La « raison d'être », et après ?
La plupart des entreprises réfléchissent actuellement à leur raison d’être (ou purpose). Si certaines ont déjà, par le passé, formulé des missions ou des visions d’entreprise, la question de la raison d’être se pose aujourd’hui avec une acuité nouvelle et les emmène un pas plus loin : vers l’expression de leur contribution sociale et environnementale.
Au cœur de cette réflexion, l’enjeu est de transformer en profondeur les manières de produire, de commercer et de se comporter à l’égard des parties prenantes (salariés, fournisseurs, société au sens large). En faisant la démarche de répondre ainsi aux attentes des citoyens, les entreprises responsables voient leur réputation s’améliorer. Selon notre dernière enquête « Réputation des entreprises françaises en 2019 », les trois dimensions RSE (environnement de travail, gouvernance et engagement) contribuent ainsi à hauteur de 43 % à la réputation des entreprises en France.
Mais une fois posée, cette raison d’être n’est que la première étape d’un processus bien plus long pour engager de manière concrète la transformation de l’entreprise, à tous les niveaux.
C’est sur cet enjeu passionnant de « l’après » que Reputation Institue a voulu engager le débat lors de son événement du 8 octobre dernier, en présence d’entreprises et d’experts. Comment traduire cette raison d’être en impacts réels et mesurables sur l’activité ? Comment mesurer ces impacts ? Comment communiquer sur ces engagements pour que l’écosystème tout entier de l’entreprise se sente impliqué et lié à la démarche ?
Au sein de Reputation Institute nous accompagnons les entreprises pour utiliser au mieux les indicateurs de performance qui rendront tangibles ces engagements. Grâce à notre méthodologie unique, développée depuis plus de 15 ans, nous permettons aux dirigeants d’observer les avancées de leur réputation auprès du grand public et des parties prenantes grâce à des tableaux de bord et des KPIs très précis.
Un grand merci à Stéphanie Maisonneuve, directrice des affaires publiques de Coca-Cola European Partners ; Josep Catllà, directeur de la communication du groupe Sanofi ; Nathalie de Lataillade, coordinatrice RSE chez Veolia ; Vanessa Bouquillion, responsable des relations avec la société civile chez BNP Paribas et Antoine Sire, directeur de l’engagement d’entreprise chez BNP Paribas ; Laurent Rouyrès, CEO de Labrador et Florence Lagrange, directrice de la recherche chez Trusteam Finance, d’avoir participé à nos côtés à cet évènement.
Pour retrouver le compte rendu de nos échanges, cliquez sur le lien ci-dessous :
Améliorer le business, en augmentant l’image de l’entreprise, la réputation, l’attractivité de la marque; et les performances commerciales.
5 ansUn grand merci aux intervenants pour leur transparence lors de cette table ronde: Stéphanie #Maisonneuve, directrice des affaires publiques de #Coca-Cola European Partners ; Josep #Catllà, directeur de la communication du groupe #Sanofi ; Nathalie #de #Lataillade, coordinatrice RSE chez #Veolia ; Vanessa #Bouquillion, responsable des relations avec la société civile chez #BNP Paribas et Antoine #Sire, directeur de l’engagement d’entreprise chez #BNP Paribas ; Laurent #Rouyrès, CEO de #Labrador et Florence #Lagrange, directrice de la recherche chez #Trusteam Finance