Penser comme un super achiever\Think like a super achiever
Vous est-il arrivé de vous sentir dépassé par les événements, envahis par un sentiment d’impuissance, de perte de contrôle?
Pour ma part, je dois vous l’avouer, je ne suis jamais très loin de me sentir catapulté dans l’action, envahi par un sentiment de perte de contrôle.
La santé mentale d’un super achiever fait partie de son hygiène de vie. Pourtant, nous portons très peu d’attention sur l’impact que notre cerveau subit par rapport aux choses que l’on accepte d’entendre, de voir ou encore les propos que l’on tient.
La lutte que l’on mène dans la quête de notre BHAG est percement de défis. L’un des plus gros défis à relever pour le leader d’âge adulte est les blessures qu'il l’habite jour et nuit. Ces blessures font partie de son ADN, elles sont indissociables. Toutefois, il faut réaliser qu’elles ne doivent pas avoir le dernier mot sur nos intentions.
Ces blessures agissent comme un frein dans ma vie, elles me font hésiter, me remettre en question, elles me procurent une lourdeur au niveau de la cage thoracique, qui me donne l’impression d'étouffer. Parfois, elles se manifestent dans un sentiment d’incompétence, tandis que par moment, elles me rendent impatient et impuissant face aux délais.
Ce combat est permanent, mais ils me tiennent en vie!
Ce côté sombre habite l'athlète avisé. Il lui donne l’envie de se surpasser et de se battre contre lui-même, car il sait qu’après chaque séance d'entraînement que ces phénomènes physiques sont créés de toute pièce par son intelligence. Et il est conscient que pour atteindre son BHAG, lorsqu’il ressent ces douleurs, la solution est le dépassement de soi, de battre ses records précédents.
Le bon et le mauvais loup
L’être humain est un être d’émotion qui pense. L’athlète de haut niveau comme le leader visionnaire doit apprendre à vivre en harmonie avec ce paradoxe. Je me rappelle bien mes discussions avec l’une de mes leaders où l’on revenait souvent sur l’analogie du bon et du mauvais loup qui sommeille en nous. Au final, celui qui vit est celui que l’on nourrit le plus. Mais il ne faut pas oublier que les deux bêtes feront toujours partie de vous.
Penser comme un super achiever.
Je vous ramène dans le concept du super achiever et celui de vivre l’excellence. Voici la formule à appliquer, qui vous permettra de vivre l’excellence. Voici la formule qui me permet de tirer profit de mes blessures et de constamment dépasser mes limites.
Finalement, ce que ce paradoxe, vivre et apprécier la douleur de nos blessures, nous donne comme moyen est une soif inextinguible d’exceller. C’est l’énergie dont le super achiever a en sa possession, qui le rend unique, qui lui donne l'avantage. Cette énergie alimente sa RDE, elle lui permet de se définir dans une vision 100 ans.
Savez-vous pourquoi, vous ne serez jamais guéri de cette torture interne qui vous habite jour après jour. Car en tant que leader visionnaire, c’est à la fin que le jugement final sera fait. D’ici là, soyez la meilleure version de vous-même, appréciez chaque moment, chaque sentiment comme un moyen que la vie vous donne de vous dépasser et vivre l'excellence.
_______________________________________________________________
Have you ever felt overwhelmed by events, consumed by a sense of powerlessness and loss of control?
As for myself, I must confess, I'm never far from feeling catapulted into action, overwhelmed by a sense of losing control.
Recommended by LinkedIn
The mental health of a super achiever is part of their lifestyle. Yet, we pay very little attention to the impact our brain endures from the things we choose to hear, see, or even the words we speak.
The struggle we face in pursuit of our BHAG (Big Hairy Audacious Goal) is filled with challenges. One of the biggest challenges for adult leaders is the wounds that inhabit them day and night. These wounds are part of their DNA; they are inseparable. However, it is important to realize that they should not have the final say over our intentions.
These wounds act as a brake in my life; they make me hesitate, they challenge me, and burden me with a heaviness in my chest that feels suffocating. Sometimes, they are showing up as a feeling of incompetence, while at other times, they make me impatient and powerless in front of deadlines.
This battle is ongoing, but it keeps me alive!
This dark side resides in the wise athlete. It fuels their desire to surpass themselves and fight against their own limitations because they know that after each training session, these physical phenomena are created entirely by their intelligence. And they are aware that to achieve their BHAG, when they feel this pain, the solution is to go beyond themselves, to beat their previous records.
The Good Wolf and the Bad Wolf.
Humans are emotional beings who think. The high-level athlete, like the visionary leader, must learn to live in harmony with this paradox. I remember my conversations with one of my leaders, where we often talked about the analogy of the Good Wolf and the Bad Wolf that resides within us. In the end, the one that lives is the one we feed the most. But we must not forget that both beasts will always be a part of us.
Thinking like a super achiever.
I bring you back to the concept of the super achiever and living in excellence. Here is the formula to apply, which will allow you to live in excellence. Here is the formula that allows me to leverage my wounds and constantly push my limits.
Ultimately, what this paradox, living and enjoying the pain of our wounds, provides us with is an unquenchable thirst for excellence. It is the energy possessed by the super achiever that makes them unique and gives them an advantage. This energy fuels their PFE, enabling them to define themselves within a 100-year vision.
Do you know why you will never be cured of this internal torment that haunts you day after day? Because as a visionary leader, the final judgment will be made in the end. Until then, be the best version of yourself, appreciate every moment, every feeling as an opportunity that life gives you to surpass yourself and live in excellence.