Nous devons comprendre qu il est capital de choisir des produits Français qui sont fabriqués dans des usines Française. Dans le cas de Michelin ce sont des importations massives Chinoise qui sont à l’origine de ces fermetures. En choisissant des produits Français c’est avant tout la défense de notre modèle societal. il en va de même pour tous les secteurs. La préférence nationale peut créer plus de 500 milles emplois et surtout éviter des drames sociaux... alors regardez l’origine de ce que vous achetez et exigez de vos fournisseurs une origine Française garantie.
Post de Thibaut De Malézieux
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Nous devons comprendre qu il est capital de choisir des produits Français qui sont fabriqués dans des usines Française. Dans le cas de Michelin ce sont des importations massives Chinoise qui sont à l’origine de ces fermeture. En choisissant des produits Français c’est avant tout la defense de notre modèle societal. il en va de même pour tous les secteurs. La préférence nationale peut créer plus de 500 milles emplois et surtout éviter des drames sociaux... alors regardez l’origine de ce que vous achetez et exigez de vos fournisseurs une origine Française garantie.
Michelin : deux nouvelles usines françaises vont fermer, les salariés de Cholet votent la grève
lemonde.fr
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Nous devons comprendre qu il est capital de choisir des produits Français qui sont fabriqués dans des usines Française. Dans le cas de Michelin ce sont des importations massives Chinoise qui sont à l’origine de ces fermeture. En choisissant des produits Français c’est avant tout la defense de notre modèle societal. il en va de même pour tous les secteurs. La préférence nationale peut créer plus de 500 milles emplois et surtout éviter des drames sociaux... alors regardez l’origine de ce que vous achetez et exigez de vos fournisseurs une origine Française garantie.
Michelin : deux nouvelles usines françaises vont fermer, les salariés de Cholet votent la grève
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Fermetures d'usines: les trois racines du mal français par Matthieu Quiret, Leila de Comarmond Les Echos Les fermetures d'usines et les plans sociaux - symbolisés par l'annonce ce mardi chez Michelin - se multiplient en France depuis plusieurs mois. "Une récente étude de Rexecode indique que les prélèvements en amont du résultat d'exploitation - la fiscalité industrielle en somme - « représentent 7 points de valeur ajoutée de plus en France qu'en Allemagne pour l'industrie, soit un montant de plus de 20 milliards d'euros ». Une situation que la nouvelle surtaxe temporaire sur les bénéfices va venir alourdir ces deux prochaines années. 👉 voir notre étude: "Prélèvements sur l’industrie: l'alignement inachevé de la France sur la moyenne européenne" une note Repères d'Olivier Redoulès octobre 2024 (en accès libre) https://lnkd.in/eBEB6Z57 Les Echos : https://lnkd.in/e4-HqWpz
Fermetures d'usines : les trois racines du mal français
lesechos.fr
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La revue de presse du retail : Michelin et Auchan. Quand le patronat se gave d'aides publiques pour mieux licencier les travailleurs: Les annonces de Michelin, leader mondial de la fabrication de pneumatiques et d'Auchan, multinationale de la grande distribution, en interrogent plus ... ==> Abonnez vous à la revue de presse du retail #retail #distribution #commerce
Michelin et Auchan. Quand le patronat se gave d’aides publiques pour mieux licencier les travailleurs
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🔥 Patrons et Leaders d'entreprise, un message crucial à partager 🔥 La réalité de notre monde des affaires est rude. Les géants vacillent, les marchés se contractent, et même des noms de légende, comme Michelin, sont touchés. Je vais droit au but ici, pour t’apporter une analyse franche et directe des derniers événements, mais aussi pour te montrer l’importance de rester vigilant et réactif dans un contexte de crises économiques et industrielles. 🚨 Fermeture possible des usines Michelin : ce que l'on sait 🚨 Les récentes déclarations laissent peu de place à l’optimisme quant aux sites de Cholet (Maine-et-Loire) et de Vannes (Morbihan). Voici les points cruciaux : - Annonce imminente : Fabien Roussel, secrétaire national du Parti communiste français, a récemment déclaré que Michelin pourrait annoncer la fermeture des deux usines "dans les jours qui viennent." - Emplois menacés : Environ 1 000 postes à Cholet et 300 à Vannes sont en jeu. Des chiffres qui font réfléchir, car derrière, il y a des familles, des vies. - Pression du marché automobile : Michelin subit de plein fouet un ralentissement de la demande en pneus, lié à la crise du secteur automobile. Ce contexte industriel impacte lourdement sa production. - Baisse de 3,4 % des ventes mondiales : La marque a enregistré cette chute au troisième trimestre 2024, un signe fort d’un marché en contraction. - Climat d’incertitude pour les salariés : Depuis plusieurs semaines, les rumeurs de fermeture provoquent stress et inquiétude pour les équipes. Une situation à laquelle chaque dirigeant peut s'identifier lorsqu'il s'agit de maintenir la confiance en période de turbulence. - Arrêts temporaires : L'usine de Vannes a déjà subi des arrêts de production, et d’autres sites, comme ceux de Troyes et du Puy-en-Velay, sont aussi affectés. - Vers des restructurations ? Michelin parle de « baisses d’activité dues à des problèmes de charge structurels » qui touchent ses sites de Vannes, Cholet, et Tours. - Inquiétude syndicale : Les syndicats, même en reconnaissant les défis actuels, s'alarment d’une possible fermeture, craignant l'impact sur les salariés et l'économie locale. 💡 La leçon à tirer pour nous, dirigeants et entrepreneurs 💡 Ces faits sont un rappel brutal : l'adaptation est plus qu'une nécessité, c’est une question de survie. - Observer et anticiper les tendances - Préparer des plans d'action - Assurer la résilience de tes équipes - Saisir les opportunités dans la crise La fermeture des usines Michelin, bien que non encore confirmée officiellement, est un signal d’alarme pour nous tous. 👉 Si cet article résonne en toi, partage-le avec ton réseau. Il est essentiel que chacun comprenne les enjeux pour mieux se préparer.
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👉Un pneu 🇫🇷 réchapé est + cher qu’un pneu neuf chinois 🇨🇳 Produire en Europe était en 2010 30% plus onéreux qu’en Asie. Aujourd’hui, c’est 95% de plus. les écarts se creusent ! Et l’entreprise doit désormais tracer la production de caoutchouc : un surcoût de 200 millions d’€… L’inflation des charges la multiplication des taxes et des normes sont autant de déterminants qui nous rendent moins compétitifs et vulnérables. Ce qui est vrai dans l’industrie et malheureusement encore plus vrai en agriculture.
Pourquoi Michelin licencie en France
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Michelin annonce la vente de son activité Bias Agricole, sous la marque Camso, à Ceat. La communication faite cette semaine par l’entreprise a été brouillonne et a laissé beaucoup de questions sans réponse. Les élus CFE-CGC ont été alertés par les salariés de cette entité déjà sinistrée : 2 fermetures d’usines au Sri-Lanka et 1 600 postes dans ce pays sont supprimés. Mais en France ? La CFE-CGC Michelin demande à l’entreprise de fournir rapidement une liste exhaustive de tous les impacts liés à cette ventes. Il ne faut pas laisser les salariés français dans le flou angoissant qu’a suscité cette annonce précipitée. Des répercussions sont attendues sur les activités Ventes, Service client, Supply Chain et Logistique. Certains ateliers français avec une activité calandrage sont déjà impactés par l’arrêt brutal de la reprise des déchets de fabrication, que Camso utilise pour la fabrication de leurs pneus. Sur la partie logistique, du fait de l’arrêt de production du Bias, de nombreux magasins estiment que leur stock va baisser. Auront-ils besoin d’espaces de stockage moins grands ? de moins de personnel ? Les élus CFE-CGC s’inquiètent de la poursuite de la stratégie de Michelin, qui conduit à des suppressions de postes industriels avec des conséquences encore peu visibles sur les postes tertiaires partout dans le monde, y compris en France.
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🚨 Fermetures des industries en France, conséquence directe de leur perte de compétitivité ! Fermetures d’usines et plan de licenciement atteignent de tristes niveaux records. En cause ? Un problème avéré de compétitivité des entreprises tricolores face à leurs compétiteurs européens et mondiaux qui bénéficient de cadres fiscal et réglementaire plus favorables. Le président de Michelin, Florent Menegaux le rappelle dans cet article de Les Echos : « il est urgent d'enrayer la dégradation de la compétitivité en Europe, qui se paie par une perte régulière de parts de marché. » Comment en est-on arrivé là ? 🔸 Excès de réglementation en Europe : l’augmentation continue des normes et des contraintes administratives pèse lourdement sur la compétitivité des entreprises. 🔸 Coût de l'énergie non compétitif : les prix de l’énergie en France et en Europe restent plus élevés qu’ailleurs dans le monde, mettant nos industries dans une situation désavantageuse face à une concurrence internationale toujours plus agressive. 🔸 Difficultés à exporter : de plus en plus d’entreprises se heurtent à des barrières commerciales et à une concurrence déloyale. Pour sauver l’industrie européenne et conserver notre souveraineté il est urgent de repenser l’action publique en prenant mieux en compte ses conséquences sur la santé de notre tissu industriel. Une conclusion tout aussi valable pour l’industrie #alimentaire : la compétitivité des entreprises françaises aux prises avec une forte concurrence sur les marchés mondiaux est mise à mal. Or, sans compétitivité, point de survie des entreprises, comme en témoigne le niveau record de défaillances récemment enregistrées. Créer de nouvelles taxe dans ce contexte c’est grever leur compétitivité. Une taxation des produits sucrés telle qu’envisagée dans les discussions du PLFSS en cours, c’est accélérer notre désindustrialisation, pénaliser le pouvoir d’achat du consommateur… sans gain pour sa santé. La triple peine en somme. #Industrie #Réindustrialisation #alimentation ANIA (Association Nationale des Industries Alimentaires) I Maxime Costilhes I Simon Foucault | Jean-François Loiseau | France Industrie | INTERCEREALES | Gilles Rouvière
Le cri d'alarme de Michelin sur la compétitivité de l'Europe
lesechos.fr
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La revue de presse du retail : Gérard Bancillon "Nous ne pouvons pas nous contenter d'un SMIC pour nos vignerons": Quand je parle à des interlocuteurs de la grande distribution, ils me disent que les bulles performent. Il ne faut pas rater le coche. A lire ... ==> Abonnez vous à la revue de presse du retail #retail #distribution #commerce
Gérard Bancillon "Nous ne pouvons pas nous contenter d'un SMIC pour nos vignerons"
vitisphere.com
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Fermeture de deux usines Michelin. Le jeu de massacre se poursuit dans l’industrie automobile. Hier, a été annoncée la terrible nouvelle de la fermeture de deux usines Michelin. Pour les salariés des sites, évidemment, c’est la douche froide. Ils expriment leur colère, leur immense déception face à ce qu’ils vivent comme une trahison. On les comprend. À Paris, le gouvernement s’indigne. Le gouvernement demande des comptes. On voit réapparaître les postures du maître d’école qui fait la leçon à l’élève qui aurait triché. « Qu’ont-ils fait de l’argent public ? », demande le Premier ministre. Bonne question. Mais ce réquisitoire agacé masque mal la responsabilité des décideurs politiques dans cette affaire. Surtout quand ils ont travaillé pour l'Union Européenne. Car ce sont eux qui, pris dans l’absurde mécanisme de fixation des prix énergétiques européens, ont refusé d’en sortir quand ils se sont envolés. Ils auraient pu ainsi assurer à nos industriels un avantage compétitif dont ils ont cruellement besoin. Cette décision, ainsi que celle menant à l'interdiction des moteurs thermiques, a plongé notre industrie automobile dans une crise profonde. Le secteur a déjà perdu 50 000 emplois. Comme d’habitude, tout partait d’un bon sentiment. Nos décideurs se sont même félicités après avoir voté l’interdiction des moteurs thermiques. Rappelez-vous, ils étaient fiers d’annoncer que « l’Europe prenait la tête de la #décarbonation des transports ». On va voir, dans les mois qui viennent les conséquences sociales de leur démagogie. Des milliers de sous-traitants du secteur automobile réduisent leurs cadences, taillent dans leurs équipes… Certains, les grands, commencent à fermer des sites. D’autres, plus petits, ferment leur entreprise. Aux FFI, on enrage. Nous clamons depuis le début de la crise ukrainienne que les industriels ne résisteront pas longtemps à l’écart des coûts énergétiques qui existent entre l’Europe et les USA. Entre l’Europe et la Chine. Et le Premier ministre nous parle de l’utilisation de l’argent public ? Mais quand nos politiques comprendront-ils qu’on ne peut pas compenser un système administratif et social kafkaïen et coûteux par des subventions momentanées ? Il faut restaurer la compétitivité française et européenne par une réforme en profondeur de notre système. Sinon, le jeu de massacre se poursuivra. Dans l’automobile et ailleurs. Il est tout à fait possible de faire converger décarbonation, progrès social et croissance économique. Mais cela demande autre chose que des décisions dogmatiques prises à l’emporte-pièce, sans étude d’impact et contre l’avis des industriels du secteur. Depuis des mois, et pour encore beaucoup d’autres, ce sont les ouvriers, les travailleurs de nos plus belles unités de production qui vont payer de leur travail, de leur fierté, les postures idéologiques et le manque de courage de ceux qui nous représentent. Quelle tristesse. Quelle honte. Par Laurent Moisson Gilles ATTAF
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