TOUTE LA POLITIQUE DE L’EMPLOI DEVRAIT ÊTRE REDÉFINIE !
L’incertitude sur l’orientation politique et la composition du futur gouvernement pèse, pour les prochaines semaines, sur les projets engagés en matière de politique de l’emploi : priorités, organisation des acteurs, financements et moyens.
Les futurs choix politiques sont encore peu connus dans le domaine de :
1. L’#emploi (combien d’emplois aidés ? quels financements des acteurs de l’emploi pour l’accompagnement ? Quelles aides sociales liées aux mesures d’accompagnement ? etc.),
2. L'#alternance (quels financements pour l’#apprentissage et les contrats pro ?),
3. L’#indemnisation chômage (quelle réforme de l’assurance-chômage ? maintien des #ASS ?) et
4. La formation (quel avenir pour le #CPF ? etc.).
Il est difficile de dire si les démarches engagées seront poursuivies et, si oui, avec quels moyens, en fonction des financements retenus pour le second semestre 2024 et, surtout, pour l'année 2025.
Beaucoup de ces questions, qui concernent les acteurs du Service Public de l’Emploi (#SPE), restent en suspens.
A partir de janvier 2025, devaient être inscrits systématiquement à France Travail : une part des jeunes accompagnés par les #Missionslocales, les personnes accompagnées par le réseau #Capemploi et deux tiers des personnes qui demandent le Revenu de Solidarité Active (RSA).
Ces mesures conduiraient automatiquement à une hausse du nombre des inscrits à #Francetravail, indépendamment de la hausse prévisible liée à une #croissance économique prévue comme faible en 2025.
Difficile de dire si les capacités d’#accompagnement de ces demandeurs d’emploi seront au rendez-vous.
La ponction du ministère sur les recettes de l’assurance-chômage sera-t-elle maintenue ?
Le mode de calcul du nombre des chercheurs d’emploi inscrits à France travail est en débat.
Il a évidemment une importance politique majeure !
Électrotechnicien
3 j.Que dit la convention collective forestière qui entrera en vigueur en janvier 2025 ? Besoin de cette convention