Post de Préma Bien-Être

Nouveau projet valorisé ! Moins bien préparé à son environnement que les nouveau-nés à terme, l’enfant prématuré nécessite une attention spécifique et une adaptation des soins prodigués. Les améliorations environnementales ont un impact direct sur les chances de survie et le développement cognitif de ces bébés. Améliorer les conditions de vie des bébés prématurés - https://lnkd.in/emzy96hG - Moins bien préparé à son environnement que les nouveau-nés à terme, l’enfant prématuré nécessite une attention spécifique et une adaptation des soins prodigués. Les améliorations environnementales ont un impact direct sur les chances de survie et le développement cognitif de ces bébés. Un projet à valoriser ? Prenez rendez-vous avec trois petits points : https://lnkd.in/eXtWHB-C S'inscrire à la newsletter : https://lnkd.in/eTxfsczX Envoyez-nous un message : https://lnkd.in/ezfizRj5

Nouveau projet valorisé ! Moins bien préparé à son environnement que les nouveau-nés à terme, l’enfant prématuré nécessite une attention spécifique et une adaptation des soins prodigués. Les améliorations environnementales ont un impact direct sur les chances de survie et le développement cognitif de ces bébés. Améliorer les conditions de vie des bébés prématurés - https://lnkd.in/emzy96hG - Moins bien préparé à son environnement que les nouveau-nés à terme, l’enfant prématuré nécessite une attention spécifique et une adaptation des soins prodigués. Les améliorations environnementales ont un impact direct sur les chances de survie et le développement cognitif de ces bébés. Un projet à valoriser ? Prenez rendez-vous avec trois petits points : https://lnkd.in/eXtWHB-C S'inscrire à la newsletter : https://lnkd.in/eTxfsczX Envoyez-nous un message : https://lnkd.in/ezfizRj5

" .......... Le fossé est profond entre la réalité du terrain d’une part, d’autre part la société civile qui attend tout des soignants sans leur en donner les moyens (pas assez de soins palliatifs), les politiques qui s’apprêtent à voter une loi qui sera de fait inique, inapplicable, avec un délit d’entrave pour ceux (dont je serai car je suis psychiatre) qui n’euthanasieront pas les malades qui font des tentatives de suicide. Il faut beaucoup plus de nuances de délicatesse, de courage pour comprendre tout ce qui se joue en fin de vie… et ce sont majoritairement des personnes âgées qui décèdent … .........." " ........... D’enjeu sanitaire, le suicide des personnes âgées devient un enjeu sociétal. Dans un tel contexte, mettre en avant le « libre choix » en faveur du suicide assisté (qui est en quelque sorte un « suicide sur prescription médicale ») ou de l’euthanasie (le médecin injecte alors le produit létal), au prétexte que la demande serait déjà là pose question. De quelle demande s’agit-il ? De celle de la personne qui, à un moment donné, se trouvant dans une impasse existentielle, décide de mettre fin à ses jours, à l’instar de Léontine, 98 ans, qui me confie, assise dans son fauteuil roulant : « Je ne veux pas déranger et être un poids pour mes enfants. Vivre comme ça, ce n’est pas une vie… » Puis ajoute : « J’aimerais quand même bien les revoir, mes enfants et mes petits-enfants aussi. C’est eux le sel de la vie. » Après la crise suicidaire, se met en place une temporalité très importante : la main tendue, la réflexion, la critique d’un geste désespéré et le retour à la vie. Rappelons que le suicide n’est pas un droit, mais une liberté, garantie depuis 1791 par l’article 4 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen. Le suicide est considéré comme la dernière expression de la liberté de l’individu. Mais la liberté de choisir du suicidant peut, dans la réalité, être entravée du fait d’une souffrance psychique intolérable, que seul le projet suicidaire viendra apaiser. Se suicider est alors, avant tout, un drame personnel, familial et sociétal. Dans de tels cas, les demandes explicites d’euthanasie sont très rares et cèdent dès qu’une prise en charge adéquate est mise en place............"

{Mortalité maternelle} Un décès lié à la grossesse ou à l’accouchement a lieu tous les quatre jours en France. Tel est le bilan de l’étude menée par l’Inserm et Santé publique France. Le suicide et les maladies cardiovasculaires en sont les premières causes. Et de fortes inégalités, territoriales et sociodémographiques, persistent. Je précise que ces chiffres sont connus depuis des années. ☆ Voilà une des raisons qui me font me lever le matin pour parler haut et fort des compétences périnatales des doulas- accompagnant.es périnatales et postnatales. ℹ️ Ces professionnel.les qui interviennent essentiellement au domicile de la femme peuvent agir en prévention, informer et orienter vers les pro de santé pour une prise en charge adaptée à leurs besoins. ℹ️ iels peuvent aussi de part leur présence, soutien logistique et émotionnel et écoute alléger la charge mentale et tempérer les moments de stress intense. . Vous en connaissiez ces chiffres ? Ils sont eux aussi intolérables! . #santedesfemmes #mortalitematernelle #prévention #soutiendesfemmes #politiquepubliquesantedesfemmes . ➡️ https://l.humanite.fr/l7

👫Des vies bouleversées dès l'enfance. Enzo(12 ans) et Laure(20 ans), 2 jeunes atteints de #CovidLongPediatrique, témoignent de leur quotidien : fatigue chronique, douleurs articulaires, fièvres, isolement… Une jeunesse marquée par la maladie. 📢🇨🇭Les associations Long Covid Kids Suisse et #ProtectTheKids dénoncent un manque criant de suivi scolaire et médical. Malgré des brochures éducatives prêtes depuis juin, les écoles ne les ont pas reçues à temps pour agir efficacement. 📚Enzo : un parcours scolaire chamboulé. Tombé malade en 2021, Enzo alterne entre cours à domicile et absences. Malgré des aménagements scolaires, il redouble la 8e. « J’étais épuisé de devoir sans cesse rattraper la matière », confie-t-il. ⚖️Des soutiens inégaux La mère d’Enzo, elle-même atteinte de #CovidLong, souligne leur chance d’avoir été aidés par l’école. Mais tous n’ont pas cette chance : l’accompagnement varie selon les établissements et cantons. 🪫Laure : un burn-out à 19 ans. Malade depuis ses 16 ans, Laure a dû abandonner le collège après un burn-out. Elle poursuit aujourd'hui un apprentissage, dans un environnement « plus compréhensif ». Mais les stigmates restent. 🗣️Une « zone grise » selon les parents. « Les enfants #CovidLong ne sont ni gravement malades ni juste grippés. Leur état fluctue et demande un soutien scolaire flexible », souligne Marie-Laure Bianchi. ➡️Errance médicale et manque de moyens: Selon les associations, les pédiatres manquent de formation sur le #CovidLongPediatrique et les structures spécialisées, comme celles des HUG, sont débordées. 🤯Une pathologie encore méconnue: Les recherches progressent : le #CovidLong touche davantage les ados, les filles, et ceux avec des maladies chroniques. Pourtant, les traitements restent souvent inefficaces, comme en témoigne Laure. https://lnkd.in/eyB4aHuc jRépondre ❓Et en France ?🇫🇷 La situation est similaire, avec une prise en charge scolaire qui dépend souvent des établissements et des académies. Peu d’enseignants sont formés sur le #CovidLong. Résultat : les élèves malades sont livrés à eux-mêmes, avec des aménagements trop rares ou inadaptés. 🚨Des associations en alerte: En France, des associations comme Association Covid Long enfants, Ecole oubliée, #ApresJ20 - Association Covid Long France#ApresJ20 - Association Covid Long France militent pour sensibiliser les écoles et les autorités. 🎯Leur objectif : garantir un suivi personnalisé des jeunes malades, avec des dispositifs d’enseignement à distance ou un allègement des programmes pour éviter décrochage et isolement. 🚨Le #CovidLongPediatrique est une urgence sous-estimée. Améliorer la prise en charge, sensibiliser écoles et médecins, et mieux accompagner les familles sont des priorités. #Apresj20 #LongCovidKids 

Médicalisation de la vieillesse ? "La gériatrie a grandi en même temps que le nombre de personnes âgées augmentait. ./. "Dans les années 1970, les « vieux » n’étaient pas soignés. On organisait des services dits de « désencombrement » ./.. Il fallait se battre pour obtenir des soins ou des explorations médicales pour les personnes âgées. Le risque n’était pas à la surmédicalisation mais à la sous-médicalisation. "Aujourd’hui, la gériatrie s’est développée, tant en termes de moyens financiers que de possibilités techniques. Au point que la question peut être alors inversée. Les personnes âgées sont-elles au contraire trop traitées" ? "Les personnes âgées disent rarement « non » à une proposition de traitement et souhaitent avoir accès à tous les progrès techniques disponibles. ./. Personnes âgées et proches font confiance au monde médical dans son ensemble et ne veulent pas qu’il baisse les bras trop tôt." "Les proches rencontrés lors de ces études, même s’ils sont présents et vigilants quant à la prise en charge du patient âgé, préfèrent rester assez discrets dans le processus décisionnel, car ils sont assez réticents à assumer le poids de la responsabilité, ./. Pour autant, ils sont demandeurs de soins, si ce n’est plus que les patients, en particulier si ces derniers ne peuvent plus les réclamer. Cela peut même aller jusqu’à des demandes d’acharnement thérapeutique." "Il paraît en effet plus intéressant et déterminant de s’interroger sur les services que l’on rend aux personnes âgées plutôt que de savoir si elles sont sous ou surmédicalisées" La médicalisation est souvent une réponse immédiate qui masque d’autres besoins auxquels il n’est pas répondu. Force est de constater que plus on médicalise, plus grand est le risque de déshumanisation. Il est en effet clairement apparu que plus on médicalise un lieu de prise en charge de personnes âgées, que ce soit en institution ou à domicile, plus l’endroit risque d’être déshumanisé et difficile à vivre pour tout le monde, patients, proches et soignants. Alors même que tous y mettent du leur pour que ce soit l’inverse ! La médicalisation peut donc être source de déshumanisation, d’un certain prolongement de la période de fin de vie, de fragmentation de la prise en charge des personnes âgées au détriment d’une prise en charge globale Ces situations posent aussi la question du temps du mourir. Il semble qu’aujourd’hui, la mort ne soit plus liée à la seule usure des organes. Elle est plus technicisée ou plus artificielle. Or, le moment de la mort est rarement interrogé" "le respect de l’autonomie des personnes ne se résume pas au consentement. Il nous paraît que l’on répondra d’autant mieux aux besoins de la personne si l’on comprend sa singularité et son passé" extraits par Nicolas Foureur

[Journée mondiale de la prématurité 2024] Hier c’était la journée mondiale de la prématurité. C’est un sujet pour lequel nous accordons énormément d’importance chez Handicap Agir tôt.  À l'échelle mondiale, la prématurité représente la principale cause de mortalité chez les enfants de moins de cinq ans. En France, ce phénomène constitue également un défi majeur de santé publique : un bébé naît prématurément toutes les dix minutes, soit environ 50 000 naissances par an. Pour garantir un maximum de sécurité, il est essentiel que ces naissances aient lieu dans des maternités disposant d'équipes spécialisées en réanimation pédiatrique. Malgré cela, les capacités de prise en charge restent insuffisantes par rapport aux besoins, avec des disparités marquées selon les territoires. Nous organisons 2 journées de formations les 21 et 22 novembre afin de sensibiliser sur la place fondamentale des parents dans l’accompagnement de leur enfant prématuré. Pour en savoir plus : https://lnkd.in/ew_WcMwh #journéemondialeprématurité #Handicapagirtôt #Handicap #actionprécoce #prématuré #prématurité

📅 17 novembre: journée mondiale de la prématurité. L'occasion pour nous de relayer un appel à témoignages concernant les jeunes adultes nés grands prématurés 👶. 📣 Vous avez entre 18 et 30 ans, vous êtes né(e) avant 6 mois de grossesse (32 semaines d’aménorrhées), et vous habitez en Pays de la Loire ? Votre vécu de la prématurité peut devenir une ressource précieuse pour mieux comprendre ses impacts à l’âge adulte. Le réseau régional Grandir Ensemble dont fait partie le CHU de Nantes, recherche des jeunes adultes pour former un groupe d’appui bénévole au sein de son conseil scientifique. En partageant vos expériences et points de vue, vous contribuerez à enrichir la réflexion des professionnels de santé sur les enjeux de la prématurité et à orienter la recherche sur les besoins des enfants prématurés. Votre mission : 👉 participer à 2 réunions annuelles, en présentiel ou distanciel 👉 aider à définir les priorités de recherche et les questions importantes à explorer 👉 partager votre avis sur les connaissances à transmettre aux familles et aux jeunes 🕒 Engagement : une durée minimale de 3 ans Intéressé(e) ? Contactez le réseau par mail à : coordination@reseau-naissance.fr #Ingénieux #Éclaireur #ActivisteDuSoin #Coopérateur

❕ En Pays de Loire, 5500 enfants sont suivis par le Réseau Grandir Ensemble 👶 👦 👩 ➡ Ces enfants présentent une vulnérabilité en raison de leur naissance prématurée ou d’une pathologie en période néonatale. ➡ Un suivi médical spécifique leur est donc proposé, de la naissance jusqu’à leurs 7 ans 👉 Plus d'infos sur Grandir Ensemble https://lnkd.in/e2P7FfWu 🌞 ◾ ◾ ◾ Retrouvez ici quelques chiffres clés sur l’évolution des inclusions depuis 10 ans au sein du Réseau : 🔎 Entre 750 et 900 enfants inclus annuellement 🕧 + de 2/3 d’enfants inclus en raison de leur prématurité 👦 56% de garçons 📆 Les enfants nés entre 31 et 33 semaines d’aménorrhées sont les plus nombreux 👉 En savoir plus : https://lnkd.in/eYB4quTF #grandirensemble #réseausécuriténaissance #paysdelaloire #vulnérabilité #prématurité #pédiatrie #suivipédiatrique #néonatologie

Prévenir et prendre en charge la santé mentale des mères permettrait d'éviter 60% des décès maternels 😮 📚Une étude récente menée par l'Inserm et Santé Publique France met en lumière un constat alarmant : le suicide est désormais identifié comme la principale cause de mortalité maternelle, ce jusqu'à un an après la fin de la grossesse. 📊Alors que la mortalité maternelle en France reste stable entre 2016 et 2018, avec 272 décès enregistrés, soit un toutes les 4 jours, une lueur d'espoir émerge: la mortalité due aux hémorragies obstétricales a été réduite de moitié en 15 ans. 😪En contrepartie de cette nouvelle encourageante et parmi les résultats marquants de cette étude, le suicide, auparavant à la 2ème place, devient la 1ère cause de mortalité maternelle (17 %) suivi des maladies cardiovasculaires (14 %). ✅Les chercheurs soulignent que 60 % de ces décès pourraient être évités, mettant en avant l'importance de la prévention, du dépistage et d'une prise en charge des personnes concernées. Ils insistent sur la nécessité de sensibiliser les femmes enceintes, leur entourage et le grand public sur la dépression périnatale, ainsi que sur l'implication continue des professionnels de santé pour détecter et traiter les symptômes de troubles mentaux. 💜Où s'orienter ? Depuis 2022, un protocole de suivi spécifique a été mis en place pour les femmes à risques, incluant un premier entretien à la cinquième semaine suivant l'accouchement, suivi éventuellement d'un second à la douzième semaine. Cet entretien est réalisé par des professionnels de santé sensibilisés au sujet : médecins traitants, sages-femmes... Des associations telles que la Fnepe Fédération agissent également pour la santé mentale des parents et des enfants. Source : https://lnkd.in/eTjnUTcS #santémentale #dépression #postpartum #parent #enfant #sensibilisation #troublespsychiques