Post de Association Française d'Agroforesterie

#AgroDiverSanté #Blé Question : Quel est l'intérêt des associations variétales de blé tendre ? Réponse ARVALIS : https://lnkd.in/eph9K4v4 Réponse #chatgpt : Les associations variétales de blé tendre, aussi appelées mélanges variétaux, consistent à cultiver plusieurs variétés de blé tendre sur une même parcelle au lieu de ne semer qu'une seule variété. Cette pratique présente plusieurs intérêts agronomiques, économiques, et environnementaux : Réduction des risques sanitaires : En mélangeant des variétés, on réduit la probabilité qu'une maladie ou un parasite affecte l'ensemble de la culture. Certaines variétés peuvent être plus résistantes à certaines maladies ou ravageurs, ce qui limite la propagation des pathogènes et l'impact des attaques sur la production globale. Stabilité des rendements : Les différentes variétés peuvent réagir différemment aux conditions climatiques. Certaines peuvent être plus résistantes à la sécheresse, d'autres aux excès d'eau ou aux variations de température. Cela permet de stabiliser les rendements d'une année à l'autre, malgré les variations climatiques. Amélioration de la résilience face aux stress abiotiques : Les variétés mélangées peuvent avoir des tolérances différentes aux stress tels que le froid, la chaleur, ou la sécheresse. Cela assure que même si certaines variétés souffrent, d'autres continuent de se développer correctement, ce qui contribue à maintenir une production acceptable. Diminution de l'utilisation des produits phytosanitaires : Comme les associations variétales peuvent mieux résister aux maladies et aux ravageurs, les agriculteurs peuvent réduire leur usage de pesticides, ce qui est bénéfique pour l'environnement et pour la santé humaine. Augmentation de la biodiversité : En cultivant plusieurs variétés au lieu d'une seule, on augmente la biodiversité à l'échelle de la parcelle. Cela peut avoir des effets positifs sur l'ensemble de l'écosystème, en favorisant par exemple la diversité des insectes pollinisateurs ou des auxiliaires de cultures. Amélioration de la qualité des grains : Les associations variétales peuvent permettre de combiner les caractéristiques de qualité des différentes variétés, par exemple en termes de protéines, de panification, ou de résistance aux contraintes de stockage. Cela peut aboutir à une meilleure qualité globale des récoltes. Adaptation locale : Les associations variétales permettent d'adapter plus finement les cultures aux conditions locales spécifiques, en choisissant des variétés qui répondent bien aux particularités du terroir, que ce soit en termes de sol, de climat, ou de pratiques culturales. En somme, les associations variétales de blé tendre offrent une approche durable de l'agriculture, en augmentant la résilience des cultures, en réduisant les risques et les intrants chimiques, et en contribuant à la préservation de l'environnement tout en assurant une production de qualité.

L’Institut national de recherche pour l’#agriculture, l’alimentation et l’environnement (INRAE) expérimente dans la ferme de Mirecourt des pratiques qui permettent de se passer de #pesticides. Deux cent quarante hectares de prairies, d’étables et d’entrepôts en plein cœur d’un plateau lorrain pluvieux. À Mirecourt (Vosges), le logo « Inrae » visible sur un bâtiment à l’entrée du domaine indique qu’il ne s’agit pas tout à fait d’une #ferme comme les autres. Depuis 2016, une trentaine d’agents de l’unité expérimentale ACT-ASTER (pour unité agrosystèmes territoires ressources) testent ici ce que Bénédicte Autret, ingénieure agronome et directrice de l’unité, appelle des « pratiques de rupture », afin de repenser les modèles de production agricole, en se fondant sur les principes de l’#agroécologie. La ferme expérimentale de Mirecourt est labellisée #bio, aucun intrant chimique n’y est donc utilisé. Elle est fondée sur la #polyculture et le #polyélevage, avec un objectif principal de diversification. Les cultures de lentilles, de cameline ou de colza jouxtent les prairies permanentes dans lesquelles vont pâturer les bovins ou les porcs. https://lnkd.in/dQxRF6Fc

🌱 Le traitement larvaire des résidus à la ferme: une alternative durable et économique! 🐛 Bien que les insectes soient traditionnellement récoltés en nature ou élevés à petite échelle pour répondre aux besoins alimentaires locaux, l'industrialisation des fermes d’insectes dans des infrastructures spécialisées permet aujourd’hui leur production dans des régions nordiques et le développement de produits transformés, tels que des tourteaux et des huiles d'insectes. Cependant, ces modèles de production industrielle nécessitent des investissements en capital importants 💸, imposant une production à grande échelle pour atteindre des économies d’échelle et la rentabilité. 💡Inscott propose comme alternative le traitement décentralisé des matières organiques via la bioconversion larvaire directement sur le site de production à la ferme. Ce modèle présente plusieurs avantages, dont la réduction des besoins en infrastructures 🏗️ et la simplification de la logistique d'approvisionnement en substrat d’élevage pour les insectes🛻. Selon la réglementation locale, les larves pourraient être intégrées directement dans l’alimentation animale sur le site de production 🐔, sans passer par des étapes de transformation secondaires, comme le séchage.  En plus de réduire les coûts associés à l'alimentation animale et aux traitements conventionnels des résidus d'origine animale par équarrissage thermique, ce système pourrait également générer des revenus supplémentaires pour les éleveurs grâce à la vente de frass d’insectes 🌿, offrant ainsi un avantage économique non négligeable. 

🌾 Lutter activement contre les graminées : expérimentations et conseils pratiques 🌾 Patricia Huet et Thomas Gaujard, conseillers à la Chambre d’agriculture, partagent leurs expériences sur le désherbage des parcelles agricoles dans une interview à retrouver sur le site de la Chambre. En bref : 🔬 𝗘𝘅𝗽𝗲́𝗿𝗶𝗺𝗲𝗻𝘁𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻𝘀 𝗲𝗻 𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀 Microparcelles : Tests d’efficacité et de sélectivité des herbicides. Ferme expérimentale de Miermaigne : Approche globale combinant diversification des cultures, dates et modes de semis différenciés, et désherbage mécanique. 📉 𝗖𝗼𝗻𝘀𝘁𝗮𝘁 𝘀𝘂𝗿 𝗹𝗲 𝘁𝗲𝗿𝗿𝗮𝗶𝗻 Augmentation du salissement des parcelles, nécessitant des actions comme le broyage avant moisson et l’ensilage. 📈 𝗥𝗲́𝘀𝘂𝗹𝘁𝗮𝘁𝘀 𝗲𝘁 𝗽𝗿𝗮𝘁𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀 𝘃𝗮𝗹𝗶𝗱𝗲́𝗲𝘀 Décalage de la date de semis des céréales. Succession et double cultures estivales (ex. maïs) pour maîtriser les graminées. 🤝 𝗔𝗰𝗰𝗼𝗺𝗽𝗮𝗴𝗻𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗱𝗲𝘀 𝗮𝗴𝗿𝗶𝗰𝘂𝗹𝘁𝗲𝘂𝗿𝘀 Élaboration de plans d’actions sur plusieurs années, intégrant des cultures estivales et des techniques de labour alterné. Importance de l’implication des agriculteurs dans la prise de décision. 🔍𝗧𝗵𝗲̀𝗺𝗲𝘀 𝗱𝗲 𝗿𝗲𝗰𝗵𝗲𝗿𝗰𝗵𝗲 𝟮𝟬𝟮𝟰 Tests d’herbicides en blé. Intégration de la herse étrille selon les conditions météorologiques. Collaboration entre conseillers techniques et agriculteurs pour restaurer la propreté des parcelles. Interview à retrouver en intégralité sur : https://lnkd.in/eRT7PF-t #Agriculture #Désherbage #InnovationAgricole #ChambreDAgriculture #Expérimentation 🌱👩🌾👨🌾

✨ Merci à la coopérative INNOVAL pour la publication de son Observatoire de l’élevage, édition septembre 2024 ! ✨ Cet observatoire nous donne accès à un panorama complet et concret (données agrégées à l’échelle des 28 départements d’intervention de la coopérative) des performances de "la ferme bovine laitière en France", avec des données clés qui permettent d'anticiper l'avenir et d'assurer la durabilité des exploitations. 🙌 🎯 Voici quelques éléments marquants : 🔹 𝗟𝗮 𝘀𝗲𝗻𝘀𝗶𝗯𝗶𝗹𝗶𝘁𝗲́ 𝗮𝘂 𝗰𝗹𝗶𝗺𝗮𝘁 : Si les variations climatiques ont un impact bien connu sur les performances économiques des exploitations, le climat joue également  un rôle clé en matière de reproduction et  de renouvellement des troupeaux (fertilité…) 🔹 𝗔𝗺𝗲́𝗹𝗶𝗼𝗿𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻𝘀 𝗴𝗲́𝗻𝗲́𝘁𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀 𝗿𝗲𝗰𝗼𝗿𝗱 𝗮𝘂 𝘀𝗲𝗿𝘃𝗶𝗰𝗲 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗽𝗲𝗿𝗳𝗼𝗿𝗺𝗮𝗻𝗰𝗲 𝗲́𝗰𝗼𝗻𝗼𝗺𝗶𝗾𝘂𝗲 : En s’appuyant sur un noyau de sélection de qualité, en travaillant leurs stratégies de renouvellement et en bénéficiant d’indicateurs consolidés à l’échelle européenne, les éleveurs ont enregistré un bénéfice complémentaire de +35 à 45 € par vache. 🐄💡 🔹 𝗦𝗮𝗻𝘁𝗲́ 𝗲𝘁 𝗽𝗿𝗲́𝘃𝗲𝗻𝘁𝗶𝗼𝗻 : L’approche biosécurité, la sélection génétique et l’utilisation d’indicateurs plus prédictifs permettent de limiter les risques sanitaires dans les élevages ✅ 🔹 𝗘𝗻𝘃𝗶𝗿𝗼𝗻𝗻𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗲𝘁 𝗱𝘂𝗿𝗮𝗯𝗶𝗹𝗶𝘁𝗲́ : Des émissions de gaz à effet de serre stabilisées à 0,97 kg éqCO2/litre de lait et des pratiques agricoles optimisées pour réduire les apports d’azote et améliorer l'efficience alimentaire. 🌍🌱 💼 Cet observatoire nous rappelle que l'𝗮𝗰𝗰𝗼𝗺𝗽𝗮𝗴𝗻𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁, 𝗹’𝗶𝗻𝗻𝗼𝘃𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗲𝘁 𝗹𝗮 𝗽𝗿𝗲́𝘀𝗲𝗿𝘃𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 sont les clés pour répondre aux défis de demain et assurer la rentabilité et la durabilité des exploitations ! #Élevage #AgricultureDurable #Génétique #Environnement #SantéAnimale

Mise en lumière du projet #labelbascarbone de Geoffroy éleveur laitier avec un troupeau de 75 vaches dont 70% de Prim’Holstein et 30% de Normandes. Depuis 2021, Geoffroy contribue à réduire l’empreinte carbone de sa ferme localisée dans les Coëvrons en Mayenne. Pour atteindre, les objectifs de projet Label Bas Carbone, il vient de convertir sa ferme en Agriculture Biologique. Près de 3 ans après le début de son projet, il a mis en place de nombreuses techniques afin d’éviter et stocker potentiellement 560Teq CO2🌾: ➡L’amélioration de l'autonomie protéique en réduisant la part de maïs et en augmentant la part d'herbe avec 77% de la part de surfaces en prairies ➡L’implantation de 400 mètres de haies avec des essences variées. Elles offrent aux animaux de meilleures conditions pendant la période de pâturage ➡L’installation d’un détecteur de chaleurs cet hiver permettant un gain de temps dans la gestion de l’élevage et abaissant l’âge au 1er vêlage Son projet inclut de nombreux co-bénéfices environnementaux : ◾Un impact positif sur la biodiversité grâce à l’augmentation d’éléments agroécologiques comme les haies ◾L’amélioration de la qualité de l’eau grâce à la réduction des pertes d’azote ◾L’amélioration de la qualité de l’air favorisée par l’arrêt de l’utilisation des engrais minéraux Ce projet est accompagné pendant toute sa durée par notre partenaire technique Association des Producteurs de lait Bel de l'Ouest (APBO) #labelbascarbone #transitionecologique #agriculture Vous souhaitez en savoir davantage ? Contactez-nous en commentaire ⬇

Quelles sont les fermes représentant l’avenir de l’agriculture en Région Centre-Val de Loire ? 🎉 Jeudi dernier se tenait la cérémonie de remise des prix du concours "Centre Val de Loire" de Fermes d'Avenir récompensant les fermes aux modèles agroécologiques les plus aboutis. Nous avions reçues plus d’une soixantaine de candidatures de toute la région, et présélectionné 21 d'entre elles avec notre jury d’experts. Basés sur notre vision de la Fleur de l’Agroécologie, les dossiers et grilles de notation cherchaient à évaluer comment répondaient ces fermes aux grands enjeux de l’agriculture et de l’alimentation de demain : nourrir les populations avec des aliments sains et qualitatifs, tout en préservant les capitaux naturels pour respecter les limites planétaires, et permettre aux agriculteurs de vivre de leur métier dans des conditions dignes. Roulements de tambours…. Les 5 gagnants sont : 🥕 Catégorie Maraîchage : La Ferme de Belêtre, qui se démarque par sa forte implication territoriale et sociale, par son modèle collaboratif et collectif, et par son exemplarité agroécologique dans ses ateliers de production et de transformation qui fonctionnent en complémentarité.  Un système qui gagne en résilience au fil du temps et qui inspire depuis 2015 puisque la ferme fait œuvre de pédagogie sur les modèles collectifs en région et au niveau national !  🌱 Catégorie Grandes Cultures : La ferme de Laurent Isambert, qui témoigne d’une impressionnante technique du fait de la complexité de mener en grandes cultures des pratiques en Agriculture Bio de Conservation. Seul sur son exploitation, Laurent est également très impliqué à l’échelle du territoire dans plusieurs GIEE et de nombreux groupement d’agriculteurs afin d’échanger sur ces techniques. 🐏 Catégorie Polyculture/Elevage : La Bergerie de la Corbinière. Cet élevage ovin en pâturage tournant est autonome en intrants, pousse sa démarche écologique très loin (agroforesterie, valorisation des effluents, création de nombreux emplois), et valorise en plus des races locales ! 🌳 Catégorie Arbo/Viti : Le Domaine cidricole Ducardonnet. La viticulture et l’arboriculture sont des cultures les plus dures à tenir en bio, et dans une région où il manque d’arboriculteurs, nous avions à cœur de soutenir les actions d’Alexandre qui souhaite reconstruire une filière courte de transformation de pommes.  Son modèle agroécologique est abouti dans la mesure où il intervient un minimum sur son verger et qu’il cherche à optimiser tous les postes à impact environnemental. 💼 Catégorie Installation : Anne-Aël Leroy, de la Ferme Les Prairies du Domaine. On félicite ici le courage de cette femme qui s’installe en élevage dans un département où il se rarifie ! Anne-Aël prévoit une production laitière transformée à la ferme, un projet autonome en intrants et un ancrage de l’exploitation dans le territoire.

📢 Les résultats de l'étude sur "L'impact de l'agroforesterie sur le pâturage des bovins dans le Nord Pas de Calais" sont disponibles 🐄 🌳 Cette étude a mise en évidence : - un microclimat favorable au bien être animal dans les prairies agroforestière 🌡 - des performances comparables entre prairies agroforestières et non arborées en termes de productivité et de qualité de fourrage mais avec des variations observées dans la répartition spatiale et temporelle. 🌳 - une hétérogénéité spatiale dans la proportion des légumineuses ☘ - des valeurs alimentaires intéressantes pour les arbres fourragers. 🍃 🔜 Prochainement, nous compléterons cette expérimentation avec l'étude de l'influence des arbres dans la circulation de l'air au sein des parcelles agroforestières… 📖 => lien : https://lnkd.in/gmH8JCcV Arnaud DELTOUR Alice Dufossé Chambre d'agriculture du Nord - Pas de Calais Agence de l'Eau Artois-Picardie

[#INNOVATION] Comment connaitre la valeur nutritive d’un #fourrage ? Grâce à la #spectrométrie dans le proche infra-rouge (#SPIR ou #NIRS en anglais). Utilisée de façon croissante depuis les années 60, la technique SPIR permet désormais de caractériser rapidement la composition chimique d’un fourrage, et donc de piloter son #exploitation en temps réel. En déterminant les teneurs en #azote, #phosphore et #potassium du fourrage, elle permet d’ajuster la fertilisation des #prairies. En connaissant sa valeur alimentaire, il devient donc possible d’adapter la ration au plus près des besoins des animaux. Yoann Pellier, technicien au Le Cirad à la Réunion, Mayotte & en océan Indien, nous en parle dans ce numéro de "Terres d’ici (Antenne Réunion), consacré aux dernières rencontres professionnelles Agrofert’iles dédiées aux filières animales : https://lnkd.in/ddNQgf7d CIRAD UMR SELMET Cirad'Innov Agriculture durable Cirad'Innov Elevage et santé animale ARMEFLHOR-Assoc. Réunionnaise pour la Modernisation de l'Economie Fruitière, Légumiere et HORticole ARI Réunion - Agence Régionale de l'Innovation Région Réunion Association Réunionnaise de Pastoralisme Département de La Réunion ODEADOM Maëva MIRALLES BRUNEAU Eric JEUFFRAULT PRéRAD-OI AFD - Agence Française de Développement Jamy Gourmaud

Agriculture, l'autre voie En Lorraine, l'INRAE expérimente sur 240 ha depuis 2016: "La ferme expérimentale de Mirecourt est labellisée bio, aucun intrant chimique n’y est donc utilisé. Elle est fondée sur la polyculture et le polyélevage, avec un objectif principal de diversification. Les cultures de lentilles, de cameline ou de colza jouxtent les prairies permanentes dans lesquelles vont pâturer les bovins ou les porcs. L’agroécologie, c’est d’abord faire avec la nature." Source Le Monde "Toutes les observations enregistrées, les informations récoltées, les outils testés peuvent servir de ressources pour les professionnels. Chaque année, quasiment 800 conseillers agricoles, agriculteurs et étudiants se rendent à la ferme pour échanger avec les scientifiques, ingénieurs et techniciens. « C’est un échange de savoirs entre chercheurs et acteurs du monde agricole », souligne Amandine Durpoix, directrice de recherche." (Source idem) Il existe donc bien des solutions alternatives et celle-ci en est une parmi beaucoup d'autres. Il ne manque qu'une seule chose: La volonté politique d'accompagner ce changement de paradigme et de le soutenir financièrement, massivement. Et accepter de voir Bayer-Mosanto ou Syngenta disparaître... https://lnkd.in/eNwgJVn6