Post de BIBO | Boissons

A la différence de Danone et Bjorg, certaines sociétés qui avaient adopté Nutri-Score dans sa version initiale acceptent les nouvelles règles fixées par les experts du Comité Scientifique en charge de la révision dut Nutri-Score et continueront à afficher le nouveau Nutri-Score même si leurs produits se trouvent dégradés en terme de classement. C'est le cas de Vico qui continue à jouer le jeu de la transparence (même si alors que 7% de leur produits étaient classés D et E, ils seront plus de 50 % à l'être avec le nouveau Nutri-Score). Bravo à Vico qui, plutôt que cacher la réalité de la composition nutritionnelle de leurs produits prend la décision de poursuivre ses efforts pour améliorer dans le futur la qualité nutritionnelle de leurs produits ! Une leçon pour Danone et Bjorg... https://lnkd.in/eNVp6Wer

👋 𝗔𝗨 𝗥𝗘𝗩𝗢𝗜𝗥 𝗗𝗔𝗡𝗢𝗡𝗘 … Le Groupe Danone se désengage du Nutriscore sur ses marques comme Actimel, Danonino ou Activia. Il était pourtant pionnier en termes d’étiquetage, et ce depuis 2017 ! 📊 Depuis la révision de l’algorithme qui attribue les notes du Nutriscore, certains produits du groupe laitier verraient leur note déclassée. 📉 𝗔𝘂 𝗹𝗶𝗲𝘂 𝗱'𝗮𝗺𝗲́𝗹𝗶𝗼𝗿𝗲𝗿 𝗹𝗮 𝗾𝘂𝗮𝗹𝗶𝘁𝗲́ 𝗱𝗲 𝗹𝗲𝘂𝗿𝘀 𝗽𝗿𝗼𝗱𝘂𝗶𝘁𝘀, 𝗼𝘂 𝗱𝗲 𝗿𝗲́𝘃𝗶𝘀𝗲𝗿 𝗹𝗲𝘀 𝗿𝗲𝗰𝗲𝘁𝘁𝗲𝘀, 𝗗𝗮𝗻𝗼𝗻𝗲 𝗻𝗲 𝘀𝗼𝘂𝗵𝗮𝗶𝘁𝗲 𝗽𝗹𝘂𝘀 𝗷𝗼𝘂𝗲𝗿 𝗹𝗲 𝗷𝗲𝘂 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝘁𝗿𝗮𝗻𝘀𝗽𝗮𝗿𝗲𝗻𝗰𝗲 , au grand dam des ONG comme foodwatch France ou l’UFC-Que Choisir. 🤔 Aveux de faiblesse ? Manque de transparence et d’information consommateur ? Je te laisse te faire ton opinion... Marine BoBun Consulting #Nutriscore #TransparenceAlimentaire #Etiquetage #ResponsabiliteEntreprise

Bioporc lance sa gamme #anti-inflation avec la marque « Le P’tit BIO » En tant que PME Responsable et soucieuse du porte-monnaie 👛 de ses consommateurs, l’entreprise Bioporc lance une gamme de charcuterie Bio ACCESSIBLE au plus grand nombre. Soucieux de maintenir l’activité économique du rayon charcuterie en magasins bio, Bioporc a identifié 4 produits piliers de sa gamme charcuterie, par le biais d’une marque porteuse de sens en cette période de quête de prix accessibles : •       La marque « Le P’tit BIO » •       Marque qui sous-entend « P’tit Prix » 4 références incontournables de notre panier •         2 ref de lardons 150g 🐖 •         2 ref de jambon 🐷 Élaborées à partir de porcs Bio 🐷 et 100% français Élaborées en #Vendée ⛳ #food #inflation #responsable #Vendée #bio #prixaccessible

C’est la Journée internationale de sensibilisation aux pertes et gaspillage alimentaires! À notre Centre de recherche et de développement de Saint-Hyacinthe, les scientifiques Sébastien Villeneuve et Louis Sasseville ont développé un outil qui aide l’industrie agroalimentaire à prendre des décisions concernant la revalorisation des co-produits de transformation, c’est-à-dire la réutilisation d’un résidu obtenu suite à la transformation d’un aliment. ♻️ 🥕 Par exemple, on pourrait décider d’ajouter un résidu issu de l’extraction de protéines végétales dans la formulation de yogourt. Cet outil est basé sur des indicateurs qui permettent de quantifier les gains et de déterminer si la récupération d’un co-produit en vaut vraiment la peine. Voici les indicateurs : • Risques sur la salubrité. • Impacts et coûts des procédés. • Gain en valeur nutritionnelle. • Impact sur le goût, la texture, l’apparence ou la durée de conservation de l’aliment. Une fois ces indicateurs pris en compte, on peut mesurer l’impact global de la revalorisation du co-produit et analyser sa contribution à la réduction de pertes et de gaspillage alimentaires. Grâce à cet outil, les entreprises agroalimentaires pourront prendre de meilleures décisions dans le développement de leurs produits et contribuer à réduire le gaspillage alimentaire. 🍓 🥦

Origine produits, du nouveau, mais l'étiquetage s'alourdit ! Comme 86% des Français feraient attention à l'origine des produits alimentaires qu'ils achètent, un sentiment renforcé depuis la crise agricole, le gouvernement a décidé de créer le logo Origin'Info pour livrer plus d'informations. Olivia Grégoire, ministre déléguée chargée des Entreprises, du Tourisme et de la Consommation en a décidé ainsi devant les industriels, distributeurs et associations de consommateurs afin d’améliorer l’information sur l’origine des produits alimentaires transformés. Cette forte demande sociétale rejoint un avis émis par le Conseil National de la Consommation (CNC) en septembre 2021 qui recommande de renforcer les dispositifs volontaires d’indication de l’origine des produits alimentaires. A plus long terme, précise la ministre, ce projet sera porté par la France au niveau européen dans le cadre de la modification de la réglementation concernant l'Information des Consommateurs sur les denrées alimentaires (INCO) à partir de l’an prochain. https://lnkd.in/gNpKW8TH Bonne ou mauvaise idée ? 🤔 De mon humble avis, tout ce qui apporte de la précision sur le contenu réel et sérieux des aliments industriels va dans le bon sens. A préciser quand même qu'il s'agit d'une démarche volontaire et collective, car malheureusement pour nous les consommateurs, ce label ne pourra être rendu obligatoire, tout comme le Nutri-Score, que s'il est adopté au niveau de l'UE. Elle ne concerne également que les 3 principaux ingrédients, les ingrédients dits primaires. Le problème est qu'il s'agit d'une nouvelle étiquette sur l'étiquetage qui en contient déjà beaucoup, dont certaines sont totalement inutiles comme les allégations marketing trompeuses voire mensongères. Or la notion d'origine des produits agricoles déjà existante est imprimée pour certains composants dans la liste des ingrédients. Exple : Pate de Cacao 79,6% (République Dominicaine) ou encore Farine de Blé d'épeautre bio 86% ( Origine France)... 😉 Pourquoi ne pas simplement compléter l'origine des principaux ingrédients (ingrédients primaires) dans cette liste prévue à cet éffet ? Cela pousserait probablement plus les consommateurs à lire et interpréter cette liste essentielle des ingrédients. Attendons de voir comment vont réagir les géants industriels de la mabouffe dont les références occupent près de 55% des références de la GMS à eux seuls...Ils ne seraient pas pressés d'engager le pas des distributeurs. 😖 Notion d'origine : https://lnkd.in/gdTYVEMy #alimentsindustriels #originedesingrédients #origininfo #alimentationultratransformee #AUT #listedesingredients #etiquetagealimentaire #oliviagregoire #ministredelaconsommation #associationconsommateurs #GMS #associationdistributeurs #ANIA

😱 Dans les produits alimentaires transformés, 69% des origines sont masquées 🔎 C'est le résultat de étude publiée hier par UFC-Que Choisir. Sur 243 aliments transformés de grandes marques passés en en revue: - 47 % des ingrédients principaux analysés n'ont aucune origine mentionné - 22 % sont étiquetés de manière générique (comme « Origine UE » ou « Origine non UE ») - 84% des céréales et des légumes n'ont même aucune mention précise 👉 Pourtant, la transparence sur l'origine est une priorité pour les consommateurs, avant même le prix (sondage institut CSA, janvier 24) ! 💡 L'association demande de rendre obligatoire le logo #origineInfo proposé par le Collectif Collectif En Vérité et 60 marques partenaires (dont Omie évidemment!) et soutenu par la Secrétaire d’État Olivia Gregoire. Chez Omie, on a fait de la transparence une marque de fabrique: c'est la clé pour permettre aux conso de faire des choix éclairés. En choisissant des filières agricoles plus courtes, on gagne en #traçabilité, en proximité et en autonomie alimentaire. #transparence, #traçabilité #alimentation #balancetonorigine Olivia Gregoire David Garbous Julia Terpman-Perot Christian JORGE photo: UFC que choisir

💥 Coup d’éclat dans l’agroalimentaire. Danone, l’une des entreprises pionnières du Nutri-Score, retire l'étiquetage de ses produits phares comme Actimel ou Danonino. Et pour cause, les critères du Nutri-Score se sont durcis, Les notes des yaourts à boire ont dégringolé en D ou E 📉. 𝟭. 𝗥𝗲𝗰𝗹𝗮𝘀𝘀𝗶𝗳𝗶𝗰𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲𝘀 𝘆𝗮𝗼𝘂𝗿𝘁𝘀 𝗮̀ 𝗯𝗼𝗶𝗿𝗲 𝗲𝗻 “𝗯𝗼𝗶𝘀𝘀𝗼𝗻𝘀” __ L’accent est mis sur la teneur en sucre. __ Mais les compare à des produits non comparables comme l’eau ou les sodas. 𝟮. 𝗖𝗵𝘂𝘁𝗲 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗻𝗼𝘁𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝘂 𝗡𝘂𝘁𝗿𝗶-𝗦𝗰𝗼𝗿𝗲 𝗱𝗲𝘀 𝗽𝗿𝗼𝗱𝘂𝗶𝘁𝘀 𝗗𝗮𝗻𝗼𝗻𝗲 __ Censée encourager à la reformulation pour réduire le sucre. __ Impact négatif sur l’image des produits perçus comme sains. __ Et risque de confusion chez les consommateurs. 𝟯. 𝗖𝗼𝗻𝘁𝗲𝘀𝘁𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲 𝗗𝗮𝗻𝗼𝗻𝗲 𝗳𝗮𝗰𝗲 𝗮̀ 𝗹’𝗮𝗹𝗴𝗼𝗿𝗶𝘁𝗵𝗺𝗲 __ Image erronée des produits laitiers à boire. __ Pour une entreprise qui affirme protéger la clarté nutritionnelle pour ses consos. __ Mais ce retrait pourrait être perçu comme un manque de transparence et de responsabilité. 𝟰. 𝗜𝗺𝗽𝗮𝗰𝘁 𝘀𝘂𝗿 𝗹𝗮 𝗿𝗲́𝗽𝘂𝘁𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲 𝗗𝗮𝗻𝗼𝗻𝗲 𝗲𝘁 𝗱𝗲𝘀 𝗮𝘂𝘁𝗿𝗲𝘀 𝗺𝗮𝗿𝗾𝘂𝗲𝘀 __ Retrait soulève la question de l’engagement pour une alimentation saine. __ Risque de perte de confiance des consommateurs qui utilisent le Nutri-Score. Le retrait du Nutri-Score relance le débat sur la transparence et les critères du Nutri-Score. ⚡️ L’enjeu autour de l’alimentation saine divise :  __ Faire le choix de la rentabilité court terme quitte à rogner sur ses engagements __ Ou s’engager dans une nouvelle voie avec une vision long terme. ⚔️ Les consommateurs ont le pouvoir. Quel sera l’impact d’un tel retrait sur les ventes et l’image de la marque ? A l’approche des négociations commerciales, quelle va être la réaction des distributeurs sur le référencement des produits ? David Garbous Stéphane BRUNERIE Diane LEROY Marion Mashhady Sylvain Zaffaroni Sebastien Loctin 👩🌾🇫🇷 Nicolas Facon Sandrine DOPPLER #transparancealimentaire #alimentationdurable #food #innovation https://lnkd.in/eVGSeXa9

L'étonnante percée du #lait d'#avoine au rayon des boissons végétales. L'avoine fait une percée impressionnante au rayon des boissons alternatives au lait. Le suédois Oatly, coté à New York, entend tirer profit de la tendance pour s'imposer sur le marché français face à Bjorg & Compagnie, Danone et Sojasun. Les boissons végétales ne représentent qu'un petit marché (5%) en France par rapport au lait de vache. Mais à plus de 200 millions d'€, les ventes ne sont plus tout à fait négligeables. https://lnkd.in/eF2xnj2u

La revue de presse du retail : La Mie Câline s’engage pour la Journée Mondiale de l’Alimentation et du Pain: Quelques informations… 240 points de vente en France 100% des ingrédients sont d’origine française 100% des ovoproduits sont produits par des poules élevées en plein air Tous les emballages sont 100% recyclables Label CRC (Culture Raisonnée Contrôlée) Cacao équitable Certification RSPO (Roundtable on Sustainable Palm Oil) La Mie Câline : 25% de CO2 de moins... Lire la suite Cet article La Mie Câline s’engage pour la Journée Mondiale de l’Alimentation et du Pain est apparu en premier sur Franchise Magazine. ==> Abonnez vous à la revue de presse du retail #franchise #retail #commerce

Nutri-Score-2.0 : quand Danone ne boit plus du petit lait ! Après Pernod Ricard & le PSG, Danone & le Nutri-Score : la rentrée est riche en cas d’école agroalimentaires. Danone revendique d'avoir été "pionnier en France" en utilisant le Nutri-Score dès 2017, mais conteste aujourd’hui la mise à jour du mode de calcul, entrée en vigueur en janvier 2024, qui apporterait "une vision erronée de la qualité nutritionnelle des produits laitiers à boire". D’où la décision du géant laitier le 4 septembre dernier (concomitamment à une émission obligataire de 700 M€), de retirer le logo de ses yaourts à boire :"une décision regrettable et choquante" pour le concepteur du Nutri-Score, serge hercberg. Certains, évoquant le départ d’Emmanuel Faber, voient dans cette décision "le symbole d’un ancien monde qui se réveille" et jugent que "les consommateurs vont évidemment questionner les convictions d’une entreprise comme Danone qui fait marche arrière". Aujourd’hui, la notation nutritionnelle pèse directement dans les choix des consommateurs, donc dans les ventes des industriels, à hauteur de 2 à 5%, dans un sens comme dans l’autre. C’est dire les intérêts économiques en jeu. Danone ne fait d’ailleurs qu’emboîter le pas à Bjorg et Fleury Michon, qui avaient décidé de retirer le Nutri-Score-2.0 de plusieurs de leurs produits dès la fin de l’année dernière. Des intérêts qui dépassent largement l’Hexagone puisque le Nutri-Score fait l’objet d’une féroce bataille européenne, l’Italie en tête, qui y voit un "complot européen" contre son parmesan AOP. Bataille de communication aussi bien sûr, décrite par Olivier Cimelière dans son ample analyse qui rappelle avec réalisme que, au-delà des querelles nutritionnelles ou méthodologiques, "la décision de Danone et consorts relève surtout d’une logique économique…" Quoi qu’il advienne, le "discours santé à géométrie variable" et les contorsions marketing ne peuvent que saper la confiance du consommateur…