Ingénieurs, 4 clés pour dépasser le syndrome de la bonne élève...
... Et retrouver du plaisir au travail.
📌 Vous avez le syndrome de la bonne élève si vous vous reconnaissez dans ce qui suit :
- Vous vous êtes investi dans votre scolarité que vous avez réussie,
- Vous êtes besogneux, consciencieux et investi dans votre travail : il vous arrive d’ailleurs de travailler le soir ou le week-end,
- Vous êtes perfectionniste, avec des exigences fortes vis-à-vis de vous-même : vous avez l’impression que ce que vous faites n’est jamais suffisant,
- Vous vous sur-adaptez à ce qu’on peut attendre de vous afin de ne pas décevoir : vous prenez sur vous pour absorber une importante charge de travail,
- Vous cherchez l’approbation des autres à travers votre travail et il vous est difficile de dire « non » aux demandes de votre hiérarchie qui l’a bien compris d’ailleurs et vous en rajoute toujours plus.
📌 Et voilà les conséquences…
Le problème, c’est qu’à force de fonctionner comme ça, vous n’arrivez plus à prendre du recul. Vous avez la tête dans le guidon et c’est un cercle vicieux :
- Vous sentez que vous êtes à bout de souffle dans votre travail.
- Vous n’arrivez plus à décrocher de votre travail qui vous prend trop de temps et d’énergie.
- Vous avez le moral dans les chaussettes et votre santé en pâtit : vous êtes sous pression, fatigué, usé.
- Votre entourage proche fait les frais de votre sur-investissement : vous êtes sous tension, vous n’avez plus de patience et enfants / conjoint deviennent les boucs-émissaires de votre mal-être au travail.
Bref, vous sentez bien que ce fonctionnement n’est pas tenable dans le temps et que le spectre du burn-out vous guette…
📌 Voici 4 clés pour sortir de ce cercle vicieux
⚡ Clé 1 - Définir ses limites pour les (faire) respecter
Cela veut dire identifier son cadre, le poser et apprendre à dire non. Et dire non, c’est se respecter.
C’est un apprentissage qui se fait pas à pas sur des situations peu impactantes dans un premier temps.
⚡ Clé 2 - S’autoriser l’imperfection pour s’éviter une pression néfaste
Ca implique de prendre conscience à quel point le perfectionnisme peut se retourner contre soi d’une part et de revoir son degré d’exigence vis-à-vis de soi-même et vis-à-vis des autres d'autre part, en travaillant le « je vais faire au mieux » plutôt que « je vais faire parfaitement ».
⚡ Clé 3 - Reconsidérer son rapport au travail pour retrouver un équilibre sain
Je parie que dans votre entourage professionnel, des collègues réussissent au moins aussi bien que vous en travaillant moins. Non ?
Il n’est pas nécessaire d’en faire plus pour prouver ses compétences.
Analyser son parcours professionnel et prendre de la hauteur pour reconsidérer la place de son travail dans son quotidien, le rapport qu’on a avec lui et avec ses collègues est un moyen de retrouver un équilibre satisfaisant.
⚡ Clé 4 - Reconnaître sa propre valeur pour se détacher du regard des autres
Quand on a le syndrome de la bonne élève, on a tendance à se juger à travers ses actes et à associer sa propre valeur non pas à ce qu’on est mais à ce qu’on fait, à nos performances.
L’estime de soi se construit alors à travers la reconnaissance des autres dont on peut devenir dépendant.
Prendre conscience en profondeur de ce qu’on est, de ses valeurs, de ses talents et compétences permet de changer la perception de soi-même et de se repositionner par rapport aux autres.
👉 Ce sont 4 clés que je travaille avec mes clients, des ingénieurs qui ont décidé de se réorienter. C’est un travail libérateur, qui leur permet de déconstruire ainsi des schémas de fonctionnement qui ne leur convenaient plus pour en construire de nouveaux qui leur permettent d’aller de l’avant et de dessiner les contours d’un projet professionnel qui les motive vraiment.
👉 Vous voulez vous débarrasser de ce syndrome de la bonne élève qui vous empêche de vous épanouir au travail ? Contactez-moi pour une séance découverte.