Alliance, stratégie, "coopétition"...c'est du chinois?!

Lors de certaines stratégies à l’international les exemples d’alliances entrepreneuriales qui se transforment en affrontement entre concurrents au bout de quelques années sont légion.

On pense à Danone et Wahaha en Chine ; dans l’industrie automobile les groupes coréens et japonais et ses partenaires européens ou américains Volkswagen, General Motors ou Peugeot-Citroën.

Les alliances bien entendu, peuvent tourner au conflit ouvert, l’apprentissage effectué, la coopération du départ se transforme en compétition sauvage.

Or, en Asie, au Moyen Orient, en Afrique, en Inde : Commet est-il vraiment ressenti ce mélange de compétition et coopération (la coopétition).

« Ce n’est pas dans l’âme d’autrui, qu’es ton mal ; ce n’est pas non plus dans une modification ou une altération du milieu extérieur. Où est-il donc ? A l’endroit où est en toi ce qui juge de ce quoi est mal. Donc, que ce jugement n’ait plus lieu, et tout est bien. » Marc Aurèle

Dans les affaires, il est indispensable de défendre ses compétences clés lorsque l’on coopère. C’est vrai pour tout le monde, par tout dans le monde ? Les relations qui combinent coopération et compétition font partie d’une pensée globale dans les affaires ?

Offrez vos idées avant de vous les faire voler

Faisons simple, les mariages cette sorte d’alliance stratégique pour la vie familiale ne sont pas du tout pareil en Chine, au Moyen Orient, en Afrique. Des codes couleur, au numéro d’invités, la durée de l’évènement, l’endroit, les cadeaux de la part des uns, des autres.

Alors les échecs des partenaires à l’international ne doivent pas être perçus ni assumés non plus de la même façon. Cela choque, cela déçoit… chez tout le monde ?

A priori la coopétition est a avant tout une stratégie positive lorsqu’ils se produise de commun accord. De même qu’Il ne faut pas se limiter aux stratégies concurrentes classiques.

Cela favorise une compétition transparente, l’intelligence collective, des meilleures pratiques.

Les positions ombligistes, fermés, pliés sur soi, dans un monde largement globalisé, en changement, n’ont pas, notamment dans les affaires, trop de sens même si elles en existeront toujours.