFHP8u_J
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Vous cherchez des spectacles drôles et intelligents à Paris ? Voici deux exemples qui vont vous emballer !
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Dans la foulée de la levée de boucliers - entièrement justifiée - visant à protéger le cabaret La Tulipe des effets délétères de la récente décision de la Cour d'appel du Québec : semble qu'on soit dûs pour une solide discussion sur les rapports entre société et arts vivants! Rappelons que trois théâtres de Québec doivent actuellement se battre, devant cette même cour d'appel, pour confirmer leur droit (avec avertissement préalable aux spectateurs éventuels) de faire fumer des cigarettes aux herbes par des comédien-nes sur scène! Dans cette discussion collective, il va être important de rappeler que les arts vivants, par définition, vont toujours être à la source d'inconforts pour certain-es; et que, collectivement, on a beaucoup (beaucoup) à perdre en faisant de ces inconforts individuels des limites à l'expression de ces mêmes arts vivants ! Et aussi, constat proprement "scandaleux" de mon séjour à New-York : semble qu'on permette aux productions théâtrales de Broadway le droit que des cigarettes aux herbes puissent être fumées sur scène ;) #polqc #libertédexpression #libertédexpressionartistique #théâtre #artsdelascène #artsvivants #latulipe
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𝐓𝐮 𝐧𝐞 𝐬𝐚𝐢𝐬 𝐩𝐫𝐨𝐛𝐚𝐛𝐥𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐩𝐚𝐬 𝐝'𝐨𝐮̀ 𝐯𝐢𝐞𝐧𝐧𝐞𝐧𝐭 𝐥𝐞𝐬 𝐭𝐫𝐨𝐢𝐬 𝐜𝐨𝐮𝐩𝐬 𝐚𝐮 𝐭𝐡𝐞́𝐚̂𝐭𝐫𝐞 👀 Cette tradition théâtrale, comme beaucoup d'éléments historiques du spectacle vivant, est incertaine dans son explication. Je peux cependant te donner trois pistes qui ressortent le plus souvent, mais il en existe bien d'autres. 𝐐𝐮'𝐞𝐬𝐭-𝐜𝐞 𝐪𝐮𝐞 𝐜'𝐞𝐬𝐭 𝐪𝐮𝐞 𝐥𝐞𝐬 𝐭𝐫𝐨𝐢𝐬 𝐜𝐨𝐮𝐩𝐬 ? C'est très simple, c'est une tradition consistant en trois coups frappés sur le plateau ou une surface dure pour annoncer le début d’une représentation théâtrale 🎭 𝐌𝐚𝐢𝐬 𝐝'𝐨𝐮̀ 𝐯𝐢𝐞𝐧𝐭 𝐜𝐞𝐭𝐭𝐞 𝐞́𝐭𝐫𝐚𝐧𝐠𝐞 𝐭𝐫𝐚𝐝𝐢𝐭𝐢𝐨𝐧 ? 𝟏. 𝐈𝐧𝐭𝐞𝐫𝐩𝐫𝐞́𝐭𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐫𝐞𝐥𝐢𝐠𝐢𝐞𝐮𝐬𝐞: La première interprétation possible provient du Moyen Âge. Les trois coups seraient alors le symbole des trois branches de la trinité catholique : le Fils, le Père et le Saint-Esprit. 𝟐. 𝐄́𝐩𝐨𝐪𝐮𝐞 𝐝𝐞 𝐌𝐨𝐥𝐢𝐞̀𝐫𝐞: Une autre explication remonte à l'époque de Molière où les comédiens annonçaient l'arrivée du Roi, de la Reine et du Dauphin en effectuant trois sauts. 𝟑. 𝐄𝐱𝐩𝐥𝐢𝐜𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐭𝐞𝐜𝐡𝐧𝐢𝐪𝐮𝐞: La dernière explication, et la plus technique, réside dans le fait que le signal de départ était donné par le régisseur qui martelait le sol de douze coups rapides pour avertir les machinistes, qui étaient en partie situés sous la scène, incapables de voir le spectacle 🙈 Il fallait attendre les trois coups de réponse, chacun provenant d’un endroit différent : le premier des cintres, le deuxième du dessous de la scène et le troisième de la coulisse opposée. Cette pratique permettait ainsi d'indiquer que les machinistes étaient prêts et que le régisseur pouvait ouvrir le rideau. Cette dernière théorie reste la plus plausible du fait de la présence de nombreux coups donnés au sol avant l'arrivée des trois coups d'annonce. L'image ci-dessous représente un brigadier, le fameux bâton permettant de taper le sol. Si tu veux en savoir plus sur ce bâton emblématique, glisse le mot 𝐁𝐑𝐈𝐆𝐀𝐃𝐈𝐄𝐑 dans ton commentaire et si tu veux d'autres théories sur le sujet, glisse 𝐓𝐇𝐄𝐎𝐑𝐈𝐄𝐒. Et toi, quelle théorie te semble la plus plausible ?
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🗞️ [LA PRESSE EN PARLE] Ce soir et jusque vendredi au Théâtre de la Manufacture - CDN Nancy-Lorraine, venez découvrir la création 𝙎𝙄𝙇𝙀𝙉𝘾𝙀 𝙑𝘼𝘾𝘼𝙍𝙈𝙀 . 👉 Lire l'interview de Claire Rappin pour sceneweb l'actualité du spectacle vivant
Soir de Première avec Claire Rappin
https://sceneweb.fr
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Découvrez le reportage de Handicap_fr consacré à nos séances du Roi Lion adaptées aux publics déficients visuels et auditifs. Ils étaient présents, ils vous en parlent !
C’est LA comédie musicale inclusive à ne pas manquer ! Le Roi lion, actuellement à l’affiche du théâtre Mogador à Paris, est parfois adapté aux publics déficients visuels et auditifs. La dernière représentation dédiée cette fois aux spectateurs sourds et malentendants, avait lieu le 26 novembre 2023. On y était ! Reportage. #spectacle #leroilion https://lnkd.in/gXWvj7nA
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Chère adhérente, cher adhérent, Depuis plusieurs années, l’Académie des Molières a choisi d’occulter lors de sa cérémonie une grande partie des artistes qui contribue à la création des spectacles. Les justifications avancées (audience, contraintes de format d’émission…) sont loin d’être convaincantes. S’il faut se féliciter que le théâtre ait, une fois par an, un espace d’expression à la télévision, ne soyons pas naïfs, cette soumission aux diktats de l’audimat témoigne de la place réduite du théâtre dans l’espace public. Dans ces conditions, que faire ? Accepter docilement cette cruelle fatalité ? Quels recours avons-nous réellement ? Comment renouveler l’intérêt du public et relancer la conquête de nouveaux spectateurs ? A l’heure où les coupes budgétaires se succèdent quasi quotidiennement dans la Culture, cette invisibilisation des collaboratrices et collaborateurs artistiques achève de convaincre l’ensemble de la société que ces coupes franches dans le financement du Spectacle Vivant ne sont pas si graves. Que l’on peut aisément faire l’impasse sur ces artistes de l’ombre. Qu’ils ne sont pas essentiels puisqu’on peut les supprimer en toute impunité. Pourtant que serait un spectacle sans ces artistes ? On ne le dira jamais assez : le théâtre est avant tout un art collectif où l’apport de chaque personne contribue à la richesse du spectacle dans son ensemble. Scénographes, costumières-costumiers, éclairagistes, compositrices-compositeurs... ce sont ces artistes qui par leur talent donnent corps à la vision de la metteuse ou du metteur en scène. En ignorant un pan entier du processus créatif, la cérémonie des Molières appauvrit la représentation de notre art et de nos métiers et par conséquent, avilit le théâtre en donnant au public une image extrêmement simpliste de ce qu’est la création d’une œuvre spectaculaire. Dans la crise que nous traversons, nous avons la responsabilité en tant que metteuses et metteurs en scène de lutter contre tout ce qui fragilise l’ensemble de la chaine de production artistique, et de défendre en premier lieu tous les métiers de la création. Mettons fin à cette injustice en rendant à nouveau hommage à ces artistes qui, par leur talent et leur dévouement, contribuent à la richesse et à la diversité du paysage théâtral français. Redonnons-leurs la place qu'ils méritent car leur contribution est indispensable à l'art vivant. Exigeons de l’Académie des Molières qu’elle réhabilite nos collaboratrices et collaborateurs artistiques. N’acceptons d’y participer que s’ils retrouvent leur place légitime. Car ce n'est qu'en reconnaissant le travail de tous les artistes, visibles et invisibles, en valorisant chaque contribution, en célébrant cette richesse et cette diversité que nous pourrons véritablement réinsuffler au théâtre sa vitalité et redonner au public une appétence pour cet art essentiel à notre communauté humaine.
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Ce vendredi 26 juillet, le show de près de quatre heures concocté par le metteur en scène Thomas Jolly a peut-être mis un terme à l’un des "récits maitres" les plus installés de ces dernières années : celui d’une culture française en inéluctable déclin, cédant aux sirènes d’une américanisation affadissante. Les 300 000 spectateurs et, plus encore, le milliard de téléspectateurs des quatre coins de la planète, ont assisté à l’exact contraire : une réaffirmation, par l’art, de la puissance intacte de « l’esprit français » - avec tout ce qu’il charrie d’audace, de créativité, de transgression, mais aussi d’imperfections (la réalisation télévisuelle franchement défaillante), d’abnégation (la pluie torrentielle) ou de kitsch (fièrement revendiqué). Comme un symbole, le premier tableau a mis en scène la francisation d’une icône de la pop-culture américaine : en hommage à la culture musicale du cabaret, Lady Gaga a interprété - en français, s’il vous plait - Mon truc en plumes de Zizi Jeanmaire. Autre effet spectaculaire, cette fois-ci du côté de notre imaginaire politique : la formidable réappropriation d’un récit national fédérateur. Toute cérémonie d’ouverture est un discours que l’on porte sur le pays, sur ce qui le tient, ce qui l’anime, l’émeut, le transcende – un acte esthético-politique devenu rare. Une enquête Ifop réalisée pour la Fondation Jean-Jaurès en 2022 montrait la perception d’un déficit abyssal de conteurs nationaux : à la question de savoir qui racontait le mieux la France aujourd’hui, c’était la réponse « personne » qui arrivait en tête d’une liste de dix émetteurs (artistes, politiques, écrivains, humoristes, etc). C’est dire si le geste était attendu. Loin des crispations identitaires, ne cédant ni à la tentation de la glorification mythifiée comme lors de la cérémonie d’ouverture des Jeux de Pékin (2008), ni à la facilité des stéréotypes nationaux un brin passéistes, alignés les uns après les autres lors de la cérémonie d’ouverture la coupe du monde de rugby (2023), la cérémonie d’ouverture de Paris 2024 a raconté une France "unie dans la diversité". Ce qui est puissant dans le discours proposé, c’est qu’il fait la démonstration visuelle que les différences culturelles, temporelles et géographiques peuvent se vivre autrement que comme des archipels en conflit les uns contre les autres. À l’écran, les pratiques de dance les plus éloignées formaient un tout follement bigarré, mais tirant dans la même direction – et ce, de la danse folklorique auvergnate au voguing, waacking, et autres breaking ; du classicisme à-la-Lully au modernisme électro-pop déjanté, du danseur étoile Guillaume Diop à la Drag Queen Piche. La France est une œuvre de composition : la preuve avec le duo improbable formé de la garde républicaine et d’Aya Nakamura pour interpréter une chanson d’Aznavour, le tout devant l’Académie française. Plutôt que de s’opposer, voilà les Anciens et les Modernes réunis le temps d’une chanson.
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J -4 Prenez vos billets 🎟 pour une soirée business et rires 😀
CEO SWIPE France 🇫🇷 Conférencier spectacle et entreprises 🎵🎤 President du Nantes Atlantique Business Club, Membre APM
J-4 jours 🤩… Avant ma conférence spectacle « suivre sa voix » 🙌 Rendez-vous le 17 avril au théâtre du Sémaphore à Nantes. Ouverture des portes à 19h00 / début du spectacle 19h30 Une conférence spectacle en paroles et chansons revisitées 🎤🎵 Et 2️⃣ surprises en première partie dont un stand up de "Zoé" qui fait ses premières scènes. Humour à la clé 🔑 et.... Alors venez découvrir une conférence inédite et chanter avec moi 🥳 Welcome 😀 Inscription https://lnkd.in/gvaucyAv Produit par M2M PRODUCTION et mise scène par Marie Leresteux - BOITE EN SCÈNE 😀
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Ce vendredi 26 juillet, le show de près de quatre heures concocté par le metteur en scène Thomas Jolly a peut-être mis un terme à l’un des "récits maitres" les plus installés de ces dernières années : celui d’une #culture #française en inéluctable déclin, cédant aux sirènes d’une américanisation affadissante. Les 300 000 spectateurs et, plus encore, le milliard de téléspectateurs des quatre coins de la planète, ont assisté à l’exact contraire : une réaffirmation, par l’art, de la puissance intacte de « l’esprit français » - avec tout ce qu’il charrie d’audace, de créativité, de transgression, mais aussi d’imperfections (la réalisation télévisuelle franchement défaillante), d’abnégation (la pluie torrentielle) ou de kitsch (fièrement revendiqué). Comme un symbole, le premier tableau a mis en scène la francisation d’une icône de la pop-culture américaine : en hommage à la culture musicale du cabaret, Lady Gaga a interprété - en français, s’il vous plait - Mon truc en plumes de Zizi Jeanmaire. Autre effet spectaculaire, cette fois-ci du côté de notre imaginaire politique : la formidable réappropriation d’un récit national fédérateur. Toute cérémonie d’ouverture est un discours que l’on porte sur le pays, sur ce qui le tient, ce qui l’anime, l’émeut, le transcende – un acte esthético-politique devenu rare. Une enquête Ifop réalisée pour la Fondation Jean-Jaurès en 2022 montrait la perception d’un déficit abyssal de conteurs nationaux : à la question de savoir qui racontait le mieux la France aujourd’hui, c’était la réponse « personne » qui arrivait en tête d’une liste de dix émetteurs (artistes, politiques, écrivains, humoristes, etc). C’est dire si le geste était attendu. Loin des crispations identitaires, ne cédant ni à la tentation de la glorification mythifiée comme lors de la cérémonie d’ouverture des Jeux de Pékin (2008), ni à la facilité des stéréotypes nationaux un brin passéistes, alignés les uns après les autres lors de la cérémonie d’ouverture la coupe du monde de rugby (2023), la cérémonie d’ouverture de Paris 2024 a raconté une France "unie dans la diversité". Ce qui est puissant dans le discours proposé, c’est qu’il fait la démonstration visuelle que les différences culturelles, temporelles et géographiques peuvent se vivre autrement que comme des archipels en conflit les uns contre les autres. À l’écran, les pratiques de dance les plus éloignées formaient un tout follement bigarré, mais tirant dans la même direction – et ce, de la danse folklorique auvergnate au voguing, waacking, et autres breaking ; du classicisme à-la-Lully au modernisme électro-pop déjanté, du danseur étoile Guillaume Diop à la Drag Queen Piche. La France est une œuvre de composition : la preuve avec le duo improbable formé de la garde républicaine et d’Aya Nakamura pour interpréter une chanson d’Aznavour, le tout devant l’Académie française. Plutôt que de s’opposer, voilà les Anciens et les Modernes réunis le temps d’une chanson. Raphaël LLorca
Communicant - Essayiste - Co-directeur de l’Observatoire « Marques, imaginaires de consommation et Politique » à la Fondation Jean Jaurès
Ce vendredi 26 juillet, le show de près de quatre heures concocté par le metteur en scène Thomas Jolly a peut-être mis un terme à l’un des "récits maitres" les plus installés de ces dernières années : celui d’une culture française en inéluctable déclin, cédant aux sirènes d’une américanisation affadissante. Les 300 000 spectateurs et, plus encore, le milliard de téléspectateurs des quatre coins de la planète, ont assisté à l’exact contraire : une réaffirmation, par l’art, de la puissance intacte de « l’esprit français » - avec tout ce qu’il charrie d’audace, de créativité, de transgression, mais aussi d’imperfections (la réalisation télévisuelle franchement défaillante), d’abnégation (la pluie torrentielle) ou de kitsch (fièrement revendiqué). Comme un symbole, le premier tableau a mis en scène la francisation d’une icône de la pop-culture américaine : en hommage à la culture musicale du cabaret, Lady Gaga a interprété - en français, s’il vous plait - Mon truc en plumes de Zizi Jeanmaire. Autre effet spectaculaire, cette fois-ci du côté de notre imaginaire politique : la formidable réappropriation d’un récit national fédérateur. Toute cérémonie d’ouverture est un discours que l’on porte sur le pays, sur ce qui le tient, ce qui l’anime, l’émeut, le transcende – un acte esthético-politique devenu rare. Une enquête Ifop réalisée pour la Fondation Jean-Jaurès en 2022 montrait la perception d’un déficit abyssal de conteurs nationaux : à la question de savoir qui racontait le mieux la France aujourd’hui, c’était la réponse « personne » qui arrivait en tête d’une liste de dix émetteurs (artistes, politiques, écrivains, humoristes, etc). C’est dire si le geste était attendu. Loin des crispations identitaires, ne cédant ni à la tentation de la glorification mythifiée comme lors de la cérémonie d’ouverture des Jeux de Pékin (2008), ni à la facilité des stéréotypes nationaux un brin passéistes, alignés les uns après les autres lors de la cérémonie d’ouverture la coupe du monde de rugby (2023), la cérémonie d’ouverture de Paris 2024 a raconté une France "unie dans la diversité". Ce qui est puissant dans le discours proposé, c’est qu’il fait la démonstration visuelle que les différences culturelles, temporelles et géographiques peuvent se vivre autrement que comme des archipels en conflit les uns contre les autres. À l’écran, les pratiques de dance les plus éloignées formaient un tout follement bigarré, mais tirant dans la même direction – et ce, de la danse folklorique auvergnate au voguing, waacking, et autres breaking ; du classicisme à-la-Lully au modernisme électro-pop déjanté, du danseur étoile Guillaume Diop à la Drag Queen Piche. La France est une œuvre de composition : la preuve avec le duo improbable formé de la garde républicaine et d’Aya Nakamura pour interpréter une chanson d’Aznavour, le tout devant l’Académie française. Plutôt que de s’opposer, voilà les Anciens et les Modernes réunis le temps d’une chanson.
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Se préparer à faire mieux
Ah les coulisses ! Tant de choses s’y jouent ! « Lieu où se réunissent tous les soirs des diplomates, des officiers, des médecins, des journalistes, des auteurs, des libraires, et même... des comédiens. » ; c’est ainsi que le « Dictionnaire théâtral ou douze cent trente-trois vérités » décrit ce lieu interdit au profane. Dans l’ombre des projecteurs, je vous propose, avec cette vidéo, de jeter un regard en coulisse, au sens propre comme au sens figuré ! 😉 Les coulisses sont souvent le lieu privilégié pour se préparer, avant l’entrée en scène. Antichambre du spectacle, espace caché au sein duquel se prépare l’action... Combien de ressorts s’y sont joués, combien de dénouements y ont-ils été favorisés ? Face cachée de nombre d’évènement, les coulisses peuvent ainsi réserver bien des surprises ! Alors, je précise que toute ressemblance avec un évènement national récent ne saurait être qu'une pure coïncidence, évidemment ! Bref, c’est le pied (à coulisse), n’est-ce pas ! 🤭
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