Stabilité… +/-
L'inquiétude monte aux Etats-Unis
Stop ou encore ? Rebond ou rechute ? Ce sont les questions que se posent les investisseurs au moment où débute en France cette troisième semaine de confinement. La belle remontée de la semaine dernière (+7,48% à Paris +12,84% pour le Dow Jones) et même +20 % par rapport aux plus bas touchés en séance le 16 mars à Paris (+19% pour le Dow Jones par rapport à un point bas le 23 mars) ne doit pas faire oublier l’ampleur et la rapidité de la chute. D’ailleurs, les nouvelles baisses subies vendredi de plus de 4% des deux côtés de l’Atlantique sont venues rappeler la fragilité de la reprise.
Après avoir salué les multiples mesures prises par les banques centrales et les gouvernements pour tenter d’éviter que la crise sanitaire ne dégénère en une crise économique encore plus dramatique que prévu (cette nuit la Banque populaire de Chine a annoncé une baisse surprise de ses taux à court terme), les investisseurs pourraient bien se concentrer à nouveau sur la pandémie elle-même et, en particulier, sur son évolution aux Etats-Unis, devenus l’épicentre de la crise. Anthony Fauci, un expert des maladies infectieuses et conseiller de Donald Trump, a indiqué que le coronavirus pourrait faire « entre 100.000 et 200.000 morts aux Etats-Unis ». A noter également la poursuite de la baisse du pétrole, en repli de plus de 6% ce matin à 23,5 dollars le baril de Brent.
Les contrats à terme indiquent une ouverture sur une note stable.
Fortes interrogations sur les dividendes
Du côté des valeurs, on suivra particulièrement les sociétés versant un dividende élevé et qui pourraient solliciter le soutien de l’Etat. Vendredi soir, Bruno Le Maire a appelé les grandes entreprises à faire preuve de sens civique insistant sur le fait que si elles demandent des reports d’échéances fiscales et sociales « c’est qu’elles n’ont pas de trésorerie non plus pour l’actionnaire ».La semaine dernière, Airbus et Safran ont déjà indiqué qu’elles supprimaient leurs dividendes. D’autres risquent de suivre.é… +/-
L'inquiétude monte aux Etats-Unis
Stop ou encore ? Rebond ou rechute ? Ce sont les questions que se posent les investisseurs au moment où débute en France cette troisième semaine de confinement. La belle remontée de la semaine dernière (+7,48% à Paris +12,84% pour le Dow Jones) et même +20 % par rapport aux plus bas touchés en séance le 16 mars à Paris (+19% pour le Dow Jones par rapport à un point bas le 23 mars) ne doit pas faire oublier l’ampleur et la rapidité de la chute. D’ailleurs, les nouvelles baisses subies vendredi de plus de 4% des deux côtés de l’Atlantique sont venues rappeler la fragilité de la reprise.
Après avoir salué les multiples mesures prises par les banques centrales et les gouvernements pour tenter d’éviter que la crise sanitaire ne dégénère en une crise économique encore plus dramatique que prévu (cette nuit la Banque populaire de Chine a annoncé une baisse surprise de ses taux à court terme), les investisseurs pourraient bien se concentrer à nouveau sur la pandémie elle-même et, en particulier, sur son évolution aux Etats-Unis, devenus l’épicentre de la crise. Anthony Fauci, un expert des maladies infectieuses et conseiller de Donald Trump, a indiqué que le coronavirus pourrait faire « entre 100.000 et 200.000 morts aux Etats-Unis ». A noter également la poursuite de la baisse du pétrole, en repli de plus de 6% ce matin à 23,5 dollars le baril de Brent.
Les contrats à terme indiquent une ouverture sur une note stable.
Fortes interrogations sur les dividendes
Du côté des valeurs, on suivra particulièrement les sociétés versant un dividende élevé et qui pourraient solliciter le soutien de l’Etat. Vendredi soir, Bruno Le Maire a appelé les grandes entreprises à faire preuve de sens civique insistant sur le fait que si elles demandent des reports d’échéances fiscales et sociales « c’est qu’elles n’ont pas de trésorerie non plus pour l’actionnaire ».La semaine dernière, Airbus et Safran ont déjà indiqué qu’elles supprimaient leurs dividendes. D’autres risquent de suivre.
Intamin Amusement Rides - Area Sales Manager
4 ansCelle ci est digne d’un champion ! Comment tu te débrouilles bien !