#45 Il vaut mieux s'occuper du changement avant qu'il s'occupe de vous !

#45 Il vaut mieux s'occuper du changement avant qu'il s'occupe de vous !

Bonjour à toutes et tous,

Au menu cette semaine :

  • Tentative d'une prise de recul sur l'IA générative
  • Zoom sur les enjeux macro-économiques de l'IA
  • Et si Google devenait payant ?
  • L'Intelligence Artificielle : une réalité inévitable
  • Royaume-Uni et Etats-Unis tentent de réguler l'IA, mais ...
  • Femmes vs hommes : un gigantesque fossé se creuse chez les jeunes !
  • La disparition des forêts primaires continu

Bonne lecture et n'hésitez pas à me faire part de vos suggestions.

Stéphane.


Tentative d'une prise de recul sur l'IA générative

L'IA générative est un domaine qui a connu une croissance exponentielle ces dernières années et plus particulièrement ces derniers mois. Elle est capable de créer du contenu neuf et innovant, y compris des conversations, des histoires, des images, des vidéos et de la musique. Cette technologie, qui tente de mimer l'intelligence humaine dans des tâches informatiques non traditionnelles représente la prochaine étape de l'IA.

Les applications de l'IA générative sont vastes et ont le potentiel de changer radicalement l'expérience client, la productivité des employés, l'efficacité des entreprises et la créativité. Selon Goldman Sachs, l'IA générative pourrait entraîner une augmentation de près de 7 % du produit intérieur brut (PIB) mondial. Ils anticipent également qu'elle pourrait augmenter la croissance de la productivité de 1,5 point de pourcentage sur 10 ans. Par ailleurs, elle accélère la recherche en explorant et en analysant des données complexes de nouvelles manières, permettant ainsi aux chercheurs de découvrir de nouvelles tendances et modèles. Médecine, chimie, physique, robotique, ..., les exemples se multiplient.

Malgré ses nombreux avantages, l'IA générative présente également des défis et des dangers. Les premières implémentations ont eu des problèmes de précision et de biais, ainsi que des hallucinations et des réponses parfois étranges. L'adoption rapide de leurs applications a également démontré certaines difficultés dans leur déploiement. Ces problèmes initiaux ont permis de disposer de retours d'expérience à grande échelle qui ont conduit à une très nette amélioration de la qualité de ces IA. Les utilisateurs ont en parallèle de mieux en mieux domestiquer ces outils avec des usages impressionnants et diversifiés.

L'IA générative continuera d'évoluer, apportant des avancées sans soucis d'exhaustivité dans la traduction, la découverte de médicaments, la recherche scientifique, l'éducation, la détection d'anomalies, la génération de nouveau contenu, du texte et de la vidéo à la conception de mode et à la musique. Les usages vont se multiplier comme les outils. La qualité va augmenter ainsi que la couverture fonctionnelle. Rappelons que plus ces outils seront utilisés, plus ils progresseront. Par conséquence, les enjeux sont très nombreux et essentiels à adresser : géopolitique, équité, biais, manipulations, dépendance, avantages concurrentiels, impacts sur le travail, ... Une démarche pro-active doit être systématisée sur l'ensemble des sujets sinon notre futur nous échappera.


Zoom sur les enjeux macro-économiques de l'IA

Les enjeux macroéconomiques de l'IA sont vastes et touchent plusieurs aspects de l'économie mondiale, notamment la productivité, l'emploi, les inégalités de revenu, et la concentration sectorielle. Ces enjeux sont influencés par la manière dont l'IA est intégrée dans les processus économiques et par les décisions politiques et stratégiques actuelles et futures.

Les plus positifs d'entre nous voient bien entendu le pouvoir d'amélioration que porte l'IA sur la productivité et la croissance économique (comme expliqué dans l'article précédent). Ce n'est évidemment qu'une partie du tableau, regardons ensemble les autres :

  • Les effets sur l'emploi sont complexes et incertains. À court terme, ils dépendront de la vitesse de déploiement de l'IA, de l'évolution de certains métiers vers des tâches complémentaires à l'IA, et de la réallocation de la main-d'œuvre vers les métiers en croissance. Les professions les plus qualifiées seront cette fois plus impactées, contrairement aux précédentes révolutions technologiques, ce qui soulève des questions sur la répartition des emplois et les compétences requises pour le futur marché du travail. Les chantres du toute chose égale par ailleurs soutiennent que les créations d'emplois se substitueront aux destructions selon le principe de Schumpeter. Personnellement, je n'y crois pas et ce d'autant plus qu'une grande partie de personnes en âge de travailler ne le font pas à date (le taux de chômage est un indicateur trop simpliste en la matière). Le travail, la valeur générée par ce dernier indépendamment du producteur (humain ou artificiel), la répartition de cette dernière, le modèle économique et les indicateurs liés sont à revoir.
  • L'augmentation des inégalités de revenu est une préoccupation majeure. L'informatique et les autres technologies ont entraîné une polarisation de l'emploi entre les professions les moins payées et les mieux payées, remplaçant une partie des employés de niveau intermédiaire. Cet écart risque d'augmenter fortement avec une minorité d'"élus" et les autres. La conséquence est une instabilité sociale forte pouvant conduire à des mouvements politiques extrêmes.
  • La concentration sectorielle qui s'amorce avec l'émergence de monopoles ou oligopoles dans certains secteurs, en particulier ceux qui sont fortement dépendants des données et de la technologie. Ce phénomène est présent en occident avec une hégémonie américaine, en Chine et en Russie avec le regard inquisiteur des gouvernements. Cette situation réduit la concurrence, augmente les barrières à l'entrée pour les nouvelles entreprises, crée des dépendances et pose des défis conséquents en termes de régulation et de politique économique.
  • La qualité des données est bien sûr cruciale pour entraîner de façon pertinente les modèles d'IA, et la nouvelle exigence des ayants droit d’être rémunérés pour leurs données déstabilise le développement de ces derniers. La juste rémunération des créateurs de contenus va donner un avantage concurrentiel incroyable à ceux qui en possèdent nativement comme Meta, Apple, Google, Amazon, TikTok, Yandex, ... ou ceux qui ont les moyens financiers d'en acheter comme Microsoft et OpenAI.
  • Energie, matières premières dont les terres rares, eaux, matériels dont les puces sont des éléments indispensables à considérer. Les ressources ne sont pas infinies et la R&D changera certainement l'équilibre du moment. La géopolitique est complexe entre l'origine géographique des fournisseurs, les interdictions de transfert de technologies et les différentes alliances. Demain ne sera certainement pas comme aujourd'hui. L'incertitude est de mise.


Cette liste doit être enrichie du cadre réglementaire. Construire nos futurs nécessite une approche holistique et systémique qui malheureusement n'est à ma connaissance pas réalisée pour l'instant. Cet état de fait, laisse quelques acteurs décider de l'avenir de l'humanité. Nous vivons un moment particulier du fait de nombreux profonds changements concomitants (IA, démographie, pollution, technologies, réchauffement climatique, biodiversité, ...) qui représentent une chance incroyable pour changer l'humanité. On s'y met ?


Et si Google devenait payant ?

Google, le géant de la recherche en ligne, envisage d'introduire des fonctionnalités payantes dans son moteur de recherche, en s'appuyant sur ses avancées en IA. Cette réflexion s'inscrit dans un contexte où des technologies émergentes telles que ChatGPT ou Mistral redéfinissent les modalités de recherche d'informations sur Internet.

Google, qui a toujours proposé un service de recherche gratuit, financé par la publicité, pourrait ainsi changer drastiquement en segmentant son offre. Les fonctionnalités avancées de recherche, propulsées par l'IA, seraient intégrées à des abonnements premium, à l'instar de ce qui est déjà proposé avec l'assistant Gemini AI dans des services comme Gmail et Docs. Il est important de souligner que la recherche traditionnelle, telle que nous la connaissons, demeurera gratuite et continuera d'afficher des publicités dans les résultats de recherche. Google n'a pas encore arrêté de date pour le lancement de ces fonctionnalités payantes et continue d'explorer les possibilités offertes par l'IA.

Ce changement soulève plusieurs questions :

  • Monétisation et publicité : Comment concilier la monétisation de services via la publicité tout en intégrant de nouvelles technologies d'IA susceptibles de modifier les comportements de recherche ?
  • Impact sur le trafic : Quelles seront les répercussions des réponses générées par l'IA sur le trafic des sites web et sur le modèle économique basé sur les annonces publicitaires ?
  • Concurrence et innovation : Ce changement va ouvrir la porte à la compétition qu'elle soit existante ou par de nouveaux acteurs.

La firme de Mountain View se trouve ainsi à la croisée des chemins, devant intégrer l'IA sans compromettre sa principale source de revenus, qui s'élevait à 175 milliards de dollars l'année dernière grâce aux annonces publicitaires liées à la recherche. Google doit faire face dans un paysage numérique en mutation rapide, où l'IA redéfinit les attentes des utilisateurs et les modèles économiques des géants technologiques. Colosse aux pieds d'argile ? Nous aurons rapidement la réponse.


L'Intelligence Artificielle : une réalité inévitable

L'IA est un concept qui, bien qu'ancien, continue de susciter à la fois fascination et inquiétude. Plus vieux que la plupart des personnes lisant cet article, l'IA a longtemps été perçue comme une aide précieuse plutôt qu'une menace pour nos emplois. Cependant, la réalité actuelle nous confronte à une tout autre perspective : l'IA remplace déjà de nombreuses professions majeures, et ce n'est que le début.

La majorité des personnes interrogées sur l'impact de l'IA sur leur travail se montrent confiantes, voire défensives. Les médecins invoquent leur instinct humain, les ingénieurs en informatique se considèrent comme irremplaçables, les photographes estiment que les machines ne peuvent saisir la beauté comme eux, et même les avocats, souvent réalistes, ne semblent pas tous convaincus par l'ampleur du changement à venir.

Pourtant, les faits sont là, implacables :

  • IBM envisage de remplacer 30 % de son personnel par l'IA.
  • Dropbox a licencié 16 % de son équipe en raison de l'IA.
  • Google a renvoyé 12 000 employés pour se concentrer davantage sur l'IA.

Ces exemples ne sont que la partie visible de l'iceberg. L'ère de l'IA n'est pas une simple évolution technologique ; elle représente une transformation profonde de notre manière de travailler et de vivre.

Face à cette réalité, la première réaction est souvent la peur, suivie d'une phase de déni. Il est crucial de comprendre que l'IA n'est pas une entité malveillante cherchant à nous remplacer. Comme l'internet en son temps, l'IA est simplement le prochain pas dans l'évolution de notre société. Elle offre des possibilités d'efficacité et de précision inégalées, transformant radicalement de nombreux secteurs. L'acceptation de cette nouvelle ère est donc essentielle. Tout comme nos aînés ont dû s'adapter à l'internet, nous devons nous préparer à intégrer l'IA dans notre quotidien et notre travail. L'important n'est pas de résister au changement, mais de comprendre comment nous pouvons évoluer avec lui.

L'avenir avec l'IA n'est pas à craindre, mais à embrasser. Cette technologie offre des opportunités incroyables d'innovation et d'amélioration de nos vies. L'important est de rester ouvert et curieux, prêt à apprendre et à s'adapter. L'IA n'est pas la fin de l'emploi, mais le début d'une nouvelle ère de créativité et d'efficacité. En fin de compte, l'IA est une invitation à repenser notre rapport au travail et à la technologie. Elle nous pousse à réévaluer nos compétences et à explorer de nouvelles voies. L'histoire nous montre que l'humanité a toujours su s'adapter aux changements. L'ère de l'IA ne sera pas différente. Il est temps d'accepter le changement, de s'adapter et de se préparer à un avenir où l'IA et l'humain coexisteront et se compléteront.

Ces propos restent vrais indépendamment des règles sociétales encadrant cette technologie (lire les articles précédents) car nous n'avons pas d'autres choix. Mais évidemment, nous pourrions devoir le faire dans un environnement favorable à tous et respectueux de l'humanité ce qui serait plus que souhaitable !


Royaume-Uni et Etats-Unis tentent de réguler l'IA, mais ...

L'essor de l'IA a suscité un intérêt mondial croissant pour la réglementation de cette technologie disruptive. Les États-Unis et le Royaume-Uni, deux des leaders mondiaux dans le développement de l'IA, cherchent à s'entendre sur un cadre réglementaire commun. Cette démarche n'est pas seulement une question de gouvernance technologique, mais aussi une stratégie pour protéger leur hégémonie dans ce domaine et préserver leur modèle culturel.

L'Union européenne a récemment franchi une étape importante en parvenant à un accord sur la législation de l'IA, qui vise à garantir que les systèmes d'IA mis sur le marché européen soient sûrs et respectent les droits fondamentaux. Cet accord historique, qui a été salué comme un pas de géant vers l'avenir, établit les premières règles au monde en matière d'IA et cherche à stimuler l'investissement et l'innovation dans ce secteur en Europe.

Les États-Unis, en particulier, ont longtemps joué un rôle de leader dans la fourniture de biens publics mondiaux, notamment en matière de sécurité et de prospérité économique. Cependant, la montée en puissance de la Chine et d'autres acteurs mondiaux a remis en question cette hégémonie. La réglementation de l'IA est perçue en conséquence comme un moyen pour les États-Unis et le Royaume-Uni de maintenir leur influence et de protéger voir de promouvoir leurs valeurs et leur modèle culturel à l'échelle mondiale. La culture est un aspect fondamental de ces enjeux, comme le montre le soutien de l'UE à la diversité culturelle et à la promotion du patrimoine culturel commun. De leur côté, les États-Unis ont été critiqués pour leur approche de la culture comme outil d'hégémonie, utilisant leur influence pour propager des récits qui soutiennent leurs intérêts.

Cette tentative d'entende entre ces deux états amène à plusieurs questions. Comment ce cadre influencer a-t-il la compétition mondiale dans le domaine de l'IA ? Quel impact aura-t-il sur les droits de l'homme et la démocratie ? Rappelons que l'accord du Conseil de l'Europe sur l'IA a été jugé trop favorable aux États-Unis et potentiellement préjudiciable aux droits humains par de nombreux acteurs.

La réglementation de l'IA est un enjeu stratégique majeur pour tous les pays ou zones économiques. En cherchant à s'entendre sur un cadre réglementaire, les États-Unis et le Royaume-Uni ne visent pas seulement à gérer les risques associés à l'IA, mais aussi à renforcer leur position dominante dans ce domaine technologique et à protéger leur modèle culturel. Nul doute que d'autres suivront ce qui conduira inévitablement à une multi polarisation toujours plus forte du monde avec pour conséquence, la disparition du commun au profit de "vérités alternatives" locales servant les intérêts de quelques-uns. Une alternative, certainement utopique, un organisme mondial ayant la charge de ces sujets ...


Femmes vs hommes : un gigantesque fossé se creuse chez les jeunes !

Le fossé générationnel est connu de tous depuis de nombreuses années voir depuis toujours. Mais une nouvelle fracture plus problématique est apparue. Au sein de la jeunesse actuelle, une fracture qui grandit existe entre les genres. Cela matérialise un virage significatif dans la manière dont les jeunes femmes et hommes perçoivent le monde et leur place en son sein. Des études récentes, notamment un sondage de l'institut Gallup publié par le Financial Times, mettent en lumière ce phénomène : alors que les jeunes femmes deviennent de plus en plus progressistes, leurs homologues masculins affichent une inclinaison croissante vers le conservatisme. Cette divergence idéologique, qui s'étend bien au-delà des frontières américaines pour toucher des pays (où des enquêtes ont été réalisées) aussi divers que l'Allemagne, le Royaume-Uni, la Corée du Sud, la Chine, et la Tunisie, souligne un écart culturel et politique grandissant au sein de la même tranche d'âge. Aux États-Unis, par exemple, les femmes âgées de 18 à 30 ans se positionnent de 30 points plus à gauche que les hommes du même âge, une différence qui n'existait pas il y a six ans. Cette tendance se retrouve avec des écarts similaires en Allemagne et au Royaume-Uni, et elle est absente chez les générations plus âgées, indiquant ainsi une spécificité de la jeunesse actuelle.

Plusieurs facteurs contribuent à ce fossé grandissant. Le mouvement #MeToo, qui a encouragé les femmes à parler ouvertement du harcèlement sexuel et a légitimé leur sentiment d'injustice, joue un rôle indéniable dans cette évolution. Ce mouvement a non seulement libéré la parole féminine mais a également influencé les convictions politiques et sociales des jeunes femmes, les poussant vers des positions plus progressistes. En outre, une fracture éducationnelle joue un rôle crucial. Les données d'Eurostat révèlent que les Européennes âgées de 25 à 34 ans sont désormais très significativement plus nombreuses à détenir un diplôme de l'enseignement supérieur que les hommes du même âge, avec 46 % contre 35 %. Comme les positions progressistes tendent à augmenter avec les années d'études, cette différence dans le niveau d'éducation contribue à l'écart idéologique entre les sexes.

Ce phénomène impose des questions importantes sur l'avenir de la cohésion sociale et politique. Ce fossé, s'il continue de se creuser, aura des conséquences dramatiques non seulement sur la dynamique des relations interpersonnelles mais aussi sur le paysage culturel, politique et social global.

  • Il existe un risque fort d'apparition de groupes plus polarisés et moins enclins à dialoguer ou à comprendre les perspectives des autres. Cette tendance se commence d'ailleurs à se voir dans de nombreux pays dans les discours politiques. Cette polarisation se manifeste dans divers aspects de la vie sociale, y compris dans les espaces éducatifs, les lieux de travail et les cercles sociaux, où les différences idéologiques entraînent des conflits ou des malentendus.
  • Politiquement, les jeunes femmes, devenant de plus en plus progressistes, vont soutenir des politiques et des candidats favorisant l'égalité des genres, la justice sociale et les droits des minorités. En revanche, la tendance conservatrice croissante parmi les jeunes hommes se traduira par un soutien accru à des politiques et des partis opposés à ces mêmes idées, ce qui pourrait affecter les résultats électoraux et la formulation des politiques publiques. Il suffit de voir le genre des manifestants qui ont envahi la Capitol aux Etats Unis pour comprendre qui sera le groupe le plus vindicatif ...
  • Sur le plan culturel, cette divergence peut entraîner une évolution des normes et des valeurs sociétales. Les jeunes femmes progressistes promouvront des changements culturels axés sur l'inclusion, la diversité et l'égalité, tandis que les jeunes hommes conservateurs pourraient résister à ces changements, préférant maintenir les structures traditionnelles de pouvoir et de genre. Cette tension entre le changement et la conservation se reflétera dans les médias (et cela a déjà commencé), l'art, l'éducation et d'autres domaines culturels, influençant la manière dont les sociétés évoluent et s'adaptent aux nouveaux défis.
  • Les relations interpersonnelles ne sont pas en reste, notamment en termes de relations amoureuses, d'amitiés et de dynamiques familiales.


La fracture idéologique croissante entre les jeunes femmes et les jeunes hommes représente un défi complexe pour la société, avec des implications qui s'étendent bien au-delà des simples différences d'opinion. Il est crucial de promouvoir le dialogue, l'éducation et la compréhension mutuelle, afin de construire des ponts entre les divisions et de travailler collectivement à une société plus inclusive et équilibrée.


La disparition des forêts primaires continu

Au total, les tropiques ont perdu 3,7 millions d’hectares de forêt primaire en 2023, un rythme obstinément cohérent avec les années précédentes et qui laisse le monde encore loin de l’objectif mondial de mettre fin à la déforestation d’ici 2030.


Bonnes métamorphoses et à dans deux semaines !

Stéphane

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