ENNEAGRAMME - LE TYPE 1, le bon élève

Où est l’erreur ?

Comment puis-je l’éviter ?

Quelle est la seule façon correcte de gérer une situation ?

Le Type 1, est un instinctif, d’ailleurs l’instinct est le centre d’intelligence qu’il privilégie. Il a pour croyances que le monde peut être meilleur, que les erreurs sont inadmissibles et qu’il doit être un modèle de perfection pour que cette évolution puisse s’opérer.

Cette vision du monde lui confère plusieurs qualités et compétences :

·      un sens aigu du détail

·      de hauts standards d’exigence

·      une dynamique d’amélioration continue

·      la capacité de fédérer autour d’une ambition

·      un leadership inspirant (quand il a un bon niveau de conscience de soi)

·      une intégrité à toute épreuve

·      une profonde responsabilité

·      une forte crédibilité

Un manager de Type 1 connaît la valeur d’un bon feedback pour faire monter en compétence chacun de son équipe. Il est, généralement, à l’aise dans des postes de leadership, et s’assure d’une grande cohérence entre ce qu’il dit et ce qu’il fait (le « walk the talk »). Tout en étant direct dans sa communication, il reste diplomate pour ne pas se faire d’ennemi inutilement.

D’un autre côté, sa croyance à penser qu’il n’y a qu’une seule façon de faire peut le rendre binaire (c’est soit blanc, soit noir), et un peu rigide (soit j’ai raison, soit vous avez tort !).

Comprendre, et c’est un questionnement perpétuel, pourquoi les autres n’adoptent pas sa vision, est problématique pour lui ; il a du mal à accepter que l’on puisse atteindre un même objectif par des voies différentes.

Le Type 1 peut apparaitre comme inflexible avec une tendance au micromanagement, car il pense pouvoir mieux faire et plus vite les choses que les autres. Parfois c’est vrai !

Son principal challenge est de maîtriser sa voix intérieure (et très fréquemment son syndrome de l’imposteur) , qui lui reproche 90% du temps : « Ah, j’aurais dû faire comme ça, mais comme je suis nul ! », « Mince, pourquoi je ne lui ai pas dit cela ? », « Mais quelle perte de temps, je n’y réussirai jamais ! ». Et quand cette même voix, rarement, le félicite, c’est avec beaucoup d’humilité : « C’est juste mon devoir, rien de plus ».

Le Type 1 doit accepter que le monde soit déjà parfait tel qu’il est, avec ses ”imperfections”, et que, comme disait Jean de La Fontaine, patience et longueur de temps font plus que force ni que rage.

Vous vous reconnaissez dans le Type 1 ? Echangeons en commentaire !

Et pour aller plus loin, n’hésitez pas à m’envoyer un message.

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Je suis Maria Stela D’Escragnolle Klein, coach professionnelle certifiée. Au sein de mon cabinet « Journey of coaching », nous accompagnons les managers et dirigeants dans leur évolution ou transition de carrière.