défendre la laïcité est devenu un combat de tous les jours. Respect aux professeurs qui le font. La laïcité garantit la liberté de conscience. De celle-ci découle la liberté de manifester ses croyances ou convictions dans les limites du respect de l'ordre public. La laïcité implique la neutralité de l'Etat et impose l'égalité de tous devant la loi sans distinction de religion ou conviction. La laïcité garantit aux croyants et aux non-croyants le même droit à la liberté d’expression de leurs croyances ou convictions. Elle assure aussi bien le droit d’avoir ou de ne pas avoir de religion, d’en changer ou de ne plus en avoir. Elle garantit le libre exercice des cultes et la liberté de religion, mais aussi la liberté vis-à-vis de la religion : personne ne peut être contraint au respect de dogmes ou prescriptions religieuses. La laïcité implique la séparation de l’Etat et des organisations religieuses. L’ordre politique est fondé sur la seule souveraineté du peuple des citoyens, et l’Etat —qui ne reconnaît et ne salarie aucun culte— ne régit pas le fonctionnement interne des organisations religieuses. De cette séparation se déduit la neutralité de l’Etat, des collectivités territoriales et des services publics, non de ses usagers. La République laïque impose ainsi l’égalité des citoyens face à l'administration et au service public, quelles que soient leurs convictions ou croyances. La laïcité n'est pas une opinion parmi d'autres mais la liberté d'en avoir une. Elle n'est pas une conviction mais le principe qui les autorise toutes, sous réserve du respect de l’ordre public.
Post de Jean-Marc PASQUIER
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Qu’est-ce que la laïcité ? « La laïcité garantit la liberté de conscience. De celle-ci découle la liberté de manifester ses croyances ou convictions dans les limites du respect de l'ordre public. La laïcité implique la neutralité de l'Etat et impose l'égalité de tous devant la loi sans distinction de religion ou conviction. La laïcité garantit aux croyants et aux non-croyants le même droit à la liberté d’expression de leurs croyances ou convictions. Elle assure aussi bien le droit d’avoir ou de ne pas avoir de religion, d’en changer ou de ne plus en avoir. Elle garantit le libre exercice des cultes et la liberté de religion, mais aussi la liberté vis-à-vis de la religion : personne ne peut être contraint au respect de dogmes ou prescriptions religieuses. La laïcité implique la séparation de l’Etat et des organisations religieuses. L’ordre politique est fondé sur la seule souveraineté du peuple des citoyens, et l’Etat —qui ne reconnaît et ne salarie aucun culte— ne régit pas le fonctionnement interne des organisations religieuses. De cette séparation se déduit la neutralité de l’Etat, des collectivités territoriales et des services publics, non de ses usagers. La République laïque impose ainsi l’égalité des citoyens face à l'administration et au service public, quelles que soient leurs convictions ou croyances. La laïcité n'est pas une opinion parmi d'autres mais la liberté d'en avoir une. Elle n'est pas une conviction mais le principe qui les autorise toutes, sous réserve du respect de l’ordre public. » Ps. Si quelqu’un a l’adresse e-mail du pape, Merci de faire suivre.
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⚡ "La laïcité en France : équilibre entre neutralité et liberté" La laïcité est une valeur fondamentale de la République française, assurant l’indépendance de l’État vis-à-vis des cultes et la garantie de la liberté de conscience. Mais comment concilier neutralité et expression des convictions religieuses dans une société démocratique ? 🔍 Le juge administratif : un régulateur essentiel Le Conseil d'État, véritable gardien de cet équilibre, veille à ce que la liberté religieuse des citoyens soit respectée sans compromettre l'ordre public. Par exemple, il contrôle la légalité des restrictions dans les services publics ou encore les aides aux lieux de culte. ⚖️ Neutralité de l’État et liberté des citoyens Les agents publics sont soumis à une stricte neutralité. Les citoyens jouissent de la liberté religieuse, encadrée pour préserver l’ordre public. 📚 Vers une compréhension moderne de la laïcité Ce principe ne se limite pas à l’interdiction : il impose aussi à l’État de garantir l’exercice des libertés, notamment dans des contextes comme les prisons ou les hôpitaux. 👉 Qu’en pensez-vous ? Comment voyez-vous l'évolution de la laïcité dans notre société ? Avis www.naudrh.com : ce sujet est à la fois complexe et crucial. La laïcité ne doit pas être un frein à la diversité, mais un levier pour garantir une société harmonieuse et inclusive. Ce post peut encourager un débat constructif sur la manière dont ce principe est appliqué. #Laïcité #DroitPublic #Neutralité #LibertéReligieuse https://lnkd.in/exTBievR
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LAÏCITÉ & VIVRE-ENSEMBLE : Il est temps de rétablir la vérité sur la laïcité ! La laïcité n’est pas un instrument d’oppression ou de neutralisation des croyances. Elle n’a jamais été destinée à museler la liberté de croire ou de ne pas croire, ni à servir d’alibi pour des formes déguisées d’islamophobie, de christianophobie ou de rejet de toute autre spiritualité. Pourtant, aujourd’hui, médias, politiques et institutions s’emparent de ce principe fondateur pour le DÉVOYER et en faire un outil de division. ❌ On instrumentalise la laïcité pour imposer une neutralité extrême, à la limite de l’intolérance, comme si la diversité des croyances était un danger à éradiquer. Non ! La laïcité, c’est l’inverse. C’est une garantie pour que chacun puisse vivre sa foi ou son absence de foi en toute liberté et en toute sécurité. Il est urgent de remettre la laïcité à sa place légitime : celle d’un cadre de respect mutuel et de liberté pour tous, non pas un prétexte à imposer une forme de censure déguisée. La laïcité, c'est la coexistence pacifique, c’est la liberté d’exprimer sa foi et de la pratiquer ou de ne pas en avoir, sans craindre le jugement ou l’exclusion. Ce principe est un rempart contre toute forme d’idéologie, pas son complice. 📢 Médias, politiques, institutions : cessez de violer l’esprit de la laïcité en tentant de la modeler à votre convenance ! C'est votre et aussi Ma responsabilité, en tant que citoyens, de défendre la vraie définition de la laïcité : celle qui garantit la paix sociale et le vivre-ensemble. 🙏 Merci aux participants des deux conférence-débat à la Maison des Habitants de Saint-Julien-en-Genevois dirigée par Cindy B. pour les échanges passionnés ! #Laïcité #Liberté #VivreEnsemble #Islamophobie #Christianophobie Merci à Lise Benoit-Capel du Le Dauphiné Libéré pour cet article qui met en lumière mon engagement et mon expertise sur le sujet!
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1905, la liberté de conscience faite loi Nous honorons à l’aube de l’année 2025 le 120ème anniversaire de la loi du 9 décembre 1905 indûment intitulée « Loi de séparation des Églises et de l’État ». La séparation n’est pas la finalité première. Elle est la condition requise pour garantir la quintessence de la première phrase de l’article premier. Sept mots concis, postulat évident à intention constitutionnelle : « La République assure la liberté de conscience ». N’est-ce pas là le dessein et l’intentionnalité majeure du législateur, le primat de la liberté de conscience ? N’est-ce donc pas « la liberté de conscience faite loi » ? Ce dispositif législatif fondamental de 1905 occulte cependant le principe de laïcité, promulgué pour l’École par Jules Ferry. Principe introduit ultérieurement dans la future Constitution de 1946 et reconduit dans celle de 1958 sous l’axiome : « La France est une République laïque… ». Néanmoins, la loi de 1905 n’est qu’une partie de l’édifice laïque. N’oublions pas l’article 10 de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen du 26 août 1789 intégré dans le bloc constitutionnel. Ce texte fait de la religion une liberté d’opinion comme d’autres. Toutefois, la laïcité fait l'objet de traductions antinomiques. N’est-ce pas là le triomphe de l’équivoque ? Le terme laïcité fait l'unanimité mais son interprétation est fort divergente où certains confondent la laïcité qui nous gouverne ou celle qui nous habite. La laïcité est d’abord un cadre juridique que nombre de citoyens, y compris croyants intègrent et revendiquent. La laïcité n'est pas un dogme, pas une conviction, pas une religion. La laïcité n’est pas la religion des sans religion. Doit-on entretenir la confusion sur ce principe constitutionnel ? Ne devrait-on pas constitutionnaliser, comme d’aucuns le proposent, les articles un et deux définissant les principes de cette loi de 1905 ? La laïcité française ne s’oppose pas à la foi comme le démontre Aristide Briand rapporteur de la loi de 1905 « La loi protège la foi aussi longtemps que la foi ne prétend pas imposer sa loi ». De fait, la laïcité se doit obligatoirement d’être anticléricale pour empêcher une foi ou une espérance d’imposer à toutes et tous, sa loi, donc son cléricalisme. Aristide Briand poursuivait : « Il est un droit supérieur à tous les autres, c'est le droit de vivre d’une collectivité nationale » indépendamment de ses convictions ou croyances. Ainsi, la deuxième phrase de l’article un de la loi de 1905 stipule « Elle [la République] garantit le libre exercice des cultes sous les seules restrictions édictées ci-après dans l'intérêt de l'ordre public ». La loi ne s’oppose donc pas « au libre exercice des cultes » qui respectent « l’intérêt de l’ordre public ». Eddy Khaldi Président de la Fédération nationale des DDEN
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En ce #9Décembre, #JournéedelaLaïcité, commençons à préparer les #120ans de la loi de 1905… en 2025 ! Cet anniversaire peut devenir l’occasion de progresser sur la compréhension et l'adhésion à la #laïcité ! 👉 Un challenge, tant les perceptions diffèrent. La laïcité est encore trop souvent vécue comme une restriction voire une interdiction de l’expression religieuse… bien loin de ce qui est écrit dans nos lois : 🔷 L’article 1 de la loi de 1905 prévoit que « La République assure la liberté de #conscience. Elle garantit le libre exercice des cultes sous les seules restrictions édictées ci-après dans l'intérêt de l'ordre public »…. 🔷 La Charte des droits fondamentaux de l'Union européenne, dans son Article 10.1 - Liberté de pensée, de conscience et de religion stipule « Toute personne a droit à la #liberté de pensée, de conscience et de religion. Ce droit implique la liberté de changer de religion ou de conviction, ainsi que la liberté de manifester sa religion ou sa conviction individuellement ou collectivement, en public ou en privé, par le culte, l'enseignement, les pratiques et l'accomplissement des rites. » 👉 Dans l’esprit de nos lois, nous sommes donc bien loin d’une interdiction de l’expression de ses #convictions ! Chacun est libre de croire ou de ne pas croire, d’exprimer et de manifester ses convictions, quelles qu’elles soient – et cela implique aussi la liberté d’exprimer ses critiques à l’égard des religions. Tout cela dans le respect de l’ordre et de la sécurité publique, ainsi que le respect des droits et de la liberté d’autrui. ‼️ La construction de la laïcité n’a pas été un long fleuve tranquille… Il a fallu du temps pour que les différentes composantes de la société française l’acceptent et se l’approprient. Et aujourd’hui, la laïcité est surtout interpellée par l’islam (mais pas exclusivement !) qui interroge sur sa place dans la société française. Et les résistances existent de part et d’autre. Certaines pratiques s’intègreront, d’autres non. Nous sommes dans ce temps. ➡️ Le défi aujourd’hui est donc de savoir comment faire vivre, connaître et respecter l’esprit de la laïcité – pour que la laïcité continue à être un principe structurant de l’harmonie en société et une garantie de l’équilibre entre liberté individuelle et cohésion collective. Ne ratons pas cette occasion en 2025 !
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La laïcité, un concept voltairien : Le "Traité sur la tolérance" de Voltaire, publié en 1763, est une œuvre phare qui prône la tolérance religieuse et critique les abus de l'Église catholique. Voltaire écrit ce traité à la suite de l'affaire Calas, où Jean Calas, un protestant, fut injustement exécuté sous l'accusation de meurtre par fanatisme religieux. Ce scandale judiciaire incite Voltaire à dénoncer l'intolérance religieuse et à défendre la liberté de conscience. 💡 Voltaire plaide pour une société où les différentes croyances peuvent coexister pacifiquement, dénonçant le fanatisme et l'intolérance comme sources de violence et de division. Il insiste sur le fait que la religion doit être une affaire privée et non une imposition publique, anticipant ainsi le concept moderne de laïcité. En appelant à la séparation de l'Église et de l'État, Voltaire se positionne comme un avant-gardiste, défendant une vision de la société où les lois civiles sont distinctes des dogmes religieux. 📜 Le "Traité sur la tolérance" s'inscrit dans la lignée des Lumières, où la raison et le progrès sont exaltés. Voltaire argue que la tolérance est non seulement une vertu morale mais aussi une nécessité politique pour maintenir la paix sociale. Il critique l'obscurantisme et appelle à une réforme des institutions religieuses pour les aligner avec les principes de justice et d'humanité. ⭐ L'œuvre de Voltaire valorise l'égalité entre les hommes, quel que soit leur credo, et propose une société fondée sur la raison, la justice et le respect mutuel. Sa défense de la tolérance religieuse et de la liberté de pensée préfigure les principes de laïcité qui seront plus tard inscrits dans les constitutions modernes. En ce sens, Voltaire est un pionnier de la pensée laïque, préconisant une société où l'État garantit la liberté individuelle sans ingérence religieuse, anticipant ainsi les valeurs contemporaines de liberté et de pluralisme. #laïcité #voltaire #république #tolérance
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Post 31 suite Dans son livre « Laïcité, j’écris ton nom » Abnousse Shalmani nous met en garde contre les ravages de l’obscurantisme et la barbarie nous rappelant que le combat pour la laïcité ne se limite pas à un idéal abstrait mais concerne des vies humaines bien réelles (voir post 31). C’est un appel à défendre fermement la laïcité, mais pourquoi ? Désormais, et ce depuis la révolution française, les lois communes se fondent sur les droits humains de portée universelle, et non sur des coutumes particulières souvent aliénantes. Liberté de conscience, égalité de droits, primat de l’intérêt général : la solution laïque est aussi limpide que simple et juste. Elle unit les hommes sans nier leurs différences. Si la laïcité est malmenée, voire caricaturée, Henri Peña-Ruiz (philosophe) nous dit que c’est sans doute en raison de la nostalgie des privilèges perdus de la religion mais aussi des traditions rétrogrades du patriarcat machiste. Raison de plus pour ne jamais oublier la dimension émancipatrice du découplage laïque entre la loi civile et la loi religieuse. La relativisation polémique de la laïcité fait craindre un dangereux retour en arrière. Par ailleurs, la liberté d’expression, de critique et même le droit au blasphème est battu en brèche dès lors que certains fanatiques exigent le respect des religions alors que, par principe, seules sont respectables les personnes. L’émancipation, et c’est aussi et surtout la raison d’être de l’Ecole publique et laïque, pensée par Condorcet pour « rendre la raison populaire ». Une telle école fait le pari de l’intelligence et de la culture afin de donner à la République les citoyens incommodes qui sauront la défendre. Par la neutralité, la déontologie laïque est la seule façon de respecter l’ensemble des convictions spirituelles, irréductibles aux seules religions. Elle forge la lucidité (il en faut aujourd’hui) en distinguant nettement le savoir et la croyance. Le danger n’est pas seulement religieux, il est également politique. La laïcité est la condition même de la démocratie républicaine, et son affaiblissement ouvre la voie à une fragmentation de la société en communautés rivales. Cette fragmentation, selon Abnousse Shalmani, fait le jeu de ceux qui voudraient réduire la France à une mosaïque de ghettos, éloignée de son passé humaniste et universaliste. Il me semble que nous devrions opposer une résistance ferme contre toutes les tentatives d’imposer une vision communautariste de la société en réaffirmant le principe humaniste et universaliste découlant des Lumières. #citoyenneté
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Document à lire par mes étudiants en L3 libertés fondamentales. Nous examinerons le principe de laïcité au 2nd sem.
📔 A l’occasion de la journée nationale de la #laïcité, le Conseil d'État propose un dossier thématique dédié à la #jurisprudence la plus récente des juridictions administratives dans ce domaine ⬇️ https://lnkd.in/gQt-kb2d 💡 En France, l’organisation des relations entre l’État et les Églises en France repose sur un principe simple et clair : la religion relève de la sphère privée, l’État affirmant son indépendance et sa neutralité à l’égard des institutions religieuses. A l’occasion de la journée nationale de la laïcité, le Centre de recherches et de diffusion juridiques (CRDJ) du Conseil d’État propose un nouveau dossier contenant : 🔸 plusieurs éclairages sur les principes de liberté de conscience, de liberté religieuse et de neutralité de la puissance publique, le rôle du juge en matière de préservation de la neutralité et des droits de ceux qui servent la puissance publique, l’équilibre entre #Libertédexpression, #IntérêtGénéral et #OrdrePublic. 🔸 une sélection de jurisprudence en matière de laïcité sur les 10 dernières années.
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‼️⚠️ idéal pour commencer tout en douceur ses révisions pour le grand oral du CRFPA ou le droit administratif ‼️super dossier du conseil d’Etat sur les dernières jurisprudences sur la question de la laïcité en France 👍🏻 A lire absolument ⬇️✅
📔 A l’occasion de la journée nationale de la #laïcité, le Conseil d'État propose un dossier thématique dédié à la #jurisprudence la plus récente des juridictions administratives dans ce domaine ⬇️ https://lnkd.in/gQt-kb2d 💡 En France, l’organisation des relations entre l’État et les Églises en France repose sur un principe simple et clair : la religion relève de la sphère privée, l’État affirmant son indépendance et sa neutralité à l’égard des institutions religieuses. A l’occasion de la journée nationale de la laïcité, le Centre de recherches et de diffusion juridiques (CRDJ) du Conseil d’État propose un nouveau dossier contenant : 🔸 plusieurs éclairages sur les principes de liberté de conscience, de liberté religieuse et de neutralité de la puissance publique, le rôle du juge en matière de préservation de la neutralité et des droits de ceux qui servent la puissance publique, l’équilibre entre #Libertédexpression, #IntérêtGénéral et #OrdrePublic. 🔸 une sélection de jurisprudence en matière de laïcité sur les 10 dernières années.
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Toujours intéressant à lire.
📔 A l’occasion de la journée nationale de la #laïcité, le Conseil d'État propose un dossier thématique dédié à la #jurisprudence la plus récente des juridictions administratives dans ce domaine ⬇️ https://lnkd.in/gQt-kb2d 💡 En France, l’organisation des relations entre l’État et les Églises en France repose sur un principe simple et clair : la religion relève de la sphère privée, l’État affirmant son indépendance et sa neutralité à l’égard des institutions religieuses. A l’occasion de la journée nationale de la laïcité, le Centre de recherches et de diffusion juridiques (CRDJ) du Conseil d’État propose un nouveau dossier contenant : 🔸 plusieurs éclairages sur les principes de liberté de conscience, de liberté religieuse et de neutralité de la puissance publique, le rôle du juge en matière de préservation de la neutralité et des droits de ceux qui servent la puissance publique, l’équilibre entre #Libertédexpression, #IntérêtGénéral et #OrdrePublic. 🔸 une sélection de jurisprudence en matière de laïcité sur les 10 dernières années.
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