Socially conscious shopper cherche socially conscious retailer
Le bio, c'est pour les bobo. Les produits 'éthiques' c'est cher ... Les lieux communs et autres raccourcis de discussion de comptoirs à propos des modes alternatifs de consommation alimentaire varient peu. Dans le même temps, quelques store checks et séances de tweets watching suffisent pour identifier nombre d'initiatives qui illustrent un changement de fond dans nos attitudes et habitudes vis-à-vis de ces produits que l'on croit encore souvent réservés aux profils de shoppers plus aisés.
D'un point de vue structurel, je ne prends sans doute pas trop de risque en affirmant que les formats commerciaux, physiques ou digitaux, qui mettront les produits bio, les circuits courts, les engagements vis-à-vis des conditions financières garanties aux producteurs ...en avant, vont continuer à pousser comme des champignons. Certains magazines féminins font régulièrement écho d'initiatives dans le secteur. Par ailleurs, les outils de communication digitaux permettent d'assurer une visibilité et une proximité auprès des cibles prioritaires.
La question que je me pose est de savoir si une enseigne, issu d'un retailler en place, ex : Bio-Planet, ou un acteur challenger, ex : Séquoia, Farmstore, La Ruche qui dit oui! ... pourra un moment déployer son concept à l'échelon national sans perdre la cohérence de ses USP ?
- ps 1 : Bio Planet a une longueur d'avance, avec déjà 16 magasins actifs.
- ps 2: Comme les agendas sont parfois synchrones, j'aurai l'occasion d'aborder ces questions lors d'une discussion avec un investisseur institutionnel spécialiste du sujet, plus tard cette semaine.
Sustainable and social entrepreneurship catalyst
8 ansC'est effectivement de cela dont nous allons parler! Je regarde comment préparer au mieux notre réunion. Bien à toi