Quels regards sur la situation
Cette image m’a fait sourire au départ
Puis j’ai ressenti un malaise quand j’ai remarqué le dessin sur la poitrine du personnage de gauche.
Puis il y a eu celle là :
La situation actuelle est intéressante à regarder avec un peu de recul.
Je vous propose d’essayer de la regarder avec un regard systémique de coach ou de superviseur.
En tant que coach, si on considère le système « France », ce dernier fait parti des systèmes ouverts capables de prendre des décisions importantes et de s’adapter à l’évolution de son environnement.
Comme tout système son objectif est l’homéostasie.
Ainsi une des lois de la systémie « Plus tu pousse dans un sens, plus le système pousse dans l’autre » s’applique.
Si le système « France » était un individu, une approche PNL en première intention serait de l’amener à travailler sur ses différentes parties (racadrage en 6 pas, négociation entre parties), ou d’amener le coaché à regarder les émotions qui le traversent à partir des comportements qu’il produit et en quoi elles sont importantes pour lui (valeurs portées). En y regardant bien, finalement la situation actuelle ne viendrait-elle pas plutôt du niveau identitaire ? (une étoile éclatée permettrait peut être de travailler sur son identité puisqu’il est éparpillé dans plusieurs parties qui sont ses différentes identités sociales, professionnelles, familiales, personnelle, et finalement en quoi cela parle de son identité et du sens qu’il met dans la situation. Les niveaux logiques pourraient être un bon support de séances. Une approche plus AT renverrai plutôt à quel états du Moi il se trouve quand il est pris dans ce tiraillement.
Comment le client décide t’il de ses priorités ? D.D. Eisenhower (D.D.E.) fait faire la différence entre urgence et importance. Il rappelle également que l’urgence est un fait, mais que l’importance est un choix. En l’espèce la morale vient se glisser dans la prise de décision, et c’est là que les valeurs de notre brave coaché le mettent en tension. C’est donc bien sur l’importance que le travail pourrait être dirigé et notamment sur les conséquences qui sont une des 3 composantes de l’importance pour D.D.E.
Si le système « France » était un collectif, ou une organisation : Il serait intéressant à d’amener le collectif à travailler sur la manière dont il prend ses décisions et comment les solutions de court termes sont très souvent de mauvaises solutions à long termes. Il serait intéressant de travailler avec le manager sur son style : Est-il plutôt relationnel ou fonctionnel ? Plutôt directif, participatif, persuasif ou délégatif ? Est-il plutôt paillasson, hérisson, polisson ou unissons ? Un travail avec le tableau des méconnaissance issu des protocoles de l’école des Schiff amènerait surement à développer la capacité à générer des options car à priori, il connais l’existence du stimuli, en a un sens, et a la possibilité d’agir dessus. Il connait l’existence du problème et sa signification. Par contre il semblerait qu’il méconnait les options possibles puisqu’il a choisi de ne suivre qu’une seule. Il a surement fait sienne la maxime militaire qu’il ne faut avoir qu’une seule stratégie qui prédomine.
Il serait également intéressant comme dans tout collectif dans lequel plusieurs forces internes sont en action de l’amener à regarder en quoi cette énergie consommée en querelle interne est néfaste à sa productivité. D’après les 5 dysfonctionnements d’une équipe, ce collectif reste bloqué au premier niveau « la confiance ». Il serait également intéressant peut être de donner la parole aux silencieux du collectif.
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En tant que superviseur si le supervisé arrivait dans cet état, un stretching sur la loi et le lien serait intéressant. Le message le plus répandu actuellement est que la colère qui monte est crée par une liberté empêchée. Quelle différence fait-il entre liberté et toute puissance ? Quelles sont les règles ? La liberté a besoin de cadre pour en vérifier les limites.
Et bien sûr il y a la ma vision personnelle de la situation :
Je ne comprends toujours pas la polémique et la mise à l'index de ceux qui ne souhaitent pas se faire vacciner.
Ce qu'il me semble avoir compris : L'injection est censée protéger celui où celle qui la reçoit. Pour autant, cela ne le (la) protégerait pas à 100%. Ils ou elles peuvent donc également être porteur momentanément et transmettre à une autre personne (vaccinée ou pas), et ainsi de suite. Pour ceux qui se sont donc fait vacciner, j'imagine que leur but est de se protéger des autres, et de penser protéger les personnes dures vulnérables.
Il y a donc bien quelque chose que je ne comprends pas dans la situation.
Finalement, la différence de la gravité de la réaction individuelle au virus se fait soit à la loterie (ce que je ne pense pas) soit pas la bonne santé du système immunitaire.
Si l'être humain est à ce stade de développement aujourd'hui (ça a commencé il y a quelques milliers d'années avant les vaccins mais avec les virus et les bactéries) c'est justement parce qu'il a développé son système immunitaire pour faire face à chaque nouvelle agression virale ou bactériologique. À chaque fois, cela c'est fait sur la durée et il y a dû y avoir des morts. Les plus fragiles, ou ceux porteur de maladies génétiques, ou de tout autre trouble causant une défaillance du système immunitaire ont eu plus de difficultés à passer le cap. Rappelez-vous que dans le monde animal seuls les dominants Alpha se reproduisent. C'est notamment par ce biais que la continuité de l'espèce est assurée (par les plus forts).
Ma conviction pour les générations futures, et que l'humanité décroît dans sa capacité à pouvoir faire face.
Notre corps est un formidable système capable de s'auto guérir (faire repousser la peaux, recoller les os, produire des cellules d'un organe défaillant,...). En diminuant sa capacité de résistance, la dépendance à la molécule chimique augmente.
Contrairement à ce qui est annoncé, personne n’est sûr à 100% que l'ARN ne se combinera pas avec l'ADN. Et personne ne peut prédire le résultat si cela se passait !
S’il existe, il sera peut être visible dans quelques générations mais ceux qui auront présidés à cet état ne seront plus là pour répondre de leurs actes.
Choisir de vivre c'est déjà faire un choix, alors de mon point de vue laissons ceux qui veulent vivre libres, être libres de leurs choix et d'assumer les conséquences en étant confrontés à la mort si besoin.
Si ce virus n'avait pas mis en évidence la défaillance des politiques publiques concernant la santé (qui est devenue un bien marchand) en envoyant les malades sans les hôpitaux, qui se sont fait dépecer depuis des années (fermeture de lits même sans l'été 2020), mais avait fait mourir les gens chez eux comme une grippe "normale", il n'y aurait peut être pas autant de pression aujourd'hui.
Pour revenir à la première image, n’oublions pas que la violence et la mise à l’index d’être humains porteur d’une croyance ou d’un mode de vie différent à conduit à l’holocauste.
K.G. Jung a dit « c’est plus facile de juger que de comprendre ». Pour essayer de comprendre il est utile de passer du temps en débats d’idées. Mais le contexte ne semble pas s’y prêter.