Post de School'Up

Les élèves préfèrent agencer les bancs pour empêcher le passage. 🚧 🚶♂️ Mais avoir une classe “marchable”, c’est 50% de … problèmes de discipline en moins. Selon Steve Bissonnette (enseignement explicite), “marcher sa classe” comme un paysan 🚜 marche sur sa terre, prévient la moitié des problèmes de discipline. 🔄 A l’inverse, vous risquez PLUS de problèmes si: - vous vous asseyez à votre bureau,🪑 - vous vous attardez chez un élève. 👥 Une classe marchable est une classe où l’enseignant peut circuler de manière non prédictible 🔮, aléatoire 🔀 , là où son instinct le guide. 🧭 Les élèves, instinctivement, font tout pour bloquer la route : - placer leurs sacs dans le chemin, 🎒 - demander à un autre prof de bouger les tables, 🧑🏫 - s’agglutiner au fond de la classe. 👥 C’est instinctif. Question de territoire. 🗺️ Avant de vous lancer dans la différenciation posez-vous la question: Comment rendre votre classe “marchable” ? 🤔 —----------------------------------------------------------------------------- Avant de différencier, il faut rendre sa classe différenciable. Trois outils pour le faire : 1- le timer, ⏲️ 2- la classe “marchable”, 🚶♂️🚶♀️ 3- le sonomètre et le chuchotement. 🤫 Suite dans la prochaine vidéo 😉 P.S.: Nous sommes John Rizzo et Fanny Demeulder, deux extra-terrestres 👽👽 qui développons le projet fou de School’Up: former et outiller les enseignants pour augmenter les résultats et la motivation de leurs élèves, dans un système en crise. #enseignement #prof #classe

Les élèves préfèrent agencer les bancs pour empêcher le passage. 🚧 🚶♂️ Mais avoir une classe “marchable”, c’est 50% de … problèmes de discipline en moins. Selon Steve Bissonnette (enseignement explicite), “marcher sa classe” comme un paysan 🚜 marche sur sa terre, prévient la moitié des problèmes de discipline. 🔄 A l’inverse, vous risquez PLUS de problèmes si: - vous vous asseyez à votre bureau,🪑 - vous vous attardez chez un élève. 👥 Une classe marchable est une classe où l’enseignant peut circuler de manière non prédictible 🔮, aléatoire 🔀 , là où son instinct le guide. 🧭 Les élèves, instinctivement, font tout pour bloquer la route : - placer leurs sacs dans le chemin, 🎒 - demander à un autre prof de bouger les tables, 🧑🏫 - s’agglutiner au fond de la classe. 👥 C’est instinctif. Question de territoire. 🗺️ Avant de vous lancer dans la différenciation posez-vous la question: Comment rendre votre classe “marchable” ? 🤔 —----------------------------------------------------------------------------- Avant de différencier, il faut rendre sa classe différenciable. Trois outils pour le faire : 1- le timer, ⏲️ 2- la classe “marchable”, 🚶♂️🚶♀️ 3- le sonomètre et le chuchotement. 🤫 Suite dans la prochaine vidéo 😉 P.S.: Nous sommes John Rizzo et Fanny Demeulder, deux extra-terrestres 👽👽 qui développons le projet fou de School’Up: former et outiller les enseignants pour augmenter les résultats et la motivation de leurs élèves, dans un système en crise. #enseignement #prof #classe

La cohésion, la vision partagée et l’arrimage des pratiques sont des éléments primordiaux pour la réussite éducative de nos élèves. Ce matin, les enseignants du 2e et 3e cycle de trois écoles primaires de Beloeil étaient réunis afin d’échanger sur la problématique de l’enseignement reliée à la syntaxe et à la ponctuation. Ces critères reliés à la compétence écriture sont des enjeux préoccupants et priorisés dans nos plans d’action et nos projets éducatifs. La présentation offerte, la modélisation réalisée, les activités travaillées en équipe, les pistes de solution envisagées et les réflexions partagées ont été d’une richesse incomparable. Marie-Hélène Fréchette, ton expertise, ta présence, ton soutien, ta vulgarisation et ton engagement sont enrichissants et essentiels dans nos rôles à atteindre la mission éducative. Tu as su relever ce défi avec dextérité et brio. Pour l’équipe, c’est un pas de plus vers nos objectifs. Un pas de plus vers la vision commune qui se crée. Un pas de plus vers l’arrimage de nos pratiques qui ont un impact direct sur la réussite de nos élèves. Les réflexions qui s’en sont suivies en lien avec nos cibles et nos séquences-d'apprentissages sont pertinentes, intéressantes et en corrélation directe avec nos enjeux et nos zones de vulnérabilité. Parfois les pas se rapprochent du piétinement, mais aujourd’hui, tous ont regardé dans la même direction et le pas fait était beau à voir. Quand les actions deviennent concrètes, car les discours positifs sont partagés et quand nos actions sont totalement dirigées vers la réussite des élèves : c’est aussi ça, la paye d’une direction. 

Un ouvrage très intéressant pour réfléchir aux enjeux actuels au sein de l Éducation Nationale

Je suis favorable au groupe de niveau de façon flexible, en général. Je l'ai fait à plusieurs reprises dans mes classes de lycée pro, après avoir constaté une différence de niveau de compétences extrêmement importante dans une discipline en lien avec un chapitre. Quand les résultats au sein d'une même classe s'échelonne sur une moyenne de devoirs sur 6 semaines de 17 à 4 sur 20, il me semble difficile de proposer les mêmes activités pour tous les élèves. Je proposais des cours, pour lesquelles les élèves participaient, d'une manière interrogative, sur les généralités avec quelques exercices d'application basique. Puis suivait des séances d'approfondissement, pour lesquelles je partageais la classe en 3 îlots avec 3 niveaux d'application d'exercices différents. Ainsi j'avais formé 3 groupes de niveaux d'élèves, présentant eux-mêmes des différences de niveaux. Pour le premier, les élèves avaient eu entre 13 et 17 sur 20 aux derniers devoirs. Pour le 2nd, les élèves avaient eu entre 8 à 12 sur 20, et pour le 3e pour entre 3 à 7. Ainsi en réalisant cette répartition pour un demi-groupe de 12 élèves, j'avais globalement 3 ilots de 4 élèves. L'idée est que dans chaque groupe, les élèves fassent en alternance des exercices menés selon une réflexion de groupe, mais aussi des exercices seuls en menant une réflexion individuelle, pour les mettre en situation des évaluations individuelles. Le 2e objectif, c'est que chaque élève puisse passer dans le groupe du niveau supérieur, pour réaliser des exercices ou des pratiques d'un niveau supérieur. Ainsi, j'observais une flexibilité dans la composition des groupes avec parfois 4 îlots d'élèves, dont 2 de 4 et de 2 de 2. L'objectif est que chaque élève puisse progresser dans son niveau de compétence en abordant les éléments du programme selon une certaine progressivité de difficultés, en essayant d'entendre leur rythme de travail et leur compréhension des éléments. Tout ceci en pensant aussi aux élèves, qui espèrent poursuivre leur cursus aprés le Bac. L'idée est de leur donner une chance de rendre leurs compétences très solide, d'augmenter leur rythme de travail et d'approfondir des notions, plus complexes. Le " vous faites la classe, pour le plus bas des niveaux, de façon à ce que toute la classe suive ", ce qui m'a déjà été dit, m'interpelle !...Non, en lycée pro et pas que, nous n'avons pas de classes de niveau homogène. L'enseignant reste alors dans une constante flexibilité, en écoute des signaux données par ses élèves et échange avec eux. Les élèves ne sont pas stigmatisés. Ils finissent pas être contents qu'on passe un peu plus de temps à leur expliquer telle ou telle notion. N'oubliez pas que ce système, dont j'ai vu les bénéfices, est chronophage et énergivore pour l'enseignant !...

L’objectif de l’évaluation est de favoriser la croissance et la progression de chaque élève, en mettant en avant leurs progrès personnels, plutôt que les classer par rapport à un groupe. Et pourquoi pas faire différemment?

sujet : l'analyse du manque de performance des lycées la performance académique des lycées est une préoccupation majeure dans le système éducatif, car elle influence nos seulement leur réussite scolaire mais aussi leur avenir professionnel et personnel. Cependant, de nombreux lycées font face à des défis qui entravent leur capacité à maintenir une moyenne satisfaisante. En outre, cette manque de performance des lycées pour atteindre la moyenne peut être influencée par plusieurs facteurs allant du manque de motivation à ded difficultés d'apprentissage. Mais il existe des solutions et des techniques efficace pour aider les élèves à réussir à l'école. En offrant un soutien personnalisé, en enseignant des compétences d'études et de gestion du temps, en favorisant le bien-être et la motivation, en variant les méthodes pédagogiques, de s'inspirer des principes pédagogiques et en fin d'adopter les modalités d'intervention les plus appropriées.

Les défis de la réussite scolaire se posent aujourd'hui avec une acuité nouvelle, alors que les méthodes d'enseignement évoluent et que les inégalités se creusent. Dans ce dossier du JDNews, nous explorons les approches innovantes et les enjeux auxquels l'école doit faire face pour garantir à chaque élève un parcours réussi, de l'école maternelle à l'université, en passant par les défis pédagogiques, sociaux et technologiques. https://lnkd.in/eruJAdtB

«Mentir aux élèves, ce n’est pas leur rendre service» : OUI ! C’est avec cette phrase que Gabriel Attal a annoncé jeudi dernier la fin des correctifs académiques qui permettaient de gagner entre 5 et 15 points au Brevet. Alors, oui : arrêtons de mentir aux élèves sur leur véritable niveau ✅ Le redoublement est devenu tabou, obtenir des diplômes une formalité, et l’exigence un gros mot. La stratégie consistant à mettre le problème du niveau scolaire sous le tapis en baissant les exigences, ne permettra pas de mieux former la future génération. Une fois le diagnostic honnête posé : construisons un meilleur accompagnement pour les élèves 🤝 La batterie de nouvelles mesures du « choc des savoirs » va évidemment dans le bon sens. Mais ne nous leurrons pas, le niveau scolaire en plein centre de Paris, dans un collège rural, ou en plein milieu d’un quartier populaire n’est pas le même 📈 Mais alors, qu’est ce qui les différencie ? Bien souvent, la réponse est l’accompagnement hors du temps scolaire et les ressources éducatives à disposition. Les chiffres sont clairs : ➡️ Un élève qui reçoit un soutien scolaire voit sa moyenne générale augmenter de 1,5 points par rapport à ceux qui n’en bénéficient pas (source Éducation Nationale) ➡️ 39% des élèves issus de familles favorisées bénéficient de soutien scolaire contre 12% des élèves issues de familles défavorisées (source Credoc) C’est pour cela qu’ExtraStudent existe : permettre à tous les élèves d’interagir entre eux, d’échanger leurs ressources, ou de partager leurs expériences 🗣️ Notre objectif : donner l’opportunité à chaque élève d’être le tuteur de son camarade. Améliorer par l’échange communautaire le niveau scolaire.