𝗧𝗿𝗮𝗻𝘀𝗶𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲𝘀 𝗺𝗼𝗱𝗲̀𝗹𝗲𝘀, 𝗲𝘁 𝗹𝗲 𝗻𝘂𝗺𝗲́𝗿𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗿𝗲𝘀𝗽𝗼𝗻𝘀𝗮𝗯𝗹𝗲 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝘁𝗼𝘂𝘁 𝗰𝗲𝗹𝗮 ? 𝗤𝘂𝗲𝗹 𝗽𝗹𝗮𝗶𝘀𝗶𝗿 𝗱𝗲 𝗽𝗮𝗿𝘁𝗮𝗴𝗲𝗿 𝗮𝘃𝗲𝗰 𝗹𝗲𝘀 𝗲́𝘁𝘂𝗱𝗶𝗮𝗻𝘁𝘀 𝗹𝗲𝘀 𝗹𝗶𝗺𝗶𝘁𝗲𝘀 𝗱𝗲 𝗻𝗼𝘁𝗿𝗲 𝗺𝗼𝗱𝗲̀𝗹𝗲 𝗮𝗰𝘁𝘂𝗲𝗹 𝗲𝘁 𝗹𝗲𝘀 𝗲𝗻𝗷𝗲𝘂𝘅 𝗱𝘂 𝗻𝘂𝗺𝗲́𝗿𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝗹𝗲𝘀 𝘁𝗿𝗮𝗻𝘀𝗶𝘁𝗶𝗼𝗻𝘀 𝗮̀ 𝗺𝗲𝗻𝗲𝗿. Hier, j'ai participé pendant près de 2 heures à une table ronde sur le #numériqueresponsable à l'université de Rennes avec Olivier Ridoux. Un super moment ! merci à Marine Besnard et Valentin Regnault pour l'organisation de l'évènement. Votre engagement à tous les 2 pour mettre en mouvement les transitions dans les écoles est remarquable👏 C'était aussi une émotion de revenir dans cet amphithéâtre 25 ans après mes études. Et au sein de l'Université de Rennes qui a décidé d'engager une démarche inédite, la 𝗖𝗼𝗻𝘃𝗲𝗻𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲 𝗹'𝗨𝗻𝗶𝘃𝗲𝗿𝘀𝗶𝘁𝗲́ 𝗲𝗻 𝗧𝗿𝗮𝗻𝘀𝗶𝘁𝗶𝗼𝗻 inspirée par le modèle de la CEC (Convention des Entreprises pour le Climat) 👍 Sur le tableau était inscrit "numérique éco-responsable", terme qui fera plaisir à Hugues Ferreboeuf 💢 Quelle société souhaitons-nous ? Quels sont les leviers des citoyens étudiants pour bifurquer le secteur ? Les thèmes qui ont émergé des échanges 🔹 La coopération pour des chaînes de valeurs responsables "glocales" 🔹Les petits changements nourrissent les grandes bifurcations 🔹L'expérimentation pour écrire un nouveau récit Et une certitude, nous avons un formidable récit numérique à inventer pour porter les transitions vers une frugalité qui nous rendra heureuse. . Eric Hitti Sophie Leclercq 🌱🌍 Sciences Po Rennes INSA Rennes - Institut National des Sciences Appliquées de Rennes Treebal Fondation Université de Rennes 1 Région Bretagne numeum Institut du Numérique Responsable The Shift Project
Post de Samuel Le Port
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😍 Signal fort : Les Echos, journal économique régulièrement enthousiasmé par les technologies de pointe, présentent la low-tech comme une voie d’avenir ! Cet article des Échos fait état d’une première en France : six élèves ingénieurs ont choisi de se spécialiser en “low-tech”. Sur le bateau WE Explore de Roland Jourdain, les élèves ont développé une série de solutions low-tech, allant de la batterie upcyclée, jusqu’au déssalinisateur, en passant par la construction d’un cuiseur et d’un séchoir solaire. Alors que Les Echos ont tendance à favoriser un récit technologique de pointe dans la lutte contre les changements climatiques, ce choix éditorial est encourageant, car il engage un virage positif vers une représentation plus équilibrée d'autres solutions. Ce n’est pas une première : en 2023, le journal en parlait déjà comme “une démarche d'innovation très transformante qui allie durabilité forte, résilience collective et transformation culturelle”. Parler de la low tech sous un angle positif n’est pas anodin. En décrypter les enjeux permet notamment de : 👉 Sortir des idées reçues : souvent relayée au rang de bricolage, ou de projet de société décroissantiste, la low-tech est pourtant identifiée comme une voie prometteuse par l’ADEME pour atteindre la neutralité carbone en 2050. 👉 Proposer un récit enthousiaste de la transition : l’article relaie l’espoir et l’intérêt professionnel prononcé des étudiants. “La low-tech redonne du sens à notre métier”. “Nous sommes optimistes quant à notre capacité de faire bientôt partie de la solution." En prenant l’angle travail / métiers, l’article propose une perspective transformatrice et positive des nouveaux emplois dans une économie “utile, accessible et durable”. 👉 Donner de la visibilité, et donc du poids à un engagement et un engouement citoyen croissant. Pour preuve, le nombre d’étudiants spécialisés en low-tech pour la prochaine année a déjà doublé. À l’aune des défis systémiques auquel nous faisons face, considérer (équitablement) toutes les alternatives / solutions techniques, culturelles et économiques augmente nécessairement nos chances d’y répondre. Cet article en est l’exemple : sortir des représentations binaires (high vs low tech) permet de nourrir le débat autour des solutions, plutôt que de le polariser. Article à lire ici : https://lnkd.in/eK_Pr3w5
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𝗘𝘁 𝘀𝗶 𝗹'𝗮𝘃𝗲𝗻𝗶𝗿 𝗲́𝘁𝗮𝗶𝘁 𝗮̀ 𝗹𝗮 𝗟𝗼𝘄-𝗧𝗲𝗰𝗵 ? Les Echos, journal économique, plutôt axé sur les technologies de pointe, s'interroge. Déjà en 2023, il présentait la Low-Tech comme une "démarche d'innovation très transformante qui allie durabilité, résilience collective et transformation culturelle". Nombreux sont ceux qui s'emparent de cette question pour informer, sensibiliser et accompagner des démarches/solutions low-tech dans un contexte de transition écologique. 𝗠𝗮𝗶𝘀 𝗹𝗮 𝗟𝗼𝘄-𝗧𝗲𝗰𝗵, 𝗰'𝗲𝘀𝘁 𝗾𝘂𝗼𝗶 ? La low-tech, par opposition à la high-tech, est une démarche qui permet d’accélérer l’atteinte d’un statut de durabilité de nos futures solutions beaucoup plus rapidement par une approche qui se veut : ♦ faiblement « technologisées », ou tout du moins aussi technologisées que nécessaire; ♦ minimisant l’énergie requise à la production et à l’usage; ♦ utilisant les ressources de façon responsable : locales, secondaires, biosourcées, éco-conçues & renouvelables; ♦ et n’infligeant pas de coûts cachés à la collectivité (coûts écologiques, économiques, sociaux). Victoria Debonnet I Hugo Delahaye I Matild Stipanov I Alain MALHERBE I Anne-Sophie Martin I Communauté d'Agglomération Maubeuge-Val de SambreI Adèle Hervé I Centrale Lille I Cluster Eco-construction asbl I IPALLE Intercommunale de gestion de l'environnement I Ville de Roubaix I IDETA - Agence de Développement Territorial I Sciences Po Lille I Vilogia I Anthesis Group I UCLouvain - Université catholique de Louvain I Agence de Développement et d'Urbanisme Sambre Avesnois Hainaut Thiérache I
😍 Signal fort : Les Echos, journal économique régulièrement enthousiasmé par les technologies de pointe, présentent la low-tech comme une voie d’avenir ! Cet article des Échos fait état d’une première en France : six élèves ingénieurs ont choisi de se spécialiser en “low-tech”. Sur le bateau WE Explore de Roland Jourdain, les élèves ont développé une série de solutions low-tech, allant de la batterie upcyclée, jusqu’au déssalinisateur, en passant par la construction d’un cuiseur et d’un séchoir solaire. Alors que Les Echos ont tendance à favoriser un récit technologique de pointe dans la lutte contre les changements climatiques, ce choix éditorial est encourageant, car il engage un virage positif vers une représentation plus équilibrée d'autres solutions. Ce n’est pas une première : en 2023, le journal en parlait déjà comme “une démarche d'innovation très transformante qui allie durabilité forte, résilience collective et transformation culturelle”. Parler de la low tech sous un angle positif n’est pas anodin. En décrypter les enjeux permet notamment de : 👉 Sortir des idées reçues : souvent relayée au rang de bricolage, ou de projet de société décroissantiste, la low-tech est pourtant identifiée comme une voie prometteuse par l’ADEME pour atteindre la neutralité carbone en 2050. 👉 Proposer un récit enthousiaste de la transition : l’article relaie l’espoir et l’intérêt professionnel prononcé des étudiants. “La low-tech redonne du sens à notre métier”. “Nous sommes optimistes quant à notre capacité de faire bientôt partie de la solution." En prenant l’angle travail / métiers, l’article propose une perspective transformatrice et positive des nouveaux emplois dans une économie “utile, accessible et durable”. 👉 Donner de la visibilité, et donc du poids à un engagement et un engouement citoyen croissant. Pour preuve, le nombre d’étudiants spécialisés en low-tech pour la prochaine année a déjà doublé. À l’aune des défis systémiques auquel nous faisons face, considérer (équitablement) toutes les alternatives / solutions techniques, culturelles et économiques augmente nécessairement nos chances d’y répondre. Cet article en est l’exemple : sortir des représentations binaires (high vs low tech) permet de nourrir le débat autour des solutions, plutôt que de le polariser. Article à lire ici : https://lnkd.in/eK_Pr3w5
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#IAGen, quels impacts sur notre société ? Regard croisé organisé par l’AILouvain - Alumni Ingénieurs Louvain Voici quelques éléments pointés par chaque intervenant Fabrice Brion - je suis un optimiste Avoir des valeurs et s’y tenir. Chez #ICare, on en a 3: performance, durabilité et respect. Ces valeurs sont aussi importantes dans le cadre de ce débat. Il faut des choix éclairés. L’éducation reste fondamentale en lien avec ces défis. Roald Sieberath IA = possibilité de création de valeur énorme. Il y a de véritables opportunités pour nous, en Europe. C’est une industrie qui a une capacité à se réguler et à se mesurer. Attention à la fuite en avant qui ne va pas forcément apporter plus. Xavier Marichal Techno sidération et techo discernement. Jusqu’où notre modèle économique peut aller par rapport aux limites planétaires ? Il y a des cas vertueux, il faut analyser au cas par cas. C’est à moyen terme qu’on verra le réel impact. Animé par Steve Tumson En partenariat avec l’Agence du Numérique (AdN), #IsitBe, #KapTech #numerique #impact #environnement #economique #usage
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Et si l’innovation en continu signait la fin du progrès ? 🕳️ La maîtrise technique peut être une échelle pour la pensée et la faire grandir, ou un caniveau et la laisser partir comme déchet. 🪜 On peut en effet s'obnubiler dans les usages, dans les procédures, surtout quand on y obtient un bénéfice narcissique (la puissance de faire, la valorisation économique et/ou sociale...) et devenir un partait crétin maitrisant un processus. On peut également adopter une attitude phénoménologique et s'observer dans ce que cette techniques nous fait, dans ce qu'elle transforme de nos propres représentations de nous mêmes, des autres, du réel. Le numérique nous lance un défi de taille : maitriser la technique ou aussi penser la technique, penser par la technique. Le sage montre la Lune, l'imbécile regarde son doigt... et clique avec ! #penséeaf #2014af #numérique ***** Retrouvez toutes mes pensées ici : https://lnkd.in/ewU33DpB
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[📣 FORMATION J-60] 𝗟𝗲 𝗻𝘂𝗺𝗲́𝗿𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗿𝗲𝘀𝗽𝗼𝗻𝘀𝗮𝗯𝗹𝗲 𝗱𝗲́𝘀𝗶𝗴𝗻𝗲 𝘂𝗻𝗲 𝗮𝗽𝗽𝗿𝗼𝗰𝗵𝗲 𝗾𝘂𝗶 𝗽𝗿𝗲𝗻𝗱 𝗲𝗻 𝗰𝗼𝗺𝗽𝘁𝗲 𝗹𝗲𝘀 𝗶𝗺𝗽𝗮𝗰𝘁𝘀 𝗲𝗻𝘃𝗶𝗿𝗼𝗻𝗻𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁𝗮𝘂𝘅, 𝘀𝗼𝗰𝗶𝗮𝘂𝘅 𝗲𝘁 𝗲́𝗰𝗼𝗻𝗼𝗺𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀 𝗱𝗲𝘀 𝘁𝗲𝗰𝗵𝗻𝗼𝗹𝗼𝗴𝗶𝗲𝘀 𝘁𝗼𝘂𝘁 𝗮𝘂 𝗹𝗼𝗻𝗴 𝗱𝗲 𝗹𝗲𝘂𝗿 𝗰𝘆𝗰𝗹𝗲 𝗱𝗲 𝘃𝗶𝗲, 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗲𝗻 𝗺𝗮𝘅𝗶𝗺𝗶𝘀𝗲𝗿 𝗹𝗲𝘀 𝗯𝗲́𝗻𝗲́𝗳𝗶𝗰𝗲𝘀 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗹𝗮 𝘀𝗼𝗰𝗶𝗲́𝘁𝗲́ 𝘁𝗼𝘂𝘁 𝗲𝗻 𝗺𝗶𝗻𝗶𝗺𝗶𝘀𝗮𝗻𝘁 𝘀𝗲𝘀 𝗲𝗳𝗳𝗲𝘁𝘀 𝗻𝗲́𝗴𝗮𝘁𝗶𝗳𝘀 𝘀𝘂𝗿 𝗹'𝗲𝗻𝘃𝗶𝗿𝗼𝗻𝗻𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗲𝘁 𝗹𝗲 𝗯𝗶𝗲𝗻-𝗲̂𝘁𝗿𝗲 𝗵𝘂𝗺𝗮𝗶𝗻. 🍂 💡 La formation “Vers un numérique plus responsable” vous permettra : > De comprendre les principaux enjeux écologiques et sociaux des technologies numériques ; > D’appréhender les conflits sociaux, géopolitiques et économiques liés aux matières premières ; > De saisir le cadre réglementaire autour du numérique ; > De réfléchir aux solutions pour un numérique plus durable ; > De mettre en lumière des actions à adopter en tant que citoyen, et en tant qu’organisation ; > De participer à des ateliers participatifs interactifs sur le sujet, donnés sous la forme de débats, sondages… 🕗 Quand ? Jeudi 23 et vendredi 24/05 📍 Où ? Sur le Campus HEC Liège 👤 Comment s’inscrire ? https://hubs.li/Q02qdNhM0
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💡Olivier Babeau : Explorer l'économie et la société à l'ère numérique Visionnaire et brillant vulgarisateur, Olivier Babeau décrypte les transformations profondes de notre économie et de notre société à l’heure des nouvelles technologies. Agrégé d’économie et président fondateur de l’Institut Sapiens, il explore avec acuité les enjeux d’un monde bouleversé par le digital, tout en défendant une vision humaniste face au pouvoir grandissant des machines et des plateformes numériques. 📊 À travers ses conférences, il révèle comment la technologie redéfinit le travail, exacerbe les inégalités, mais offre aussi des clés pour construire un avenir plus inclusif. Son approche repose sur un équilibre subtil : analyser sans complaisance les dérives du numérique tout en montrant les opportunités à saisir pour une société plus juste. 🌍 Envie d’une intervention percutante pour comprendre l’économie de demain et les défis du numérique ? Contactez-nous dès aujourd’hui ! 📩 contact@okaydoc.fr #Économie #Numérique #Conférence #Innovation #OkayDoc #Société
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Le coût environnemental de l'IA Gen est un sujet auquel je pense tous les jours. Mais ce n'est pas encore une priorité pour mes clients. Pourquoi ? Pour deux raisons majeures. La première c'est qu'ils sont dans une logique d'intégration technologique express. Il faut développer cette technologie à l'échelle, rapidement, si on veut du ROI. Et encore plus rapidement pour ceux qui souhaitent changer leur business model grâce à l'IA. La seconde c'est qu'il n'y a encore aucune solution viable sur le marché de l'IA qui garantisse performance, flexibilité et impact environnemental limité. Alors ok, l'IA Gen a un potentiel incroyable. Mais son coût énergétique ne peut plus être ignoré ! Il nous faut répondre à cette question : comment réduire cet impact tout en continuant à innover ? Nous avons des pistes intéressantes qu'il faut travailler dès maintenant. 1️⃣ Optimisation des modèles : la recherche d'algorithmes plus efficaces, moins gourmands en énergie, est cruciale. Moins de paramètres, même efficacité. 2️⃣ Utilisation des énergies renouvelables : migrer les infrastructures cloud vers des data centers qui fonctionnent à l’énergie verte. 3️⃣ Modèles collaboratifs : encourager le partage de modèles pré-entraînés pour éviter de repartir de zéro à chaque projet. 4️⃣ Repenser l'usage : est-ce que toutes les applications nécessitent vraiment des modèles aussi lourds ? La frugalité numérique est une solution à explorer. Nous avons tous un rôle à jouer pour trouver des alternatives. Qu'en dites-vous ? #IntelligenceArtificielle #TransitionÉcologique #InnovationResponsable #GreenTech #AvenirDurable
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💡 Intelligence Artificielle et Collectivités : d'abord un projet de transformation (1/3) (Ce post est le premier d’une série de 3 reprenant mes propos, partagés aux côtés d’Akim Oural et d’Alexandre Jost, dans une table ronde animée par Hugues Perinel lors du dernier Congrès du SNDGCT Syndicat Professionnel à Tours). L’intégration de l’IA dans nos collectivités locales est une démarche complexe qui requiert un cadre de valeurs aligné sur des engagements éthique, écologique et de qualité de vie au travail. La technologie est un outil, mais c’est avant tout une transformation humaine qui doit être pilotée avec une vision stratégique. 1️⃣ Aborder l’IA comme un projet de transformation stratégique Comme tout projet de transformation, intégrer l’IA dans une administration nécessite de repartir du « pourquoi ». Pourquoi recourir à l'IA, quels seront nos cas d'usage prioritaires et quels seront les usages dont on se passera en conscience ? 2️⃣ Le défi éthique : une approche responsable de l'IA Pourquoi et comment utiliser l’IA ? Où ne pas l'utiliser ? Par exemple, dans le recrutement, certaines applications d’IA promettent de trier des CV de manière plus rapide. Mais comment s’assurer que ces outils ne reproduisent pas les biais humains ? En omettant des profils atypiques, l'IA pourrait involontairement exclure des talents capables de transformer nos administrations. 3️⃣ L’impact écologique de l’IA, une dimension souvent négligée La puissance de calcul et le stockage massif des données nécessaires aux technologies IA impliquent une consommation énergétique significative. Pourtant, l’empreinte écologique est un facteur qui reste peu abordé. Pour une collectivité locale, intégrer l’IA en tenant compte de l’empreinte carbone peut signifier prioriser les usages de l’IA ayant un impact positif sur les objectifs de transition écologique. Cette dimension devient d’autant plus importante avec l’augmentation continue des besoins énergétiques des géants de la tech, qui envisagent même de rouvrir des centrales nucléaires pour répondre à ces exigences. 4️⃣ Vers une prospective des métiers dans la fonction publique territoriale L’introduction de l’IA va redéfinir des métiers, non seulement en automatisant certaines tâches mais aussi en créant de nouveaux besoins. Quel impact sur les métiers de demain ? #IA #TransformationPublique #Collectivités #Ethique #TransitionEcologique #SecteurPublic
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Bienvenue sur la page Inventioneering. Décréter qu'on est pour l'#innovation ne suffit plus. Cette page est dédiée à l'activité didactique et pédagogique autour de la Théorie #TRIZ est ses outils. L'#invention peut s'apprendre, pour votre entreprise, pour vous-même. Le monde dans lequel nous vivons peine à résoudre les problèmes auquels il fait face. #Neutralité Carbonne, nourrir la planête, #réchauffement climatique, relocaliser nos industries... Les challenges abondent, mais avons-nous suffisament armé (notre #créativité) pour les résoudre ? D'un point de rythme ? D'un point de vue capacités inventive ? Nous nous dédions à repenser l’apprentissage à l'invention par la théorie TRIZ et l'#IA Intelligence Artificielle. De nouveaux outils, de nouvelles méthodes, au service des apprenants de tout niveaux.
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📣Le colloque "Regards francophones sur les évolutions du numérique public" approche à grands pas! L'Académie de la transformation numérique (ATN) vous donne rendez-vous le 5 juin prochain📅 💻Nos collègues Martin Noel, conseiller académique, Éric Demers, conseiller au développement, et Sehl Mellouli, vice-recteur adjoint aux services à l’enseignement et à la formation tout au long de la vie de l'Université de Laval et directeur général par intérim, représenteront l’ATN à l'international et partageront leurs expertises💡 💬🎙 Conférences, tables rondes, échanges et démonstrations... découvrez ce qui vous attend ⤵ 👉Impulser le changement dans le cadre des transitions numériques au sein des administrations 👉Renforcer la gouvernance par une gestion stratégique des données 👉Limiter l’impact écologique du numérique 👉Albert, présentation du modèle d'intelligence artificielle générative de l'État français 👉L'IA: promesses et défis pour l'action publique 👉Focus sur l'encadrement de l'IA et l'usage dans les RH 🔚Mutualiser nos ressources et nos moyens: quelques pistes de collaboration 🤖🌱📊 Retrouvez le programme détaillé dans son intégralité: https://atnulaval.link/udd 📝Encore quelques places restantes: https://atnulaval.link/4v5 📌Pour celles et ceux qui ne peuvent pas se rendre sur place, vous devez également vous inscrire en ligne pour obtenir le lien de connexion! #atnulaval #transformationnumérique #innovation #numerique #intelligenceartificielle #IA #écoresponsabilité #données
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