💻🔌 Google franchit une nouvelle étape vers la décarbonisation de ses centres de données en misant sur l’énergie nucléaire. En collaboration avec Kairos Power, l’entreprise vise à déployer une flotte de réacteurs modulaires à sels fondus (SMR) de 500 MW d'ici 2035. Le premier réacteur, opérationnel dès 2030, permettra d’alimenter en électricité propre les infrastructures massives de Google, tout en renforçant son engagement vers un objectif de zéro émission nette. Source : https://lnkd.in/gZ5pZss9 💡 Cet accord marque un tournant pour Kairos Power, en apportant un soutien crucial à sa technologie innovante, le réacteur haute température refroidi au fluorure de sel (KP-FHR). En plus de réduire les coûts grâce à une approche itérative de développement, cette collaboration renforce la position de Kairos sur le marché mondial du nucléaire avancé. Pour Google, il s’agit d’un pas de plus vers une énergie propre disponible 24/7, essentielle pour ses opérations, notamment avec l'essor de l'intelligence artificielle. #Google #EnergieNucleaire #KairosPower #SMR #Décarbonisation #Althiatem #abonnement #AdaptationClimatique #TransitionÉnergétique 🌐⚡ L'énergie nucléaire, grâce à sa capacité à fournir une électricité fiable et sans carbone, se révèle être une solution incontournable pour décarboniser les réseaux électriques. Alors que Google accélère son innovation en matière de technologies énergétiques, cet accord réaffirme l'importance du nucléaire dans la transition vers un avenir plus durable.
Post de Pierre LAIGNEL
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Google envisage d'intégrer l'énergie de 6 à 7 petits réacteurs modulaires (SMR) d'ici 2035. Cette intégration promet une révolution énergétique, avec le premier réacteur prévu pour 2030. Ces SMR, qui pourraient délivrer 500 mégawatts d'électricité, répondront aux besoins des centres de données de Google, cherchant à minimiser leur empreinte carbone tout en maximisant le potentiel de l'IA. Malgré les avantages d'une énergie propre et continue, des inquiétudes subsistent concernant la sécurité des installations. Les coûts associés pourraient s'avérer élevés. De plus, la gestion des déchets radioactifs et les risques de radiation en cas de défaillance représentent des défis significatifs. Le débat est vif entre Google et les défenseurs de l'environnement. Ces derniers plaident pour des investissements dans des énergies renouvelables plus sûres, telles que l'éolien ou le solaire. Ils souhaitent ainsi éviter les risques associés à l'énergie nucléaire. Pourquoi c'est important : L'entrée de Google dans le domaine de l'énergie nucléaire pour alimenter l'IA marque un tournant majeur dans la quête d'énergies durables pour les géants technologiques. Si cette solution pourrait réactiver nos espoirs d'une IA plus verte, elle n'est pas sans risques. La sécurité, les coûts et l'acceptation publique sont autant de défis à relever.
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⚡ Après Microsoft, au tour de Google de recourir à l'énergie nucléaire pour faire face à l'explosion de l'IA. Dans un précédent post, il était question de relancer une centrale nucléaire pour alimenter les activités IA de Microsoft. https://lnkd.in/eBa8Z_YZ Aujourd'hui, c'est Google qui souhaite construire ses propres SMR (Small Modular Reactors) pour s'assurer une électricité décarbonée. (update : Amazon s’y met également, on aura bientôt tous les GAFAM) Dans l'article de l'Echo, on peut lire une intervention de Louis Golard et Martin Willame qui vaut le détour. "Si 1% de la population utilisait une fois par jour ChatGPT pour un réaliser un rapport de seulement quelques pages, 27 centrales nucléaires de grande taille seraient nécessaires, illustre son collègue. Quand on sait qu'aux États-Unis, on compte une petite centaine de centrales nucléaires, on comprend vite qu'à long terme, ajouter toujours plus de centrales n'est pas la solution. Il faut bien réaliser qu'on ne pourra pas utiliser l'IA partout et tout le temps. Si on continue avec un tel rythme d'adoption, la capacité de calcul nécessaire pour faire tourner l'IA ne va plus correspondre à ce qu'il serait réaliste de produire" Je propose donc deux questions : ❓ Dans un réseau électrique (belge) qui arrive à saturation, préférons nous alimenter une nouvelle consommation destinée à l'IA ou préférons nous électrifier nos usages et nos productions ? ❔ Dans une Europe qui a besoin de souveraineté énergétique, préférons-nous construire de nouveaux moyens de productions pour alimenter l'IA ou pour alimenter nos usages et augmenter notre compétitivité industrielle ? Graine par graine 🌱 PS : merci à L'Echo pour la qualité des articles ;) https://lnkd.in/eH3T5YSw
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Google se lance dans les mini réacteurs nucléaires pour alimenter l'IA : révolution verte ou coup marketing ? 💡 Google vient de signer un deal avec Kairos Power pour se brancher sur des petits réacteurs nucléaires modulaires (SMR). L’idée : fournir jusqu’à 500 MW d’énergie propre d’ici 2030. Sur le papier, c’est prometteur. Plus de centrales géantes, mais des réacteurs compacts, déployables rapidement. Mais, entre nous, est-ce vraiment la solution miracle ? 🔎 Des réacteurs plus petits, vraiment plus sécures ? Ces réacteurs sont moins chers, plus rapides à installer et nécessitent moins d’entretien, ce qui est top pour accélérer la transition énergétique. Mais il faut rester réaliste : tout ça reste à l’état de prototype. Google joue gros en misant sur une technologie pas encore éprouvée. Est-ce une bonne chose ? Peut-être. Mais avant de sauter de joie, il faudra voir si tout ça tient la route dans la durée. ⚡ Et l’IA dans tout ça ? L'essor de l'IA est incroyable, mais sa consommation énergétique est un vrai casse-tête. Google cherche une solution propre, mais est-ce que la mini-nucléaire suffira pour alimenter cette énorme demande énergétique sans basculer vers d’autres sources fossiles ? L’intention est là, mais on pourrait aussi se demander si c’est assez pour compenser l’impact global des data centers... 🌍 Sauver la planète ou se donner bonne conscience ? D'un côté, Google met le pied dans une technologie prometteuse qui pourrait révolutionner le secteur énergétique. De l’autre, on ne peut pas ignorer qu’ils investissent aussi dans d'autres solutions moins expérimentales comme l’éolien et le solaire. Alors, coup de com’ ou véritable pas en avant ? On va devoir attendre quelques années pour voir les résultats. Finalement, est-ce que les mini-réacteurs nucléaires sont vraiment la solution verte qu’on attendait ? Ou est-ce juste un autre chapitre dans la stratégie de Google pour faire face à ses besoins énergétiques colossaux ? Lien vers l'information : https://lnkd.in/gr_TKmag
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🌍💡 Google investit dans le nucléaire de nouvelle génération ! Pour répondre aux besoins énergétiques croissants de ses data centers, Google s’associe avec Kairos Power pour utiliser des petits réacteurs modulaires (SMR) dès 2030. Une avancée vers des solutions durables pour l’ère numérique. #Nucléaire #Google #SMR #Énergie #TransitionÉnergétique
Google va acheter de l'énergie nucléaire à Kairos, produite par de petits réacteurs
lesechos.fr
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🔴Sous l’impulsion de Microsoft, la centrale nucléaire de Three Mile Island, aux Etats-Unis, va renaître de ses cendres. Le géant de la tech s’est engagé à se fournir en énergie “décarbonée” auprès de ce site mis à l’arrêt depuis plusieurs années pour soutenir la consommation effrénée de ses centres de données Le choix de Three Mile Island n’est pas anodin. Si ce nom ne vous dit peut-être rien, il est pourtant associé au plus grave accident nucléaire recensé aux Etats-Unis. En 1979, le cœur de l’unité 2 fond en partie à la suite d’une série de défaillances – mécanique et humaine – des systèmes de refroidissement. Sans faire de victimes, l’événement a tout de même abouti à la perte du réacteur, aujourd’hui en démantèlement. C’est donc l’unité 1 du site de production d’énergie qui sera mis à contribution pour fournir les infrastructures de Microsoft. A terme, Three Mile Island renommé Crane Clean Energy Center pour l’occasion, fournira 837 mégawatts de puissance, soit l’équivalent de la consommation de 800 000 foyers. Car les promesses de neutralité carbone d’ici 2030 du géant de l’informatique semblent battre de l’aile. A contre-courant de ses objectifs, Microsoft a vu ses émissions augmenter de 30% depuis 2020. En cause, l’expansion de ses “services d’intelligence artificielle”. L’article complet de Florine Morestin à retrouver sur Novethic, évidemment ! https://lnkd.in/e2JcVrGD
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Ces « mini-réacteurs » nucléaires sont la nouvelle priorité des géants du numérique comme #Google. Avec le #cloud et l’#IA générative, les #Gafam sont de plus en plus gourmands en électricité et se tournent vers des sources d’énergie encore expérimentales, comme les #SMR. https://lnkd.in/eeCpUmCE
Pourquoi les Gafam raffolent de ces réacteurs nucléaires
huffingtonpost.fr
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🚀 IA générative : Google commande des mini-réacteurs nucléaires pour alimenter ses data centers Google a annoncé un partenariat avec Kairos Power pour acheter de l’énergie nucléaire via des mini-réacteurs (SMR). Ces réacteurs de nouvelle génération, d'une capacité de 25 à 300 mégawatts, visent à répondre à la demande croissante d'énergie pour les data centers et bureaux de Google, tout en réduisant les émissions de carbone. 📅 Objectif 2030 Google prévoit de mettre en service le premier SMR de Kairos d'ici 2030, avec un déploiement supplémentaire jusqu'en 2035. La firme table sur une production totale de 500 mégawatts, s'inscrivant dans son objectif de zéro émission nette de carbone d'ici 2030. 💡 Innovation et Économies Les SMR de Kairos Power utilisent un système de sels fondus pour le refroidissement, une technologie moins énergivore que les réacteurs traditionnels. Bien que coûteux à développer, ces réacteurs pourraient offrir des économies significatives à long terme. 🌟 Engagement Écologique Google multiplie ses investissements dans les énergies renouvelables, notamment l'éolien et le solaire. En février, la firme a signé un contrat pour deux parcs éoliens en mer aux Pays-Bas, représentant 478 mégawatts. #Innovation #ÉnergieNucléaire #DataCenters #DéveloppementDurable #Google #Technologie
IA générative : Google commande des mini-réacteurs nucléaires pour alimenter ses data centers
usine-digitale.fr
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🚀 Google se lance dans le nucléaire - 🎯 L'objectif ambitieux de Google : 🌿 Zéro émission nette de carbone d'ici 2030 🤖 Alimenter ses projets d'IA énergivores - 💡 La solution innovante : 🔬 Partenariat avec Kairos Power 🏭 Construction de petits réacteurs modulaires (PRM) - 🔬 Technologie de pointe : 🧂 Refroidissement par sels fondus 🔥 Combustible céramique en forme de boulet 🔒 Système à sécurité passive - ⚡ Avantages des mini-réacteurs : 🏗️ Construction plus rapide 📍 Implantation flexible près des zones de besoin 💪 Jusqu'à 500 mégawatts d'énergie décarbonée - 📅 Calendrier : 🎉 Premier réacteur opérationnel en 2030 🔜 Déploiement progressif sur 5 ans Cette initiative audacieuse de Google montre que les géants de la tech sont prêts à innover pour concilier développement technologique et responsabilité environnementale. Qu'en pensez-vous ? L'avenir de l'IA passe-t-il par le nucléaire propre ? #InnovationÉnergétique #TechVerte #NucléairePropre #GoogleSustainability https://lnkd.in/gG_sPwGc
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Mais enfin, pourquoi ces fournisseurs de cloud et d'IA optent-ils pour le nucléaire alors que le soleil et le vent sont là, inépuisables ! Il suffirait de déployer 1200 éoliennes de 3 MW pour produire les 900 MW nécessaires en moyenne, en les répartissant sur des régions (au total environ 10000 à 15000 ha) suffisamment éloignées les unes des autres pour réduire la probabilité qu'elles soient toutes arrêtées en même temps ! Et puis, en cas de baisse de puissance, il suffirait de couper partiellement le service et de demander aux utilisateurs d'attendre un peu... C'est si simple, les ENRi !
Amazon et Microsoft votent ☢️🧐 🤔 Les ENR sont intermittentes donc pas compatibles avec une continuité de service 😟 Pour la continuité de service, il est indispensable de maintenir une capacité pilotable égale à la totalité du besoin, EN PLUS de la capacité intermittente 😳 Dans ces conditions inévitablement les coûts explosent Pas étonnant qu'Amazon et Microsoft aient choisi l'atome. Et nous en 🇨🇵 ? On augmente la part des ENR ???
Les géants du numérique se convertissent au nucléaire pour étancher les besoins énergétiques toujours plus importants de l’IA
lemonde.fr
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L'une des premières contraintes que l'on perçoit dans le déploiement massif de l'IAGen est l'impact énergétique de ce type d'approche ou comment les fournisseurs d'IA/LLM doivent également "garantir" leur indépendance énergétique pour que leurs services puissent être exploités donc vendus. https://lnkd.in/gF_xqiGi Mon propos n'est pas de critiquer le choix de Microsoft quant à la nature de l'énergie choisie mais plutôt de mettre en lumière les montants faramineux investis dans la R&D IAGen, ainsi que dans l'infrastructure énergétique. Rarement une industrie a été autant capitalistique limitant d'autant plus les nouveaux entrants. #Data #IAGen
IA générative : Microsoft relance la centrale nucléaire de Three Mile Island pour alimenter ses data centers
usine-digitale.fr
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