#SaveTheDate : grand débat sur les colères agricoles et les réponses de l’Europe le 17 avril à Bruxelles ! 🚜 3 mois après les mobilisations agricoles, nous nous arrêterons le temps d’une soirée pour mieux comprendre comment fonctionnent les politiques alimentaires européennes : ➖ Quels rôles et impacts ont les lobbys de l’agrobusiness, les syndicats agricoles et les mouvements sociaux ? ➖ Quelles sont les dynamiques de pouvoir en présence ? ➖ Pourquoi les paysan·ne·s et agriculteur·ices sont-ils aujourd’hui à nouveau en colère contre l’Europe ? ➖ Quelle(s) réponse(s) l’Europe apporte-t-elle (ou non) à cette colère ? ➖ En tant que citoyen·ne, êtes-vous entendu·e par les responsables européen·nes ? 💬 Les échanges seront animés par Amaury Ghijselings, Chargé de recherche sur la Souveraineté Alimentaire au CNCD-11.11.11. ✍️ Infos & inscriptions 👉 https://bit.ly/4a1YUeV #CriseAgricole #AgriculteursEnColère
Post de CNCD-11.11.11
Plus de posts pertinents
-
Dernièrement nous expliquions les raisons de la colère du monde agricole. Après des rencontres enrichissantes au cours du #SalonAgriculture2024, retrouvez nos propositions pour répondre à cette crise. 👇 https://lnkd.in/eT3VDipp #salondelagriculture #AgriculteursEnColere #hautconseilpourleclimat #electionseuropeennes2024
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
Agriculture Durable 🌱🌍 Comment apaiser la colère des agriculteurs ? On en débat sur France 3 Franche-Comté dans Dimanche en politique Deuxième semaine de mobilisation pour les agriculteurs, qui dénoncent le projet de traité de libre-échange avec le Mercosur ou les entraves à la production. Comment sortir de cette crise? Dimanche en politique ouvre le débat avec les représentants comtois des trois syndicats agricoles. L'essentiel du jour : notre sélection exclusive Chaque jour, notre rédaction vous réserve le meilleur de l'info régionale. Une sélection rien que pour vous, pour rester en lien avec vos régions. France Télévisions utilise votre adresse e-mail afin de vous envoyer la newsletter "L'essentiel du jour : notre sélection exclusive". Vous pouvez vous désinscrire à tout moment via le lien en bas de cette newsletter. Notre politique de confidentialité Après leur mouvement historique du début d'année, les agriculteurs ressortent les tracteurs des hangars pour crier leur colère. En Franche-Comté comme dans le reste de la France, les manifestants fustigent le traité de libre-échange avec l'Amérique du sud, les normes trop contraignantes, et un revenu insuffisant pour beaucoup. Le mouvement se radicalise sur fond de rivalité syndicale avant les élections professionnelles. Les élus des chambres d'agriculture seront renouvelés au mois de janvier. Les revendications du début d'année ont-elles été entendues ? Comment répondre aux demandes des agriculteurs ? Les élections professionnelles à venir attisent-elle la crise ? Autour de Jérémy Chevreuil débattront les représentants des trois syndicats agricoles: la FNSEA, la Coordination rurale et la Confédération paysanne. Vous aussi, posez vos questions à nos invités et partagez avec nous votre avis en remplissant le formulaire ci-dessous. Certains de vos messages seront repris à l'antenne. Dimanche en politique, une émission à commenter sur les réseaux avec #DimPolFC Diffusion le 1er décembre à partir de 11h10 sur France 3 Franche-Comté. [gallery link="file" columns="2"] Aller à la source Author: Jérémy Chevreuil Lire l'article complet ici : https://lnkd.in/daKWzNZX #ProjetsAssociatifs #EngagementSocial #Solidarité #InitiativesCommunautaires #ActionsAssociatives #ImpactPositif #AssociationLocale #DéveloppementDurable #artia13 #agriculture #agriculturedurable
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
🌾 Aujourd’hui, je ressens une profonde tristesse en voyant, une fois de plus, les tracteurs dans les rues de Bruxelles. Cet accord Europe-Mercosur qui menace d’inonder notre marché de produits agricoles à bas coût va directement impacter nos agriculteurs déjà en difficulté. Ces éleveurs qui travaillent dur pour fournir une production locale de qualité méritent mieux qu’une concurrence déloyale qui risque de faire chuter encore leurs prix, au risque de les pousser au bord du gouffre. En janvier, ils étaient nombreux à demander des mesures concrètes pour vivre dignement de leur métier et alléger leurs tâches administratives. Aujourd’hui, presque un an plus tard, ils continuent de se battre. Leur détermination est admirable et, chez FIELDKAIRED, nous nous efforçons d’apporter notre pierre à l’édifice. Depuis cet été, notre application Ceres Ceres Finance for farmers farmers est disponible pour les aider à mieux gérer leurs finances. Conçue pour les producteurs laitiers, elle permet d’obtenir en temps réel une vue sur les marges et les coûts, et nous avons pour ambition d’étendre cette aide à d’autres secteurs agricoles dès que possible. Mais nous ne pouvons pas avancer seuls. Il est crucial que le monde politique entende, enfin, les appels de nos agriculteurs. Avec le soutien des acteurs du secteur et des décisions politiques adaptées, je suis convaincu que nous pourrons construire un avenir juste et durable pour l’agriculture. Pour ma part, je resterai toujours du côté de ceux qui font vivre notre terre. 🌱 #Agriculture #EuropeMercosur #FJA #CeresFinanceforfarmers #SoutienAgriculteurs #MadeInBelgium
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
La relance de la production agricole en France est essentielle pour garantir la sécurité alimentaire. Face aux pressions croissantes sur l'agriculture européenne, la stratégie "Farm to Fork" propose une réduction de la production, ce qui pourrait entraîner une hausse des prix mondiaux, touchant particulièrement les populations vulnérables. L'agriculture française doit tirer parti des technologies modernes pour améliorer sa productivité tout en adoptant des pratiques durables. Investir dans les compétences et les innovations permettra de relever les défis environnementaux tout en préservant la souveraineté alimentaire. La prospérité des territoires repose sur un équilibre entre agriculture, industrie et durabilité. Protéger la capacité de production est crucial pour faire face aux enjeux futurs et éviter des conséquences irréversibles pour la société. #agriculture #souverainetéalimentaire #innovation #durabilité #Économie
«Michel Barnier a raison : pour la sécurité alimentaire des Français, relançons la production agricole!»
lefigaro.fr
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
🚜 Depuis le début de semaine, la mobilisation agricole reprend devant les préfectures et sur les ronds points. 🪧 La crise agricole est profonde et multiple, difficile à résumer en quelques lignes... mais essayons quand même 😙. Le monde agricole est tout d'abord très disparate entre : 🟡 Les grands céréalier.es très aidés par la PAC mais touchés par de mauvaises récoltes 🔴 Les xn--leveur-9ua.euses pour la viande ou le lait qui ne rémunèrent plus leur travail décemment et font face à des épizooties (ovins, bovins, volailles) 🟣 Les viticulteur.ices confrontés à la mévente du vin (campagnes d'arrachage). 🟠 Les arboriculteurs très concurrencés par l'Espagne et l'Italie qui peinent à trouver de la main d’œuvre. 🔵 Les maraicher.es et petits producteur.ices qui travaillent 70h par semaine en se rémunérant entre le RSA et le Smic.... 👥 Tous et toutes sont aussi impacté.es par l'inflation qui grève les bilans mais surtout par le dérèglement climatique qui s'accélère et brûle les productions, noie les champs, arrache les serres, gèle les fruit, grêle les vignes, de plus en plus souvent et de plus en plus fort. 💨 🥶 ☀️ ☔ 🤯 🙇 Les motifs de colère ne manquent pas : L’état d’abandon ressenti par les agriculteur.ices se double d’un manque de vision politique. Les gouvernements successifs se contentant de soutenir l’agriculture industrielle, productiviste et exportatrice sous couvert de "souveraineté alimentaire". 🍿 🐄 L'accord du Mercosur qui est dénoncé s'inscrit parfaitement dans cette logique néolibérale qui ne choquait pas grand monde il y a encore quelques mois alors que s'est-il passé ? 🟩 Prise de conscience de la base de l'inéquité du système en place ? 🟧 Retour des idées protectionnistes en réaction à une mondialisation débridée ? 🟨 Combat d’influence entre la FNSEA et la Coordination Rurale à l’approche des élections en chambre d’agriculture le 31 janvier prochain ? 💡 Pour éclairer les raisons profondes de cette crise, on vous invite en ligne ce Lundi 25 novembre à 20h pour découvrir mon documentaire “La Théorie du Boxeur” qui met en perspective notre système agro-alimentaire à bout de souffle et confronté à la crise climatique et à la chute de la biodiversité. 🌿 🐦 💬 Nous débattrons ensuite avec Perrine BULGHERONI (ex HERVE-GRUYER) et Pablo Servigne qui nous projetterons dans l'agriculture de 2050 pour parler transition agroécologique, fermes collectives, démocratie alimentaire, robustesse des modèles agricoles, et nous répondrons à vos questions ! 🌱 Inscription à prix fléché sur imagotv.fr à partir de 4€ 👉 https://bit.ly/494rOLZ Si vous ratez la soirée, le film est désormais accessible en VOD ! 👉 https://lnkd.in/ghcvV85c
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
Alors que le projet de loi d'orientation est débattu devant l'Assemblée Nationale, nous appellons avec ACTION CONTRE LA FAIM Secours Catholique-Caritas France et plusieurs partenaires à un changement de cap écologique et social pour nos politiques alimentaires et agricoles ! Notre boussole doit être le droit à à l'alimentation afin de garantir à tous.tes une alimentation suffisante, adéquate et culturellement acceptable, qui soit produite et consommée de façon durable, afin de préserver l’accès des générations futures à la nourriture. UGESS (Union nationale des Groupements des Epiceries Sociales et Solidaires) VRAC France Réseau Action Climat foodwatch France Solidarité Paysans
[TRIBUNE✍️] L'avenir de notre agriculture passe par l’agroécologie et la reconnaissance du droit à l'alimentation ! Le projet de loi d’orientation pour la souveraineté agricole est débattu à l’Assemblée nationale à partir d'aujourd'hui. Pour nous, les solutions proposées par le gouvernement ne sont pas à la hauteur de la crise du système alimentaire. Lire la tribune 👉 https://lnkd.in/ehTdW-Er #SecoursCatholique #Alimentation
Souveraineté agricole : « Le projet de loi ne répond pas aux bonnes questions »
la-croix.com
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
📢 Cette semaine, notre consultante junior Louise Msallan partage l'actualité qui l'a le plus marquée. La Fédération Nationale des Syndicats d'Exploitants Agricoles (#FNSEA) et les Jeunes Agriculteurs (#JA) ont annoncé cette semaine une mobilisation massive à partir du 15 novembre, qui a replacé la colère des agriculteurs sur le devant de la scène médiatique française. Celle-ci a été ravivée par la perspective de la concrétisation de l’accord UE-Mercosur lors du #G20 des 18 et 19 novembre à Rio de Janeiro. Ce traité de libre-échange entre l’Union européenne et les pays sud-américains, en discussion depuis 25 ans, est accusé par les professionnels du secteur de favoriser une concurrence déloyale. Bien au-delà de cet accord, ce sont les crises récurrentes qui pèsent lourdement sur l’agriculture française et attisent le mécontentement. Les mobilisations, entamées l'hiver dernier avec la convergence de tracteurs européens vers Bruxelles, se poursuivent chaque jour dans de nombreux départements ruraux. Les agriculteurs français ont dû affronter ces dernières années des crises successives, et ce dans plusieurs filières avec notamment des récoltes désastreuses : -25 % pour le blé, -20 % pour les raisins, avec le tournesol et le maïs menacés de pourriture dans des champs détrempés, ou encore des problèmes sanitaires récurrents pour les éleveurs, affectés par la fièvre catarrhale ovine (FCO) et l’influenza aviaire. Face à ces crises multiples, la concrétisation imminente de l’accord UE-Mercosur ajoute un nouveau motif d'inquiétude à l’échelle nationale, en raison du désaccord entre #Paris et #Bruxelles : le président et le gouvernement français, notamment la ministre de l’Agriculture Annie Genevard, se disent opposés à celui-ci. Alors que le général De Gaulle avait su imposer sa vision pour la #PAC dans les années 1960, les agriculteurs restent réalistes quant à la capacité de la France à empêcher la signature de cet accord, et redoutent que la Commission européenne ne consulte même pas les États membres. Les semaines à venir seront ainsi décisives pour la souveraineté alimentaire de la France, avec un risque de pénuries dans les supermarchés pour Noël. Dans ce contexte, la ministre Annie Genevard a annoncé la reprise des débats sur le #PLOA en au Sénat en décembre, avec un objectif d’un texte adopté par les deux chambres avant le Salon de l’Agriculture. ↪️ Pour en savoir plus : https://lnkd.in/eb5wRAVc #ActualitésKairos #actualitédelasemaine #Agriculture #SouverainetéAlimentaire #AccordUEMercosur #SIAL
Colère des agriculteurs : vers une pénurie dans les supermarchés avant Noël ?
capital.fr
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
📢 Crise agricole : Pourquoi les agriculteurs se mobilisent partout en France ? Depuis le 18 novembre, les agriculteurs se (re)mobilisent dans toute la France pour dénoncer des difficultés économiques insoutenables et protester contre le traité de libre-échange entre l’Union européenne et le Mercosur. Ces actions, initiées par la FNSEA, les Jeunes Agriculteurs et d’autres syndicats, visent également à pointer les normes contraignantes, des revenus en baisse et un modèle agricole à bout de souffle. Les récoltes et productions animales, affectées par des conditions climatiques extrêmes ainsi que par des épidémies, ont aggravé la détresse d’une profession déjà fragilisée. Dans son article détaillant la situation, Reporterre souligne que, malgré des mesures d’assouplissement promises par le gouvernement, la situation reste critique pour de nombreux agriculteurs. La concurrence internationale, l’inefficacité des lois Egalim et les pratiques des grands groupes agroalimentaires, comme Lactalis, accentuent les tensions. Ces mobilisations s’inscrivent aussi dans un contexte électoral tendu pour les chambres d’agriculture, où les syndicats rivalisent pour défendre un modèle agricole qui doit impérativement se réinventer face aux crises économiques et environnementales. Pour lire l’article Reporterre dans son intégralité, cliquez sur le lien suivant : https://lnkd.in/eFRE2bwS
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
Crise #agricole, crise alimentaire, crise #climatique, effondrement de la #biodiversité, on ne peut que constater l’échec d’un système mondialisé, dérégulé, qui en pleine crise génère des profits et dividendes records sur les marchés financiers - la spéculation sur la faim ça paye bien - et pour les actionnaires… Le tout au détriment du droit à l’alimentation des populations, et du revenu des #agriculteurs. Depuis plusieurs semaines, le gouvernement français agite le drapeau de la souveraineté alimentaire pour justifier le maintien d’un modèle agro-industriel à bout de souffle, qui épuise les agriculteurs et les écosystèmes. Ce même modèle qui génère les crises actuelles, et qui ne parvient pas à « nourrir le monde » : en France, 10% de la population ne mange pas à sa faim, et un tiers de la population mondiale est en situation d’insécurité alimentaire. La définition « à la française » de la #souverainetéalimentaire est à contre-sens des fondements même du concept, issu des mouvements paysans : démocratie alimentaire, solidarité internationale et transition agroécologique. La souveraineté alimentaire des uns ne doit pas nuire à celle des autres, et ça, la France l’oublie un peu vite. Si le gouvernement admet volontiers que confier son alimentation à d’autres serait une folie, il promeut, en même temps, un modèle agricole tourné vers l’export. Il faudrait donc contrôler à la fois notre alimentation ET celle des autres. C'est "stratégique" nous dit Emmanuel Macron. Il faut être "compétitif" nous dit Marc Fesneau. Il nous faut une agriculture "puissante" nous dit Bruno Le Maire. Mais regardons de + près : nos exportations, plutôt que de « nourrir le monde », concurrencent de façon déloyale les filières locales des pays tiers, et entravent leur souveraineté alimentaire. Nos exports de poudres de lait écrémé coûtent deux fois moins cher que le lait local sur les marchés ouest-africains, et nos exports de blé, subventionnés indirectement par la PAC, déstabilisent les filières céréales locales des pays du Sud. Et que dire de nos exports de pesticides interdits ? La France confond habillement souveraineté alimentaire et souverainisme, et devrait commencer par adresser ses propres contradictions : alors qu’elle voudrait nourrir le monde avec ses céréales, elle importe la moitié de sa consommation de pâtes et de semoule ! Et la moitié des ses fruits et légumes, aussi. Notre gouvernement s'inspire de la novlangue orwellienne : la guerre c'est la paix, la liberté c'est l'esclavage, la souveraineté alimentaire c'est la conquête des marchés extérieurs. On marche sur la tête 🙂 Nous allons continuer à nous battre pour que la France s'aligne sur la VRAIE définition de la souveraineté alimentaire, celle qui respecte les #paysans, les populations et leur donne une vraie place dans le débat sur la construction du modèle agricole et alimentaire. Cette définition a été actée par la Déclaration onusienne des droits des paysans, merci de la respecter.
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
Good job ! Le lobbying participe au débat public, c'est un fait incontournable, et il est indispensable de le mettre en évidence pour assurer un débat collectif sain, juste, équilibré, et favoriser l'émergence des réponses politiques les plus adéquates. Il y va effectivement de notre avenir... Exploiter la difficile année 2024 des producteurs de blé au raison des conditions climatiques* pour obtenir un soutien particulier et des avantages structurels fait partie du job de lobbyiste. S'appuyer sur l'effondrement des petites exploitations agricoles pour favoriser les plus grandes aussi, l'objectif étant la confusion des peines des uns (mises en avant) et des réussites des autres (le plus possible cachées derrière) pour éviter le rééquilibrage des politiques par la redistribution fait aussi partie du job. Réduire dans le tableau l'urgence environnementale à une lutte idéologique (ce qui est juste, visiblement, et il faut être deux pour qu'il y ait lutte) en écartant d'un mot l'une des deux idéologies, l'autre, d'un bout de phrase, au motif qu'elle ne constituerait pas une alternative viable, fermez le ban, c'est aussi un job. Omettre dans l'analyse l'importance de santé publique et de bien-être environnemental de réduire l'élevage et la consommation de viande aussi, c'est le job. Sur les réseaux sociaux, il y a beaucoup d'influenceurs dont l'activité consiste à promouvoir les clients qui les payent. C'est tout à fait logique dans une société aussi mercantile que la nôtre. Certains de ces influenceurs sont des caricatures, mais d'autres sont impeccables, ils ont tous les codes des experts objectifs. Leur intention passe le plus souvent inaperçue. Ce sont des professionnels de la communication, de l'argumentation, de l'influence. Des lobbyistes. Dans ce monde confus où il devient si difficile de séparer le vrai du faux, l'objectif du subjectif, le bien du mal, le positif du négatif, il me semble sain de jouer à découvert. J'en suis si convaincu, depuis toujours, que j'en ai même fait, deux fois, des livres à succès, sur des débats ouverts, décisifs, institutionnels, qui demandaient à chacun d'entre nous de choisir, mais qui ne permettaient pas, pour les raisons que j'indique, de choisir réellement en connaissance de cause, sur Maastricht (1992) et le Traité constitutionnel (2005). Comment ai-je fait, le premier avec deux amis ? En plaçant en parallèle, à égalité, dans toutes leur subjectivité, en transparence, les arguments des "pour" et des "contre". Cette confrontation claire, en toutes subjectivités, des deux positions, a permis l'objectivité des livres et répondu au besoin des électeurs appelés à ces référendums. C'est ainsi que je pense qu'il faut agir, quitte, si le débat semble trop consensuel pour être "honnête", à apporter moi-même la contradiction qui manque trop souvent... * https://lnkd.in/eBfCH6eT
Co-Fondateur du Groupe Comfluence (Comfluence, Cicommunication, Opinion Valley), Fondateur de l'Observatoire des Fédérations et Organisations Professionnelles
#Désagriculturation La France est à l'heure des choix. Voilà dans l'Opinion ma position sur les causes de cette crise agricole (déjà bien partagées, notamment en matière de non renouvellement des agriculteurs par François Purseigle) et quelques idées et mesures que j'avance. Sur l'inflation des normes (vieux et permanent travers français comme le souligne encore dans son dernier ouvrage Jean-Denis Combrexelle : "Les normes à l'assaut de la démocratie française) il y a urgence à les rationnaliser, les clarifier et à les stabiliser pour cesser de mettre les agriculteurs en porte à faux. Certaines des propositions sont directement tirées des méthodes appliquées dans l'industrie, telle celle sur le Suramortissement Exceptionnel en faveur des investissements productif agricoles, à l'instar de la mesure destinée à l'Industrie que Comfluence a porté pour et avec le SYMOP (syndicat depuis intégré à EVOLIS - Organisation professionnelle ) avec les résultats que l'on connaît Olivier Dario Jean-Camille Uring En matière de communication sociétale et RH du monde agricole, comme nous l'observons aussi au sein de notre filiale Opinion Valley (Vincent Prevost) c'est d'abord et avant tout une démarche globale et collective qui est en jeu et qui pourrait changer la donner. L'objectif est bien que le débat prenne une véritable ampleur. Que les Français comprennent à quel point notre agriculture est vitale pour eux, essentielle pour notre souveraineté, capitale pour notre balance commerciale et notre rayonnement dans le monde. Gilles MARECHAL Anne RICHARD Marie-Laure Hustache Olivier Babeau Pierre FABRY Gauvain Leclerc agridées think tank Vincent Lamkin Grégoire de la Roussière 🌱Jacques Groison Alice Richard Jean Baptiste MOREAU Benoît Rabilloud Virginie Pinson Pascal VINE Veronique Elgosi Alain SAVARY Cédric Seguineau Yves de La Fouchardière Marc Pagès Christophe BONNO Robin Rivaton
Agriculture française : l’heure de vérité face à la désagriculturation – par Jérôme Ripoull
lopinion.fr
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
5 243 abonnés