Maître chez nous - pour prévenir les dérives sectaires - alors que le gouvernement fédéral, joue avec le feu
Réflexion citoyenne du jour :
La société québécoise devrait être laïque — les citoyens ne devant pas notamment porter de vêtement ou d’objets religieux sur eux dans l’exerce de leur emploi ou de leur fonction — où les exposer dans l’espace public — devraient être publics tous les bureaux ou commerces qui servent ou accueillent des clients — alors qu’ils sont notamment en situation de pouvoir et d’autorité sans s’y restreindre ;
La société québécoise devrait réserver les allocations ou les prestations sociales provinciales aux Québécois et aux immigrants en situation régulière ;
La société québécoise devrait procéder à l’expulsion effective des immigrés clandestins ou illégaux .
La société québécoise devrait instaurer une période probatoire. De fait, la naturalisation ne deviendra définitive qu’après une période probatoire de cinq ans (5) au cours de laquelle le naturalisé devrait s’abstenir de toute activité politique, conformément au devoir de réserve, le droit de vote n’étant accordé qu’à l’issue de cette période.
La société québécoise devrait fonder la naturalisation sur l’assimilation. Cette naturalisation ne pourra être obtenue qu’après vérification de l’assimilation du candidat, c’est-à-dire l’acquisition démontrée, par le candidat et ses proches mineurs, des valeurs spirituelles, des mœurs, de la langue et des usages qui fondent la civilisation québécoise.
La société québécoise devrait la déchéance de la nationalisation systématiquement à tous les individus qui ont commis un acte criminel comme un viol, un meurtre prémédité ou un assassinat y incluant un acte de terrorisme ou de crime de lèse-majesté.
La société québécoise devrait encadrer le statut de réfugié et le droit de séjour de sorte que les individus ou les familles qui sont ou seront accueilles en territoire québécois en qualité de réfugiés devraient rentrer chez eux aussitôt que le danger qui les menaçaient sera écarté. Idem, pour les enfants mineurs nés au Québec durant le séjour de leurs parents
La société québécoise devrait déterminer que les réfugiés auraient accès à une aide financière forfaitaire de base afin de subsister. Toutefois, ceux-ci devraient soient étudier à plein temps dans un établissement reconnu ou travailler à plein temps à minima 35 heures. Le permis de travail émis ayant expressément la mention spéciale — statut de réfugié — idem sur le titre de séjour. Ce permis de travail excluant de facto les emplois sensibles.
La société québécoise devrait mettre en place une carte d’identité, titre de séjour livret de famille carte de travailleurs et carte de la RAMQ. Une carte intelligente pourrait intégrer les cinq cartes précitées. Avec une photo et une adresse résidentielle à jour.
La société québécoise devrait cntrôler les associations étrangères. Les associations étrangères devraient obtenir un agrément administratif préalable, précaire et révocable ; elles ne devraient pas bénéficier de subventions publiques. Toute propagande ou manifestation de partis politiques étrangers sur le territoire national sera interdite et les bénéficiaires de l’asile politique seront invités à s’abstenir de tout activisme. Y incluant les organisations religieuses.
La société québécoise devrait interdire toute subversion sous couvert d’islamisme. En application du principe de réciprocité prévu par le droit international, la construction de mosquées financées par des États n’autorisant pas le culte chrétien ou punissant de mort l’abandon de la religion musulmane ne sera pas autorisée. En application des principes du droit public canadien et québécois au premier rang desquels la souveraineté nationale, la propagande anti-québécoise et canadienne devrait être interdite. Les agitateurs politiques étrangers agissant sous couvert de l’islam devraient être expulsés sans faiblesse.
La société québécoise devrait lutter contre le faux tourisme. Quant aux ressortissants des pays avec lesquels le Canada et le Québec n’auraient pas passé d’accords similaires ceux-ci devraient avant de pénétrer sur le territoire national à titre touristique, verser une caution qui leur serait restituée au moment de leur départ du Québec et du Canada.
Alors que , le gouvernement fédéral joue avec le feu .