Post de Skillvalley communication & médias

Aménagement et ouverture prochaine du Parc Animalier - Gabon

📢 COMMUNIQUÉ DE PRESSE : Le brame du cerf débute au PARC ANIMALIER DE SAINTE CROIX ! Chaque année, de mi-septembre à mi-octobre, le Parc Animalier de Sainte-Croix devient le lieu incontournable pour observer le brame du cerf, un phénomène naturel exceptionnel. Nous invitons les journalistes à venir découvrir et partager avec leur public ce spectacle saisissant, tout en soulignant l'importance d'une observation respectueuse de la faune. Pourquoi Sainte-Croix est la destination idéale ? 🔸 Une expérience respectueuse et sécurisée : Contrairement aux observations sauvages qui peuvent perturber les cerfs et leur habitat, le Parc Sainte-Croix propose une approche éthique, offrant aux visiteurs une proximité avec les animaux dans un cadre naturel et sécurisé. 🔸 Des animations uniques : Les Matinales Brame (dès 7h les dimanches) : Une immersion au lever du jour, guidée par nos experts, avec un petit-déjeuner inclus. Les Soirées Brame (vendredi, samedi, et dimanche dès 18h) : Une expérience nocturne pour mieux comprendre le comportement des cerfs, suivie d’un dîner convivial. Matinales Spéciales Photographes : Une occasion rare de photographier les cerfs en semi-liberté, accompagnée de nos guides spécialisés. 🔸 Une relation historique avec les cerfs : Depuis plus de 40 ans, le parc s'engage pour la préservation de la faune européenne. Les cerfs, introduits dans les années 1980 par Gérald Singer, fondateur du parc, sont devenus de véritables emblèmes de Sainte-Croix. L’importance d’une observation contrôlée Nous rappelons que l’observation non encadrée dans la nature peut stresser les animaux et avoir des conséquences sur leur comportement et leur habitat. C’est pourquoi le Parc Sainte-Croix propose des expériences responsables pour sensibiliser le public à cette réalité. Défi Nature du Mois : Photo Brame du Cerf 📷 Dans le cadre de notre programme "Ambassadeurs de la Nature", nous lançons un défi photo sur le thème du brame du cerf pour sensibiliser à la beauté de la faune européenne. Les plus beaux clichés seront exposés au Parc en 2025. Pour récupérer le dossier presse : Mandy Schmitt – Chargée de communication 📧 mandy.schmitt@parcsaintecroix.com 📞 06 80 04 55 48 CP Cindy Damas

Notre nouvelle campagne pour le Zoo African Safari est sortie 🌟 ! Nous sommes très fiers de cette collaboration. Nous avons été conquis par cette équipe du Zoo, des passionnés animés par le bien-être animal (cc Coralie Scozzaro & rené-pierre toniutti).   Il faut dire que le concept de parc zoologique peut être sujet de controverses, mais c’est un concept qui n’est pas figé, il évolue avec son temps, en symbiose avec les préoccupations sociétales. Il est d’ailleurs primordial d’imaginer une nouvelle façon de concevoir les zoos, plus engagée et plus éthique. Le zoo doit retrouver sa place dans la construction des connaissances sur les animaux et ne pas seulement représenter une banale visite comme c’est le cas dans un parc d’attraction.   Plus que jamais, le regard du Zoo African Safari se tourne vers l’avenir : la conservation des espèces, la recherche et la pédagogie, toujours avec le bien-être animal comme boussole. Ce n’est pas forcément le plus grand zoo de France, celui qui a le plus grand nombre d’espèces mais ce qui est remarquable dans ce zoo à taille humaine, c’est qu’il nous permet d’éveiller notre curiosité envers des espèces qu’on ne connait pas forcément. C’est de tous ces constats qu’est née notre idée centrale : tous les animaux, des plus « populaires » aux plus méconnus, méritent d’être véritablement mis en lumière et protégés. Nous souhaitons rapprocher l’humain du monde animal car nous apprenons constamment de la nature qui nous entoure.   Durant plusieurs mois nous avons travaillé leur plateforme de marque pour arriver à un nouveau positionnement, une nouvelle signature et une nouvelle campagne qui l’on espère, saura vous plaire <3.   Spécial guests : Nyala, Gnou bleu, Mara de Patagonie, Saki, Watusi, Capybara   Big up à l’équipe : Pierre-Yves Demarcq, Cédric Morvan, Teiko Mgaloblishvili, Coralie Camparmo.    

Le 19 février, c'est la journée internationale de la Baleine. Quid des 3600 #cétacés (dont 3000 dauphins) détenus dans les 350 parcs aquatiques de 53 pays ? 🐬Ces chiffres proviennent d’un rapport de World Animal Protection de 2019, intitulé « Behind the smile ». Selon World Animal Protection, les #dauphins captifs rapporteraient entre 1 et 5 milliards de dollars par an.  Leur prix d’achat moyen tourne entre 50 et 200 000 dollars. Les #orques, eux, se monnaient jusqu’à 1 million de dollars. 🐬Au moins 5 pays cumulent 60% du total des #animaux: 🔎Chine (23% – 700) 🔎Japon (16% – 500) 🔎États-Unis (13% – 400) 🔎Mexique (8% – 240) 🔎Russie (5% – 140) 🔎Espagne (4%  – 100 / la moitié des cétacés captifs européens !) 🐬La France a interdit la possession de cétacés d'ici 2026. Une partie des 21 cétacés captifs en France a été revendue à des parcs étrangers. Dans le principal parc français le Marineland d'Antibes, 3 orques et 12 dauphins attendent leur transfert vers un parc japonais. Monétisés et exploités jusqu'au bout des ailerons. 🐬Si en Occident, les parcs marins sont réprouvés, ces parcs sont florissants ailleurs, notamment en Asie. Le nombre de delphinariums augmenter en Chine. Le Japon, qui n’est pas en reste, capture et approvisionne les autres pays en dauphins. La prise de cétacés y est autorisée toute l’année le long des côtes. Une fois par an, le Dolphin Day, à Taiji, outre un massacre organisé, est aussi l’occasion de prélever certaines espèces pour les aquariums. 🐬Une fois pris, les cétacés sont isolés. Coupés des membres de leur famille et de leur groupe social avec lesquels ils ont des liens très forts. À l’état naturel, les orques parcourent jusqu’à 100 km par jour et plongent jusqu’à 200 m. 🐬Ne supportant pas ces nouvelles conditions de vie, 30% des animaux meurent de stress ou par suicide dans les 24h qui suivent leur enfermement forcé. Pour toutes ces raisons, l'espérance de vie des cétacés est moitié moindre en captivité par rapport au sauvage. 🐬C’est pourquoi C'est Assez ! et d’autres associations comme One Voice proposent la création de sanctuaires où les dauphins pourraient être relâchés en semi-liberté. Ils seraient alors nourris et soignés dans des espaces beaucoup plus grands en attendant d’être définitivement libérés si cela est possible. Le marineland d'Antibes ne prend pas cette direction. Il faut bien rentrer dans ses frais que voulez-vous … Liens en commentaire, photo : j'ai choisi une photo d'orque libre (mâle en effet), de l'ami Stéphane Granzotto, dont je recommande les épisodes orques dans BSG (best of Festival Photo Montier).

Merci Christophe pour cet échange qui me permet de mieux comprendre les enjeux financier du développement durable.

Depuis 4 ans, on propose un calendrier animalier solidaire inédit. Mais pour 2025, on voit les choses grand et en nouveau ! On fait un jeu ? Je te dis quel était le thème des précédents calendriers animaliers de Trisk’ailes et toi tu essaie de trouver le thème de celui qui est en conception pour 2025 😉 2021 → les animaux sauvages en détresse au centre de soins (dans notre ancienne structure) 2022 → la faune sauvage locale commune du territoire français dans son environnement naturel 2023 → les mammifères qu’on peut observer dans les forêts et prairies de Bretagne 2024 → les oiseaux inféodés aux milieux aquatiques de la Bretagne 2025 → ? 🤣 Ouais, c’est un peu difficile. Voici un indice : la couverture du calendrier animalier 2025 met en lumière un superbe renard roux photographié par Vincent Rannou, partenaire de ce projet pour la deuxième fois. J’attends ton pronostic en commentaire. Si tu trouves le thème en premier, on t’enverra un exemplaire en cadeau 😜 _ PS : si c’est la première fois que tu me lis, je parle souvent de communication et de financement dans le milieu associatif, notamment dans le domaine de la préservation de la biodiversité. 📍 Tu peux me suivre ici sur Linkedin.

🌻 Parc animalier et développement durable : comment concilier les deux ? J’ai eu l’occasion d’échanger « in situ » avec le Directeur Général des parcs naturels « Casela » du Groupe Medine, Thierry Arékion, sur sa réflexion autour de la mission et de la durabilité de leur modèle d’affaires. Un parc animalier se doit de prendre en compte les enjeux de ses parties prenantes, tout en conservant un nécessaire équilibre financier. Les piliers autour de sa mission sont organisés notamment autour de la sensibilisation des populations à la préservation de la biodiversité dès le plus jeune âge, autour de la contribution à la préservation des espèces animales et végétales dans leurs espaces naturels ou autour de l’étude et de la recherche du bien-être animal. Aligner les CAPEX (« capital expenditures ») et les OPEX (« operational expenditures ») sur les missions d’un parc, comme celui de Casela, nécessite de déployer une véritable démarche de durabilité et de transparence dans la communication vis-à-vis des parties prenantes, dont font partie les visiteurs nationaux et étrangers. Cette démarche de durabilité passe par plusieurs étapes : 1/ Modèle d’affaires : comment le parc animalier crée-t-il de la valeur sociétale et comment il entretient son capital naturel, son capital humain et son capital financier ? 2/ Parties prenantes : quelles sont les parties prenantes qui interagissent dans le déploiement des activités du parc et quels sont leurs enjeux ? 3/ Matrice de double matérialité : comment les enjeux financiers et les enjeux à impacts socio-environnementaux se positionnent-ils dans une grille de criticité à double entrée ? 4/ Impacts, Risques et Opportunités : quels sont les impacts, risques et opportunités liés aux enjeux majeurs sur l’un ou/et l’autre axe de la matrice de double matérialité ? 5/ Politiques et plans d’action : quels sont les politiques et les plans opérationnels qui permettent d’atténuer ou d’effacer les risques et de saisir les opportunités, liés aux enjeux à fort impact ? 6/ Indicateurs de performance clef : parce sans indicateur de performance, il n’existe pas de politique efficace. Quels sont les indicateurs « SMART » (Spécifiques, Mesurables, Atteignables, Réalisables et Temporellement définis) que l’on met en place pour le suivi de l’atteinte des objectifs des politiques mises en œuvre ? Il est enthousiasmant de voir que les dirigeants de ces parcs animaliers s’approprient cette démarche et j’ai hâte de suivre leur progrès vers un modèle d’affaires toujours plus durable !

Réintroduction des chouettes de l'Oural en Allemagne : le Zoo de La Flèche poursuit son engagement 🦉 https://urlr.me/r9ztk Un projet ambitieux pour la biodiversité 🌳 En collaboration avec plusieurs établissements zoologiques français, nous sommes ravis cette encore de renouveler notre implication dans le programme de réintroduction des chouettes de l'Oural en Bavière. Ce programme, initié par l'Association Bavaroise pour la Conservation du Paysage, la Protection des Espèces et de la Biodiversité (VLAB), vise à réintroduire la plus grande chouette d'Europe centrale dans son ancienne zone de répartition naturelle. Cette aire s'étend de la forêt bavaroise à la Bohême et au parc national de Sumava, de l’Allemagne à la République Tchèque. Une opération de réintroduction minutieuse Le 18 juillet dernier, la chouette de l'Oural du Zoo de La Flèche a quitté le parc, un moment rempli d’émotions pour les équipes sur place. Le lendemain, elle a rejoint huit autres chouettes issues de plusieurs parcs zoologiques français dans une zone d'acclimatation à Erbendorf. Durant 4 semaines, les jeunes oiseaux ont séjourné dans cette volière spécialement aménagée. Une fois les chouettes relâchées, les équipes de conservation les surveillent attentivement et leur fournissent un soutien nutritionnel adapté. Cette approche progressive permet aux rapaces de s'acclimater à leur nouvel environnement. Au fil du temps, les distributions de nourriture sont espacées de manière stratégique, encourageant les oiseaux à développer leurs compétences de chasse et à devenir pleinement autonomes dans leur habitat naturel. Une chouette nouvelle pour la conservation de cette espèce ! 😍

Le zoo du parc de la Tête d’Or, situé en plein cœur de Lyon, est une institution qui divise. Alors que certains y voient un lieu de découverte et de sensibilisation à la biodiversité, d’autres dénoncent avec virulence les conditions de captivité des animaux. Aujourd’hui, le ton monte encore d’un cran avec le lancement d’une pétition en ligne réclamant purement et simplement la fermeture définitive de ce zoo urbain. Une initiative choc qui enflamme la Toile et pose une question de fond : quelle est la légitimité des zoos au 21ème siècle ? Un zoo dans la tourmente Tout commence cet été quand l’association PAZ (Projet Animaux Zoopolis) décide de saisir la justice administrative pour obtenir des informations sur le coût de fonctionnement du zoo lyonnais. Une démarche qui n’aboutira pas mais qui en dit long sur la détermination des militants de la protection animale. Ne comptant pas en rester là, ils lancent dans la foulée une pétition en ligne au titre sans équivoque : « Pour la fermeture définitive du zoo du parc de la Tête d’Or ». L’argumentaire des pétitionnaires est implacable. Ils dénoncent tour à tour les « enclos minuscules », « l’absence d’accès à l’extérieur » pour la plupart des pensionnaires, ou encore « une vie d’enfermement » pour toutes les espèces du zoo, des singes aux pandas roux en passant par les panthères. Autant de conditions jugées indignes et d’un autre âge par les signataires qui s’interrogent : « Pourquoi la capitale des Gaules maintient-elle encore un zoo en 2024 quand d’autres grandes villes comme Marseille, Nancy ou Strasbourg y ont renoncé depuis belle lurette ? » Les images choc de la pétition Pour appuyer leur propos, les initiateurs de la pétition ne lésinent pas sur les moyens. Leur texte est illustré de photos et de vidéos montrant des animaux tournant en rond dans des espaces bétonnés exigus ou tentant d’apercevoir un bout de ciel à travers les barreaux de leurs cages. Des images poignantes qui ne manquent pas de faire réagir les internautes, prompts à crier au scandale sur les réseaux sociaux. En quelques jours à peine, la pétition en ligne recueille plusieurs milliers de signatures. Un raz-de-marée de clics et de partages qui place la mairie de Lyon sous pression. Car c’est bien à elle que s’adressent les pétitionnaires, l’appelant à prendre ses responsabilités pour mettre fin à ce qu’ils considèrent comme une situation intolérable. La mairie de Lyon entre le marteau et l’enclume Interpellée de toutes parts, la municipalité écologiste de Lyon se retrouve dos au mur. Un comble quand on sait que son maire, Grégory Doucet, déclarait lui-même en 2020 que « les animaux sauvages n’ont pas leur place dans des enclos ». Mais une fois aux manettes, l’édile semble avoir revu ses ambitions à la baisse. Hors de question de fermer le zoo, martèle-t-on dans son entourage. Tout au plus envisage-t-on une « transition » progressive avec le départ de certaines espèces quand des solutions de replacement existent. Une...

Secteur animalier : voici notre newsletter NomosVET du mois de mai comprenant les actualités juridiques du secteur animalier en matière de Regulatory, de Transition Ecologique et de droit de la Concurrence !