La veille de Farm3 #7

La veille de Farm3 #7

Que s'est il passé au mois d'octobre dans le monde du végétal ?

On a sélectionné pour vous quelques évènements marquants qui ont touché différents domaines concernant les plantes.


#Foresterie

En 1319, un statut de protection a été signé concernant le canton Cassaët. Les coupes et la pâturage y sont interdits pour des raisons sécurité par rapport aux avalanches, aux érosions et tout autre type de phénomènes naturels violents. 704 ans après cet accord, la plus ancienne foret de protection de France est toujours debout.

Lire l'article sur LE BOIS INTERNATIONAL


#Robotique

L'Interacting Robotic Systems Laboratory de Stony Brook University a imaginé et conçu un robot capable d'interagir avec l'Homme dans diverses industries, notamment pour l'agriculture pour deux tâches essentielles : la transplantation de jeunes arbres et la récolte de plantes.

Lire le post sur la page de Franka Robotics


#Agriculture

L'autorisation du glyphosate dans l’UE doit prendre fin en décembre 2023. Cependant, la commission européenne a proposé aux 27 Etats-membres une proposition de renouvellement de la licence du glyphosate suite à un rapport de l'Autorité européenne de sécurité des aliments. Les représentants des pays européens n'ont pas réussi à se mettre d'accord pour valider ou non la proposition, un nouveau vote est donc à prévoir courant novembre 2023.

Lire l'article sur Novethic


#Climat

Selon le Bureau de recherches géologiques et minières, la situation des nappes phréatiques est inquiétante en France. Les pluies estivales ne suffisent plus à les alimenter suffisamment. La saison de remplissage des nappes est ouverte depuis mi-octobre, c'est à cette période que les pluies sont bénéfiques pour nos sols et que l'on peut espérer résorber cet énorme déficit.

Lire l'article sur Ouest-France


#Arboriculture

Marc Fesneau, ministre de l'Agriculture, s'est rendu en octobre au Woodrise, congrès international de la construction bois moyenne et grande hauteur, à la rencontre des acteurs du milieu afin de les inviter à signer un contrat portant sur quatre axes visant à optimiser le potentiel de stockage de carbone du bois, de soutenir la vitalité de la forêt mais aussi de permettre d’accroître les gains de productivité depuis l’amont à l’aval.

Lire l'article sur Sud Ouest

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