Peux-t-on travailler et être heureux dans son travail ?

Billet d'humeur du 28 mars 2017

Faut-il être nécessairement un analyste financier, développeur web, chirurgien ou encore dans les ressources humaines pour espérer être heureux à coup sûr dans son travail ? 

Ces métiers font effectivement parti du top 10 des métiers à fort pouvoir de satisfaction. Si le vôtre n'en fait pas partie, c'est foutu ? Docteur, faut-il que je change de voie ? 

Non, rassurez-vous ! 

Les critères d'épanouissement au travail ont été identifiés pour déterminer ce qui nous rendait heureux au travail.

4 critères : 

• Un fort degré d'autonomie dans son travail 
• L’équilibre entre vie professionnelle et vie privée 
• Des perspectives d'évolution 
• La reconnaissance sociale

Il ne s'agirait donc pas seulement du métier que j'exerce mais de son environnement. L'entreprise dans laquelle je suis, son cadre professionnel, les personnes avec lesquelles je suis en relation tous les jours, la reconnaissance de mon travail, son utilité me permettrait de me sentir en confiance. Si je suis heureux dans mon job, cela dépend aussi de moi. 

Et au contraire, les "tue-bonheur" comme les "tue-l'amour" sont puissants et sournois, ils s'immiscent dans notre vie sans prévenir. 

J'ai nommé :

• Le stress
• L'hyper sollicitation numérique
• La confusion de l'espace-temps entre sa vie professionnelle et sa vie privée 

Si le stress se gère, les outils d'aujourd'hui nous apportent confort et productivité mais nous mettent aussi constamment en alerte et sur le qui-vive permanent. Les notifications avec les petits sons attenants sur le Smartphone en font partie…

Si la recette du bonheur n'est pas forcément une ligne droite, l'hyper sollicitation numérique nous en éloigne.

Prenons-y garde !