🚨 Erika Lust 𝐝𝐞𝐦𝐚𝐧𝐝𝐞 𝐚̀ 𝐥'Académie des Arts et Techniques du Cinéma (Les César) 𝐝𝐞 𝐫𝐞𝐜𝐨𝐧𝐧𝐚𝐢̂𝐭𝐫𝐞 𝐥𝐞 𝐫𝐨̂𝐥𝐞 𝐝𝐞𝐬 𝐜𝐨𝐨𝐫𝐝𝐢𝐧𝐚𝐭𝐞𝐮𝐫𝐬 𝐝'𝐢𝐧𝐭𝐢𝐦𝐢𝐭𝐞́ 𝐩𝐚𝐫 𝐮𝐧𝐞 𝐜𝐚𝐭𝐞́𝐠𝐨𝐫𝐢𝐞 𝐝𝐞 𝐩𝐫𝐢𝐱. 🚨 🎬 En réponse aux récents scandales dans le cinéma français, la réalisatrice Erika Lust appelle à une reconnaissance officielle des coordinateurs d'intimité. Ces professionnels assurent le bien-être et le respect des limites des acteurs lors de scènes sensibles, créant un environnement de travail sûr et respectueux. 🌟 Des personnalités comme Emma Thompson et Ruth Wilson soulignent leur importance. Pourtant, en 2024, l'Académie des César n'a pas encore intégré cette reconnaissance. Erika Lust, pionnière du "nouveau porno", demande l'ajout d'une catégorie pour "Meilleur coach intime dans un film". 📣 "Pour que le bien-être des acteurs soit pleinement respecté, il est temps que les coordinateurs d'intimité reçoivent la reconnaissance qu'ils méritent", déclare Erika Lust. En effet, c’est un pas essentiel pour garantir des conditions de travail respectueuses et sécurisées sur les plateaux de tournage. #respect #ethique #ErikaLust #BienÊtreDesActeurs #Césars2024
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Un Moment de Réflexion pour le Cinéma Français : Le récent témoignage de Judith Godrèche dans l'émission "Quotidien" et ses interventions publiques soulèvent des questions profondes sur les violences sexistes et sexuelles dans le cinéma français 🤔. Son courage d'aborder des expériences personnelles douloureuses invite l'ensemble de l'industrie à une introspection nécessaire 🌟. Judith Godrèche interpelle directement le monde du cinéma : son discours lors de la cérémonie des Césars n'était pas seulement un acte de dénonciation, mais un appel à briser le silence qui entoure ces questions sensibles 🚫🗣️. Elle met en lumière un système qui, tout en encourageant les victimes à parler, peine encore à leur offrir l'écoute et le soutien nécessaires ❤️🩹. Un rappel de la "Politique des Auteurs" comme fondement de l'identité cinématographique française, une vision qui valorise le réalisateur et son style 🎥. Toutefois, dans le contexte actuel, cette tradition est interrogée : comment concilier la reconnaissance du talent et la responsabilité éthique ❓🎨. La prise de parole de Judith Godrèche s'inscrit dans un mouvement plus large de mobilisation féministe, tant au niveau national qu'international 🌍♀️. Elle révèle une contradiction au cœur du cinéma français : la difficulté de négocier entre la culture de la récompense et les valeurs d'une société en évolution 🔄🏆. Cet appel au changement dépasse la question des auteurs et des œuvres pour toucher à la structure même de l'industrie 🏗️. Il soulève l'importance de reconsidérer les conditions de production et de réception des témoignages, ainsi que le rôle des institutions et des médias dans la perpétuation ou la remise en question de ces dynamiques 🔍📰. Ce moment est une opportunité pour le cinéma français de se renouveler, en s'engageant activement pour un environnement plus sûr et respectueux pour tous 💡👫.
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Découvrez les détails des films gagnants et les récits puissants et émouvants qui explorent la mémoire, la perte et la résilience.
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🚨 101 SECRETS DE CINÉMA QUI FONT LES GRANDS FILMS 👉🏿 Début, milieu, fin Lors de la mise au point scénaristique d’une nouvelle histoire, pendant la production pour donner vie au film, ou bien encore pendant la postproduction pour modifier le déroulé des événements, les efforts du cinéaste doivent presque toujours porter sur l'établissement et le renforcement d’une structure en trois actes : Acte | - Mise en place du problème. Montrer le quotidien du protagoniste, puis introduire l'incident initial qui perturbe son existence, énoncer clairement les enjeux de la situation et les conséquences de son échec éventuel. Acte Il - Accentuation du problème. Le conflit croît en intensité et la première réponse trouvée par le protagoniste à son problème s’avère inadéquate. Acte III - Résolution du problème. Les événements atteignent leur inévitable climax et finissent par trouver leur issue. Auteurs : Neil Landau | Matthew Frederick
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Si vous aimez, avec la nouveauté en salles… 1. La confirmation d’une signature suisse qui possède une sensibilité hors du commun et aborde la difficulté des pères divorcés qui n’ont pas la garde à conserver une complicité avec leurs enfants Et à la télévision… 2. Une soirée en compagnie de Sophia Loren 3. Le chef-d’œuvre qu’il faut voir au moins une fois par an 4. Les plongées dans l’arrière-cour peu reluisante des clinquantes années 80 5. La guerre des sexes dans les comédies américaines des années 40 6. Les films d’horreur féministes d’une nouvelle génération de réalisatrice 7. Les dystopies qui imaginent que l’humanité ne pourra plus se reproduire 8. Les remakes des chefs-d’œuvre signés par le Japonais Akira Kurosawa mais aussi, en salles, 9. Les thrillers dans les cartels mexicains complètement réinventés et qui déplaisent à l’extrême-droite 10. Les dilemmes familiaux autour de la question de l’avortement 11. Les combats de femmes d’origine iranienne 12. Les comédies françaises qui font vraiment rire et même se tordre de rire 13. Les films de profs aux méthodes inédites… … alors vous allez forcément trouver votre bonheur dans ma petite sélection de films qui sortent en salles ou sont diffusés à la télévision ces prochains jours. Comme chaque semaine, tout est sur Cinémamour, façonné par la passion, forcément partial et, je l’espère, très utile pour aller à l’essentiel. Très belle semaine à toutes et tous. Découvrez mon post de blog https://wix.to/83RcwiI #nouveaupostdeblog
Les meilleurs films jusqu’au 8 septembre
cinemamour.com
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Gladiator 2 : suite convenable mais imparfaite Malgré l'ombre omniprésente du premier volet, le film n'en est pas pour autant impacté. Si la majorité des spectateurs semble plutôt remettre en question la narration quasi identique à celle de la "version originale", le vrai problème se situe autre part. Dans le premier volet, Maximus est opposé à Commode, un personnage froid, vicieux mais qui reste tout de même charismatique. Dans cette nouvelle version, Lucius fait face aux empereurs Geta et Caracalla. Au delà même d'être des personnages très oubliables en dépit du fait qu'ils soient les antagonistes principaux, la performance d'acting est calamiteuse. Peu inspirants, des dialogues qui sonnent creux, ils paraissent davantage ridicules que terrifiants. Est-ce alors un moyen de faire écho à nos sociétés actuelles pour dénoncer le fait que nos dirigeants sont des clowns ? Peut être. Néanmoins, pour nuancer les performances très moyennes des empereurs et de Lucilla (Connie Nielsen), il faut également parler du bon. Le trio Paul Mescal, Pedro Pascal, Denzel Washington porte le poids du film. Avec des dynamiques différentes, chacun suit sa trajectoire tout en ne dérivant pas trop. Quelque peu regrettable de ne pas voir davantage Pedro Pascal qui déborde de talent et de charisme. Paul Mescal, lui, reste plutôt stoïque. Hormis quelques envolées, il délivre ainsi une performance satisfaisante qui vient s'ajouter à une carrière déjà bien fournie. Denzel Washington fait son petit bout de chemin. Avec un personnage totalement différent du reste, il incarne son rôle à la perfection. La vraie force de Gladiator 2 réside dans l'équilibre entre les scènes d'action et de dialogues. Pas besoin de faire de grands mouvements de caméra pour créer un engouement (le film le fait très bien). Les dialogues, eux, auraient pu être un peu mieux écrits. Il est ici difficile d'échapper à la comparaison avec le premier volet. Note : 3.5⭐/5 #Gladiator2 #ridleyscott #paulmescal #cinéma #film #rome #denzelwashington #action
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Le cinéma nous rend-il meilleurs ? Cette question apparemment anodine est plus sérieuse qu'il n'y parait. La force des images vient de ce qu'elles nous touchent directement à un niveau infra-rationnel, rencontrant en nous ce que Ralph Waldo Emerson a appelé les « maîtres de nos vies », ces idées aussi fortes que résistantes qui sont à l'origine de décisions que nous prenons dans notre vie, qu'il s'agisse de notre vie quotidienne ou notre vie professionnelle. Ainsi par exemple l’idée de la continuité des processus aléatoires de la dynamique des prix, fondement des formules de Black, Scholes et Merton ou de Harrison Kreps et Pliska, était devenue une idée résistante, profondément ancrée à un niveau infra-rationnel en chacun des professionnels financiers, infra-rationnel car aucun test statistique ne validait les hypothèses de Black, Scholes, Merton, Harrison, Kreps et Pliska. Cette idée résistante avait pris le contrôle des décisions des professionnels en agissant comme un virus dans leurs pensées. C’est la raison pour laquelle j’avais appelé cette idée résistante le « virus brownien ». Le virus brownien était devenu un « maître de la vie » des financiers, conduisant à la catastrophe de 2008. Le livre d’Hugo Clémot au titre étrange de Cinéthique, que je commente dans un article publié dans la nouvelle revue en ligne Littér'art créée par Erwan Mas précise ces perspectives en montrant comment le cinéma permet de toucher directement ces virus de la pensée qui nous contaminent sans que nous en ayons conscience. En ce sens, le cinéma produit une vraie éthique d'où la "cinéthique". L'article est en ligne ici : https://lnkd.in/eSqpaAfX Le cycle de projection “L’image de l’argent au cinéma” (Ciné-Money) organisé avec Bouchaud Elisabeth au Théâtre La Reine Blanche s’inscrit dans cette perspective. Que nous apprend le cinéma sur l’argent, pas tant sur l’argent « en soi », ce qui serait une sorte de cours d’économie ennuyeux, mais sur l’argent « pour nous » en tant que nous réagissons aux images sur l’argent et la finance que les metteurs en scène nous proposent, chacun dans son style propre. La prochaine séance du cycle de projections “L’image de l’argent au cinéma” au Théâtre La Reine Blanche, 2 bis Passage Ruelle, 75018 Paris (métro ligne 2 station La Chapelle) aura lieu le dimanche 17 mars à 18h00 avec la projection du film La banquière (1980) de Francis Girod. La projection sera suivie d’un dîner-débat au cours duquel Raphaëlle Moine, professeure en études cinématographiques, Université Sorbonne Nouvelle, nous présentera un exposé sur : « Les scandales financiers au prisme des biopics français » Seront abordés l’affaire Stavisky (Stavisky, d’Alain Resnais, 1974) et l’affaire Kerviel (L’Outsider, de Christophe Barratier, 2016). Billetterie ici : https://lnkd.in/e5xUBu8K
Le cinéma peut-il nous rendre meilleurs ? Cinéthique (2008) - d’Hugo Clémot
litterart26.wixsite.com
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Exceptionnelle "rétrospective" des principaux films de Haneke sur Arte en ce moment. Un conseil : mieux vaut avoir le coeur (et le moral) bien accrochés avant d'attaquer ; un peu comme pour Lars von Trier, mais dans un autre registre. Sacré morceau Haneke, c'est pas de la brioche. La "trilogie de la glaciation" (Benny's Vidéo ; 71 fragments ; Le septième continent) constituent probablement l'une des œuvres les plus radicales du cinéma moderne (en tout cas européen). C'est tout simplement désespérant, glaçant, implacable et clinique. Maîtrise absolue et sans concession, à la limite de l'irrespect pour le spectateur. Mais je crois que tout le pessimisme de Haneke explose littéralement dans "Le Temps du loup" (film "post-apocalyptique", moins connu que ses "grands" films). Amateur de sensations fortes, passez votre chemin. C'est la vacuité du quotidien et de la survie au temps de l'effondrement. Petite parenthèse : il s'agit d'un film très intéressant pour la recherche en gestion : Lutte pour les ressources rares ; dynamiques de mimétisme et de loyauté ; autorité et pouvoir ; prise de décision en contexte d'incertitude. Bref, tout y est pour qui a pu lire Herbert Simon. Même si Haneke est plutôt un lecteur de Adorno (et un peu de Freud). Sinon, on retrouve les "blockbusters" : Le Ruban blanc, Amour - deux palmes d'Or. Et peut-être les meilleurs films de Haneke (à mon avis) : Caché et Code Inconnu. Le plus terrifiant serait paradoxalement La Pianiste (avec Isabelle Huppert et Benoît Magimel), plutôt que Funny Games, qui est juste insoutenable et révulsant. Quant à Happy End, il est généralement considéré comme un film mineur (avis qui ne fait pas l'unanimité, certes, et qui est une façon polie de dire "raté" quand on parle d'un cinéaste comme Haneke). Du très lourd, donc, voire même du très très lourd.
Le cinéma de Michael Haneke - Cinéma | ARTE
arte.tv
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🎥 Soutien total à Le Repli de Joseph Paris ! Suite au communiqué de La SRF - société des réalisatrices et réalisateurs de films, je tiens à exprimer mon soutien au film Le Repli de Joseph Paris, produit par Drôle de Trame et distribué par Destiny Films, victime d’une campagne de haine sur les réseaux sociaux et de pressions physiques lors de ses avant-premières. Ces actes, menés par des groupuscules d’extrême droite, qui visent à museler les artistes et à attaquer la liberté de création, sont plus qu’inacceptables. Cette montée en violence est très alarmante. Il est essentiel de rappeler que le financement public des œuvres, comme celui du Centre national du cinéma et de l'image animée (CNC), repose sur un système indépendant, garantissant la diversité de notre cinéma. Défendons avec force les libertés d’opinion, de création et de diffusion, essentielles à notre démocratie. 💬 Soutien total aux cinéastes, producteurs et distributeurs dans ce combat. #Cinéma #SRF #LeRepli https://lnkd.in/e9-9RiMG
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Si vous aimez… 1. Les films de motards façon années 60 2. Les sommets du néoréalisme tournés dans l’Italie en ruine de l’immédiat après-guerre 3. Les histoires de flics sud-coréens face à un crime abominable 4. Les films de danse qui tournent au cauchemar 5. Les histoires vraies qui condamnent l’homophobie 6. Les films pompés sans vergogne par Quentin Tarantino 7. Les films qui précipitent Donald Trump dans une colère noire 8. Les très rares adaptations de romans d’Agatha Christie que l’écrivaine a appréciées (… mais aussi les combats de femmes dans les systèmes les plus patriarcaux, les séjours dans la jungle brésilienne menacée de disparition, les retrouvailles entre anciennes et anciens lycéennes et lycéens, les films de vengeance postapocalyptique ou encore les documentaires brûlants sur le Proche-Orient…) … alors vous allez forcément trouver votre bonheur dans ma petite sélection de films qui sortent en salles ou sont diffusés à la télévision ces prochains jours. Comme chaque semaine, tout est sur Cinémamour, façonné par la passion, forcément partial et, je l’espère, très utile pour aller à l’essentiel. Très belle semaine à toutes et tous. https://wix.to/An2mTqo #nouveaupostdeblog
8 excellents films à voir jusqu’au 23 juin
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🎬 Recommandation Cinéma : "Le Fil" de Daniel Auteuil Hier soir, j’ai eu le privilège d'assister à l'avant-première de "Le Fil", un film qui sortira en salles le 11 septembre. Comme vous le savez, ceux qui me suivent, ma passion pour le domaine du droit et de la justice est grande. D'ailleurs, je partagerai une nouveauté sur le sujet très bientôt! Dans le contexte actuel du procès #Mazan, "Le Fil", adapté d'une histoire vraie et tiré du livre Au guet-apens : chroniques de la justice pénale ordinaire de Maître Jean-Yves Moyart, plus connu sous le pseudonyme Maître Mo sur Twitter, décédé en février 2021 🕊️, offre une perspective fascinante et réaliste sur le déroulement d’un procès d’assises. Contrairement à "Anatomie d'une chute", ce film présente un procès extrêmement réaliste. Je parie même que certains pénalistes penseront qu’il s’agit d’un documentaire 🎥. Ce film ne se contente pas de nous faire passer un agréable moment; il nous amène également à réfléchir sur notre rapport aux prévenus ainsi que sur les dynamiques complexes entre avocats et prévenus, avocats et parties civiles. Il met en lumière la justice alors que le justiciable français est souvent peu informé sur le fonctionnement de sa justice, un système qui tente tant bien que mal de fonctionner malgré ses ressources limitées ⚖️. Je vous recommande vivement de découvrir "Le Fil" dès sa sortie. C’est une œuvre qui enrichit notre compréhension des enjeux judiciaires actuels, tout en restant captivante et profondément humaine. Les dialogues et les silences sont si prenants qu'ils nous secouent véritablement. Franchement, c’est un film qui prend aux tripes. Et j'espère sincèrement qu'il recevra les Césars qu'il mérite amplement 🏆. #cinema #justice #LeFil #DanielAuteuil #recommandation
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