Le départ

Il y a un an, en famille, nous partions pour notre #périple familiale prolongé préparé de longue date.

Et voilà un an après, sans doute un peu emportée par la mélancolie je souhaitais partager cette expérience hors norme. Sans doute pas si originale dans ce monde mouvant, mais forcément unique. Je suis assez d’accord avec l’idée que nous avons besoin de #récits. Alors dans les semaines qui viennent je vais tenter de partager le mien. Et si je le fais ici vous verrez que c’est parce qu’il puise son origine dans des réflexions professionnelles.

Alors à +1an de notre départ dans ce premier chapitre revenir sur l’origine de ce projet.

Il a pris racine dans l’envie (le besoin même sans doute) de prendre du recul professionnellement, de ralentir et surtout rencontrer pour (re)trouver de nouvelles aspirations.

Alors après quelques rebondissements l’idée trouve une maturité en sortie de confinement grâce à une adaptation à notre capacité (organisationnelle et financière principalement). Je suis déçue au départ d’avoir le sentiment de baisser la voilure sur mon imaginaire de départ. Mais la force d’un couple c’est la complémentarité, en l’occurrence entre mes rêves à ce moment-là inaccessibles et une infusion de réalisme.

Le projet sera donc de partir 3 à 4 mois sur les routes de France et d’Europe, en #van aménagé à 5. Pour visiter, évidemment des amis et de la famille non vus depuis si longtemps (temps d’éloignement renforcé par les mois de pandémie) ; mais aussi - et c’est cette partie que je vais vous détailler - des acteurs du territoires qui œuvrent à leur échelle pour une #transitionécologique, alimentaire avec un souci de #pédagogie notamment auprès des jeunes publics. C’est cette double entrée qui a guidé mes prises de contacts : comment s’adapter à ce nouveau monde qui se présente à nous et en faire un vrai levier d’apprentissage. Le clé étant pour moi de diffuser largement ces sujets auprès de nos jeunes dans les établissements scolaires de façon ludiques et pratico-pratiques, avec des nouveaux lieux et outils et en s’appuyant sur le collectif en proximité.

Il y a un an je prenais le train, chargée a bloc au sens propre comme au sens figuré et l'inconnu comme les prévisions s'ouvraient à nous.

Prochain chapitre première rencontre, première visite pour illustrer.